Palais de Venise

aujourd’hui, Paolo Giovio (Paul Jove, 1483-1552), écrivait dans L’Histoire de son temps, que le témoignage devient la base de la réflexion historique, c’est pour cela qu’il insiste longuement sur la position politique du roi de France et de la république de Venise. Son intérêt pour la civilisation turque se retrouve dans plusieurs de ses ouvrages en particulier le Commentario de le cose de’ Turchi publié en 15352. Le mouvement des idées évoluait entre reconnaissance de la force des Ottomans et crainte de leurs

Grévin mais aussi des monuments comme le Petit Palais. Grâce à ce voyage, j’ai aussi découvert la ville de Paris en pleine illumination de noël ! 1- LE MUSEE GREVIN Le musée Grévin est un musée de cire privé qui est situé dans le IXe arrondissement de Paris, en France. On peut admirer de nombreuses reproductions en cire de personnages célèbres (pas moins de 300 personnages de cire). Dans le musée, on peut aussi visiter le Théâtre Grévin et le Palais des Mirages. La salle de la Coupole et la

Renaissance A)- Religion B) – L’Italie : le mythe antique 1 => Antiquités et ruines : le mythe abîmé * célèbres en Italie / « trésors », vestiges du passé à voir = côté incontournable => font partis du mythe italien : prestige * Ex : à Venise * P.162 : « les raretés de cette ville sont assez connues » * On note une certaine attente / impatience de Montaigne de les voir => ce qu’il cherche en premier * Ex : Pavie * P.360 : « Je me hâtai d’aller voir les principaux monuments

l’œuvre et de son auteur Paolo Caliari dit Véronèse est né à Vérone en 1528, et mort en 1588 à Venise. Il est fils d’un tailleur de pierre. Il est originaire de la Vénétie. Il devient apprentis de son oncle Antonio Badille qui est peintre. Il étudie alors les œuvres des grands peintres de Vérone. Il devient l’un des plus grands peintres. Le Grand Conseil des dix lui demande de décorer le palais des Doges, c’est sa première grande commande. Il est connu comme étant un grand coloriste. Il a peint

apparente unité de lieu, mais un leurre quand on regarde les didascalies de chaque scène.  33 scènes dans Florence mais dans des espaces variés  Des scènes à l’extérieur de Florence sur le « bord de l’Arno » pour Marie et Catherine  Une scène à Venise  Donc bien un éclatement des lieux 2) un espace symbolique Une symbolique des lieux :  Les scènes d’extérieur dont la rue sont consacrée au peuple (même la scène dans le jardin concerne le Duc mais masqué, il sort incognito quand il n’est pas dans

l’œuvre Nature : Sculpture Dimensions : 307*363*114 cm Technique utilisée et support : Acier inoxydable poli miroir avec revêtement de couleur Lieu de conservation : Palazzo Grassi, sur le grand canal à Venise, palais racheté par PINAULT une des plus grosse fortune française qui a racheté ce palais pour y installer sa propre exposition privée Appartenance a un courant artistique : Cette œuvre appartient au courant artistique appelé « kitsch » proche du « néo-pop » ou « post-pop » des années 80,

les villes qui ont des fonctions de production et d'échange connaissent un essor spectaculaire. Les villes drapantes de Flandres comme Liège, Bruges et Anvers se spécialisent dans la production textile; les villes marchandes d'Italie comme Gênes ou Venise monopolisent le commerce maritime; les villes de foires comme Provins ou Troyes en Champagne deviennent des carrefours économiques majeurs. Certaines cités s'imposent aussi comme des centres politiques: c'est le cas de Paris où se fixe la dynastie

celle de l’origine textile de l’architecture. Selon lui, la délimitation de l’espace a d’abord été faite par des tapis, ce qui aurait donné naissance à l’architecture des bâtiments. Sur la basilique Saint-Marc de Venise, on voit que le revêtement évoque des formes textiles ; sur le palais ducal, on dirait que le dessin a été coupé par les fenêtres comme si l’on avait fait des trous dans du tis su. Au XVIIIe siècle, le tissu reprend toute son importance dans les intérieurs. Tout est recouvert de

Septime Sévère et agrandi par Constantin, était situé à côté du palais impérial, non loin de Sainte-Sophie, à l'endroit où la place de l'Atmeidan conserve encore la forme et le souvenir du grand cirque byzantin. Son extrémité méridionale, qui se terminait par l'arc de cercle de la sphendoné, était supportée sur des voûtes puissantes qui rachetaient la pente du terrain s'inclinant vers la Propontide; l'extrémité du nord s'appuyait au palais impérial, qui se terminait de ce côté par un édifice spécial

contemporaine ; c'est une forme de théâtre musical occidental. L’Opéra est né en Italie aux alentours de 1600 à Florence, plus précisément en 1597, il s’est avéré qu’un « ouvrage » dans lequel on s’exprimait en chantant est été représenté à Florence, au palais Corsi, celui-ci s’intitulait Dafne et était dû à Jacopo PERI. Mais ensuite, Claudio MONTEVERDI, composa Orfeo, qui fut le premier chef d’œuvre de l’Opéra en 1607. b) Présentation de Jacopo PERI et Claudio MONTEVERDI : Jacopo Peri