Paradoxe du grand-père

avant toute négociation. Les insurgés élisent, le 26 mars 1871, un conseil communal de 90 membres qui prend le nom de Commune de Paris et se présente comme un contre-gouvernement rival de celui des "Versaillais". Le mouvement s'étend à quelques grandes villes de Province (Lyon, Marseille, Narbonne, Toulouse, Saint-Étienne, Grenoble) mais il y est vite réprimé. Les divergences idéologiques entre les insurgés apparaissent rapidement. Les néo-jacobins (Louis Delescluze) veulent que Paris prenne en

d'une violence et d'un franc parlé comme je n’en avais encore jamais lu auparavant. Cette violence m'a profondément touché et m'a fait découvrir une toute autre conception de l’amour, et surtout le regard qu’a l’auteur sur l’amour. Pas celui avec un grand A, mais plutôt au sens charnel, faire l’amour en d’autres termes … Cette façon obscène de parler des choses de la vie, de dénuer l'amour de sa beauté et de son romantisme, m’a beaucoup questionné. Comment est il possible de lui en donner un

de pauvre hère ». En fait, celui-ci avait mené de bonnes études au sein d’un établissement correct et semble avoir réussi différents examens comme le souligne les extraits suivants : « l’enfant devint pensionnaire d’un lycée » et « des succès aux grands concours ». Outre ses problèmes bien personnels, M. Folantin devait supporter un lourd fardeau : sa mère. Elle demandait de nombreux elle est atteinte d’une pathologie lourde. Cette femme est certainement un élément accablant de sa peine quotidienne

commerçants ; chef d’entreprises. Il existe donc une certaine mobilité sociale nette de proximité, qui ne s’explique pas seulement par l’évolution de la structure sociale d’une génération à une autre. Cependant, Anderson montre un paradoxe : un fils qui fait plus d’études que son père peut néanmoins avoir une situation sociale jugée inférieure. La démocratisation de l’enseignement s’est accompagnée d’une augmentation du nombre de diplômés. Celle-ci a été plus rapide que l’accroissement de la demande du

BAUDELAIRE INTRODUCTION Charles Baudelaire : Après la mort de son père à l’âge de six ans, sa mère se remarie avec le général Aupick, un militaire représentant aux yeux de Baudelaire l’horreur de la discipline, de la morale bourgeoise et de la religion établies. A 18 ans, il se fait expulsé du lycée Louis Le Grand à Paris, il commence alors à avoir une vie marginale et de bohème dans le quartier latin de Paris. En 1841, son beau père décide de le faire voyager en Inde, en Afrique et dans l’Orient.

autres, tué ses propres parents.Dans son oeuvre, BMK ………………………………………………………………………………………………………………L'extrait etudié se trouve être la première scène de la pièce qui est donc la scène d'exposition qui s'intitule "L'evasion" ou Zucco, qui vient de tuer son père, s'évade de son lieu d'incarcération le soir même de son arrestation, sous le regard incrédule de deux gardiens. Censée introduire le personnage, cette scène d'exposition est paradoxale car celui-ci se dérobe complètement, conferant à cet extrait

testament actualise un sacrifice que vingt ans avant avait changé sa vie. Quand sa profession l'avait signalée comme unique dans son genre, renonce à elle et à son succès, pour assumer l'entreprise du père mort qu'un frère etait chargé de mettre en danger. Son but etait donc: "élever le nom de mon père", tâche dans laquelle elle n'avait pas connu d'échec. Confrontée avec le bien dire sa dernière volonté, Sissi s'avère encore une fois devant une élection forcée. Elle choisit de nouveau le sacrifice

milieux sociaux que traversent ses personnages. Au bal du château de la Vaubyessard, où Emma croit enfin pénétrer dans un monde "supérieur", l'auteur dénonce les médiocrités et les vanités de l'aristocratie provinciale. Flaubert exprime dans cette grande oeuvre romanesque les dangers du désir, la violence des passions qui assaillent ses personnages et notamment son héroïne. L'extrait qui nous occupe peut d'ailleurs être appréhendé comme un fragment révélateur de la trame de l'oeuvre puisque le réalisme

s'en rende compte. Moi, je rêve que je suis ici, chargé de ces fers, et j'ai rêvé que je me voyais dans une autre condition plus flatteuse. Qu'est ce que la vie ?-une fureur. Qu'est ce que la vie ?-une illusion, une ombre, une fiction, et le plus grand bien est peu de chose, car toute la vie est un songe, et les songes même ne sont que songes. " (" La vie est un songe", Calderon) Le vieux Roi Basilio a fait enfermer son fils Sigismond dès sa naissance donnant foi à un oracle qui avait prophétisé

CINNA OU LE PARADOXE DE LA CLÉMENCE Jean-Pierre Landry P.U.F. | Revue d'histoire littéraire de la France 2002/3 - Vol. 102 pages 443 à 453 ISSN 0035-2411 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-d-histoire-litteraire-de-la-france-2002-3-page-443.htm Document téléchargé depuis www.cairn.info - univ_larochelle - - 79.90.17.36 - 05/02/2012 14h05