Paris-Roubaix

Brienne-le-Chateau (dans l’Aube en Champagne-Ardenne). Il y entre le 15 mai 1779 et y reste 5 ans. Légende d’une bataille de boules de neige qu’il aurait dirigé ( talent pour le commandement. 22 septembre 1784 : il est jugé apte à entrer à l’école militaire de Paris comme cadet gentilhomme ou, après un an d’étude il pourra être affecté à un régiment d’artillerie. 24 février 1785 : son père meurt d’un cancer de l’estomac. Septembre 1785 : passe l’examen de sortie de l’école et est affecté au régiment d’artillerie

Blâme En arrivant dans la prison qui l’accueillera pendant un an, il trouve que les murs de sa cellule sont d’une couleur noire avec des tâches de moisissure. Les barreaux sont rouillés et les douches pleines de graisse comme si on ne les avait pas lavées depuis plusieurs mois. Dans l’entrée de la prison, des gardes surveillent toutes les allées et venues des prisonniers. S’il y a le moindre problème, les gardes se précipitent et ils séparent les fauteurs de troubles. Quand de nouveaux prisonniers

Introduction : A une passante fait partie de la section des Fleurs du Mal intitulée « Tableaux parisiens ». On trouve dans cette section l’évocation des rues de la capitale, des rencontres qu’on peut y faire. A une passante vient tout de suite après Les petites vieilles et Les aveugles. Il n’appartenait pas à la première édition des Fleurs du Mal (1857). Il a été introduit par Baudelaire dans la réédition de 1861. A une passante est le récit d’une rencontre amoureuse, d’un « coup de foudre ». Le

du 5 au 8 septembre 1870. Il publie le poème Trois Baisers (renommé par la suite Comédie en trois baisers puis Première Soirée), dans la revue satirique La Charge. En février 1871, Arthur Rimbaud, qui veut intégrer le milieu littéraire, se rend à Paris le 25 février. Il vagabonde quinze jours dans les rues de la capitale. À son retour à Charleville, qui alors occupée, il trouve un emploi au journal Le Progrès des Ardennes. En mars il rejoint les communards ( mouvement né à la suite d'un soulèvement

1 5 10 15 20 25 30 35 40 Regrettera qui veut le bon vieux temps, Et l’âge d’or, et le règne d’Astrée, Et les beaux jours de Saturne et de Rhée, Et le jardin de nos premiers parents; Moi, je rends grâce à la nature sage Qui, pour mon bien, m’a fait naître en cet âge Tant décrié par nos tristes frondeurs : Ce temps profane est tout fait pour mes moeurs. J’aime le luxe, et même la mollesse, Tous les plaisirs, les arts de toute espèce, La propreté, le goût, les

situation personnelle aisée (Degas, Caillebotte, Bazille), ils connurent des périodes d'amère pauvreté, et en particulier Monet - que Bazille aida financièrement - lorsqu'il dut assumer seul son ménage. Ils peignaient en plein air, dans les environs de Paris ou sur la Côte Normande, où l'expérience des phénomènes d'optique de la lumière et de la couleur qui les passionnaient était plus intense. Un carrefour important de l'évolution de Monet fut lorsqu'il peignit en 1869 avec Renoir une série de tableaux

brunes qu'on entend rire dans les vignes... En vérité, l'endroit est mal choisi pour broyer du noir ; je devrais plutôt expédier aux dames des poèmes couleur de rose et des pleins paniers de contes galants. Eh bien, non ! je suis encore trop près de Paris. Tous les jours, jusque dans mes pins, il m'envoie les éclaboussures de ses tristesses... À l'heure même où j'écris ces lignes, je viens d'apprendre la mort misérable du pauvre Charles Barbara ; et mon moulin en est tout en deuil. Adieu les courlis

l’auteur évoque l’oppression dont Paris est victime tout en lançant un appel à la révolte dans l’espoir d’une révolte finale. Nombreux sont les écrivains, et en particulier les poètes, qui face à une situation tragique ont estimé qu’il était de leurs devoirs de mettre les mots au service d’un combat : ainsi, les mots deviennent des armes. Axe I : Une évocation fidèle de Paris occupé. Le poète évoque tout de suite la détresse de Paris occupé. Le mot Paris est scandé, répété avec insistance

PARTIE FANCAIS La vie de Paul Eluard (Eugène Grindel) 1ère rencontre : Au cours d'un voyage autour du monde, il fit la rencontre de Maria Benz (Nusch), qui devint sa muse et qui lui inspira certains de ses plus beaux poèmes d'amour En Suisse, au sanatorium de Davos, il rencontre une jeune russe Helena Diakonova qu'il surnomme Gala. Il l'épouse le 21 février 1917. Son impétuosité, son esprit de décision, sa grande culture impressionnent le jeune Éluard qui prend avec elle son premier

meilleures performances économiques, la France possède un niveau de vie globalement plus élevé. Il existe de fortes disparités : la classe ouvrière vit dans les conditions les plus difficiles, les banlieues sont sordides, il y a une pénurie de logements. A Paris, les familles ouvrières vivent dans 15/20 m². La puissance publique tente d'améliorer les choses. La loi Siegfried (1894) met en place les ancêtres des HLM : les HBM (habitations bon marché). Cf. dossier manuel p. 46 : description