Parti républicain, radical et radical-socialiste

Les Partis de Gauche I/ Origines philosophiques du socialisme D’après Proudon la société du 19è , est mauvaise , car fondé sur un principe d'autorité et d'individualisme . Pour lui la propriété n'a pas lieu d’être , pas de fondement . Il déconstruit toute les idée justifiant la propriété , par exemple par le biais du travail , pour lui la propriété ne peut servir de base au fondement d'une société . Il rentre donc en opposition avec les droits qui ont été approuvé après la révolution . La DDHC

Deuxième partie : La contestation de l’autorité politique et la redéfinition permanente des règles du jeu politique Si la démocratisation de la vie politique est limitée, la monopolisation du pouvoir par une minorité de professionnels l’est tout autant : d’une part, la différenciation des activités politiques ne se fait pas sans réaction ni résistance du côté des groupes et organisations que les professionnels de la politique cherchent à exclure du champ politique ; d’autre part, la démocratisation

irresponsable. * Deux alternatives très différentes face à cela : * Républicains de tradition : principes de base de l’Etat doivent demeurer intangibles, il suffit de réformer les méthodes de travail des pouvoirs publics sans toucher aux institutions. Ex : Blum, préconise organisation d’une présidence du Conseil autonome. * Courant révisionniste qui préconise une réforme de l’Etat bcp plus radicale. Pour un rééquilibrage des institutions au détriment du parlement et au bénéfice

l’esprit de l’Union sacrée (souvenir de la W : cérémonie de 1919, défilé de la victoire le 14/07) → favoriser les partis de droite La gauche : sort du conflit divisée : radicaux → l’Union sacrée ≠ les socialistes ; au sein du parti socialiste et de la CGT, certains rêvent de la révolution bolchevique → SFIO ne pas conclure d’alliance ac les radicaux (« partis bourgeois ») ≠ Partis de droite s’unissent ds le Bloc national (se veut l’héritier de l’Union sacrée) → propagande autour de la lutte contre

Les Républicains (1848-1914) Entre février et juin 1848 la Seconde République est d’abord victime des divisions des Républicains et disparaît sans gloire après un coup d’état réussi par son propre président, le prince Louis-Napoléon. En 1914, à la veille du premier conflit mondial, le monde politique unanime proclame « l’union sacrée » face à l’envahisseur sur la tombe de Jean Jaurès, assassiné quelques jours plus tôt. La République n’est plus alors contestée. Qu’est-ce qui définit dans cet intervalle

Genèse et structuration d’un espace de compétition politique moderne (4 h) • Chapitre 2. De 1789 à 1870 : le temps des expériences politiques et parlementaires (3 h) • Chapitre 3. La IIIème République et l’enracinement d’un ordre politique républicain (4 h) • Chapitre 4. La IVème République, une nouvelle République ? (3 h) • Chapitre 5. La Vème République (1958-1969) : une République gaullienne ? (4 h) • Chapitre 6. 1969 - 1981 : la Vème République entre partisanisation, nationalisation

1928, la valeur du franc est baissée par Poincaré, les produits français sont moins cher que les autres se qui favorise l'exportation. La France reste confiante et pense que grâce à ses colonies, elle pourra écouler un minimum de sa production. A partir de 1931, la France perd son avantage monétaire puisque le Royaume-Unis dévalue sa monnaie cette année-là et que les États-Unis font de même en 1934. Certains secteurs n'investissent plus, les stocks augmentent, les industries ralentissent leurs activités

alors Président et est charge de négocié la paix avec Bismarck. Ainsi la France doit des indemnités de guerre a l’Allemagne et perd une partie de la Lorraine. En 1871 eu lieu l’insurrection communarde contre les nouvelles reformes du gouvernement, durant la Semaine Sanglante. Le pouvoir électoral des monarchistes retombe le 2 juillet 1871 lorsque les républicains remportent la majorité des voies. En aout 1871, le Président Thiers devient le chef de l’État et de l’Exécutif, mais reste responsable devant

large se forge : Le Bloc National : 319 sièges or il en faut 310 pour avoir la majorité absolue. Néanmoins, il s’agit d’un bloc hétéroclite ne représentant pas la droite monolithique. Il y a des Républicains de gauche, des membres de l’Action Républicaine et Sociale, des indépendants, des ententes Républicaines Démocratiques… Cette union s’est faite grâce à l’Eglise et à la République qui se st rapprochés or à l’intérieur de la droite il y a des catholiques et des laïques ils vont donc se rapprocher

Jean Jaurès est un homme politique français, né à Castres (Tarn) le 3 septembre 1859 et mort assassiné à Paris le 31 juillet 1914 par Raoul Villain. Orateur et parlementaire socialiste il s'est notamment illustré par son pacifisme et son opposition au déclenchement de la Première Guerre mondiale. Jean Jaurès, de son nom d'état civil Auguste Marie Joseph Jean Léon Jaurès, est né à Labruguière (81)(sa mère, accoucha lors d'une visite de courtoisie chez une cousine habitant à la demeure de La TOUR