Pampre

Ma seule étoile est morte, - et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé, Et la treille où le pampre à la rose s'allie. Suis-je Amour ou Phébus ? ... Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la reine ; J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron ; Modulant tour à tour sur la lyre

abolieMa seule étoile est morte, - et mon luth constelléPorte le soleil noir de la Mélancolie.Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé,Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie,La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,Et la treille où le pampre à la rose s'allie.Suis-je Amour ou Phébus ? ... Lusignan ou Biron ?Mon front est rouge encor du baiser de la reine ;J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène...Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron ;Modulant tout à tour sur la lyre d'OrphéeLes

seule étoile est morte, - et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé, Et la treille où le pampre à la rose s'allie. Suis-je Amour ou Phébus ? ... Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la reine ; J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron ; Modulant tout à tour sur

C'est Thallo ( printemps ) qui accueille la Venus et s'empresse de la recouvrir d'un voile afin de protégé son innocence. Les fleurs sur les vêtements sont des pâquerettes qui symbolisent l’éternel printemps identifié à l’Amour. La ceinture de pampres de l’Heure symbolise aussi l’Immortalité. Conclusion : Le symbolisme général de tous ces éléments ramène à la conception néoplatonicienne de la sublimation de l’Amour. Ce tableau est caractéristique de la Renaissance italienne et reprend,

abolieMa seule étoile est morte, - et mon luth constelléPorte le soleil noir de la Mélancolie.Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé,Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie,La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,Et la treille où le pampre à la rose s'allie.Suis-je Amour ou Phébus ? ... Lusignan ou Biron ?Mon front est rouge encor du baiser de la reine ;J'ai rêvé dans la grotte où nage la sirène...Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron ;Modulant tout à tour sur la lyre d'OrphéeLes

que la philosophie aristotélicienne et platonique deviendront accessibles à tous ! Ils ne sont, bien sûr, pas les seuls philosophes représentés. On aperçoit Socrate (dialoguant ici à l'aide de ses mains), Epicure une couronne de pampres sur la tête (Epicurisme : avoir accès aux plaisirs simples de la vie tout en sachant les contrôler), Héraclite, Zoroastre et même Diogène (peint allongé sur les marches), négligé (torse nu)) avec une attitude et une posture qui rappellent son

avant, prenaient appui sur leurs pattes de derrière tandis que les pattes de devant avaient l'air de courir. Derrière le dos de la déesse se dresse un rocher en forme de grotte avec des mousses, des herbes, des feuilles et des arbrisseaux, ici des pampres, là des arbustes fleurissant dans la pierre. À l'intérieur, l'ombre de la statue brille de l'éclat du marbre. Au bord du rocher pendent des fruits et des grappes de raisin remarquablement polis, que l'art, rival de la nature, a fait semblables à la

artisanaux où la notion de création et alors d’avantage présente. On peut commencer à parler de Bible (même si nous reviendrons sur cette idée de divinité plus tard) car ce sont des métiers présents dans l’histoire de la Bible. : Vers 28 « un pampre attablés » c’est un endroit où les vignerons travaillent. Donc vignerons fait référence à Adam et Eve. On parle alors de création divine. Enfin au vers 27 «  La page où s’écrira le poème des blés » le poète s’intègre ici dans son écrit. Et y fait

que j'ouvrais mes ailes, Les ailes de mon âme à tous les vents des mers, Les voiles emportaient ma pensée avec elles, Et mes rêves flottaient sur tous les flots amers. Je voyais dans ce vague où l'horizon se noie Surgir tout verdoyants de pampre et de jasmin Des continents de vie et des îles de joie Où la gloire et l'amour m'appelaient de la main. J'enviais chaque nef qui blanchissait l'écume, Heureuse d'aspirer au rivage inconnu, Et maintenant, assis au bord du cap qui fume,

devenait une vigne où les pampresRépandaient leur clarté sur la ville et là-hautAstres mûrs becquetés par les ivres oiseauxDe ma gloire attendaient la vendange de l’aube· La métaphore filée entre la nuit et la vigne, avec les lampadaires devenant pampres et les étoiles raisins, donne l’impression d’un flot de vin baignant la strophe. Tout Paris devient chant d’ivresse.· Le poème lui-même se fait plus chant que poésie selon les règles de l’art. En effet, les rimes assonantiques qui unissent les deux