Oz

culturelle (voir M. Pastoureau) le blanc est ainsi couleur du deuil et de l’affliction en extrême orient Couleurs chaudes/froides, apaisantes/excitantes Exemple : Le rouge La première couleur dans le développement historique était le rouge (grottes en Oz, peintures rupestres) Etymologiquement, rouge signifie lumière en sanskrit (première langue indo-européenne, celle dont les langues latines sont dérivées) Dans le système symbolique de l’antiquité, qui tournait autour de trois pôles, le blanc représentait

3 : sous-niveau f Pour un atome polyélectronique, l’énergie dépend de n et de l : En,l L’expression de En,l sera établie dans un autre chapitre. 3) m : le nombre quantique magnétique Lorsque l'atome est placé dans un champ magnétique d'axe Oz la projection du moment cinétique orbital de l'électron sur cet axe est quantifiée : on a la relation : m est un entier relatif variant dans l'intervalle : -l £ m £ l ; à chaque valeur de l correspondent 2l+1 valeurs de m . 4) Les états de l'atome

1 = 0 . ur ur d) D’après c), les vecteurs u et n sont orthogonaux donc D est parallèle à . Or A appartient au plan  donc  est incluse dans le plan . 2. a) Une représentation paramétrique de  est : ìx = - 1 + t Ô Ìy = 1 + 2t avec t nombre réel. Ôz = - 2 + 3t Ó ur b) Un vecteur normal à  est n (1 ; - 1 ; 3) . ur ur u × n = 1 ¥ 1 + 2 ¥ ( - 1) + 3 ¥ 3 = 8 ¹ 0 donc  et  sont sécants. On cherche t tel que - 1 + t - (1 + 2t ) + 3( - 2 + 3t ) + 1 = 0, 7 ce qui donne t = . 8 1 11 5 Par suite, x =

à un point matériel M est lancé dans l’air avec une vitesse V 0    depuis le point O, origine d’un repère (0, i , k ) lié au référentiel terrestre supposé galiléen. La vitesse V 0 fait un angle  avec l’horizontale OX dans le plan OXZ et OZ est la verticale ascendante du lieu (figure 1). .  Le champ de pesanteur g est supposé uniforme. Données : g = 9,81 m.s−2 ; V0 = 30 m.s−1 ; m = 1 kg. Z α X O Figure 1 Partie I : On néglige tout frottement. I-1 Etablir les équations

lecteurs, Zola se met lui même en scène, dans l'Œuvre sous le patronyme transparent de Sandoz, dans le personnage de l'écrivain. Sandoz est visiblement composé de la réunion du nom deSand (l'écrivain que dans sa jeunesse Zola disait admirer le plus) et de oz (le début de "Zola", retourné). Il fait dire à Sandoz :"...J'en sais dont le crâne est trop différent du mien, pour qu'ils acceptent jamais ma formule littéraire, mes audaces de langue, mes bonhommes physiologiques, évoluant sous l'influence des milieux

∈ Z ? e e a  Exercice 4 (oral Agro 2009) Dans l’espace rapport´ ` un rep`re orthonorm´, on consid`re les deux points A et B de coordonn´es : ea e e e e A(2; 1; 0) et B(3; 0; 0). Le point M de coordonn´es (0; 0; α) est un point variable de l’axe Oz. Dans le triangle OAB, on e appelle H le pied de la hauteur issue de A et dans le triangle ABM, on appelle P le pied de la hauteur issue de A. 1. Donner les coordonn´es du point H et calculer les coordonn´es du point P en fonction de α. e e 2. Montrer

japonais commercialisés et l’art de culture japonaise. Ils peignaient souvent des objets japonais qu’ils avaient achetés. Œuvre complémentaire DING-DONG ! THE WITCH IS DEAD ! Barbra Streisand Once there was a wicked witch in the lovely land of Oz And a wickeder, wickeder, wickeder witch that never, ever was She filled the folks in munch kin land with terror and with dread Till one fine day from Kansas, a house fell on her head And the coroner pronounced her, dead And through the town the

est multiplié par 10. Calculer la distance parcourue par le skieur avant de s'arrêter. Exercice 03: Un point matériel M de masse m est mobile sans frottements sur un cercle fixe vertical, de centre O et de rayon R. Le cercle appartient au plan (Oy, Oz). On note A, le point le plus bas du cercle et B le point le plus haut. La liaison est bilatérale : M ressemble à un anneau enfilé sur le cercle. A l’instant t = 0, M est lancé vers le haut depuis A avec une vitesse v0 parallèle à Oy. 1. Calculer à

)ψ (∆P1 )ψ ≥ (6.7) 2 Comme ∆x et ∆px peuvent s’interpr´ter comme des incertitudes sur, respectivement, la position et e l’impulsion selon un certain axe, cette in´galit´ et les in´galit´s de mˆme type obtenues en utilisant les e e e e e axes (Oy) et (Oz) se nomment les relations d’incertitude de Heisenberg. Nous voyons que ces relations proviennent de la non-commutation des observables correspondantes. La non-commutativit´ de l’alg`bre des observables apparaˆ donc bien comme une des caract´ristiques

áaÉc ™aO Öéj øμd ,(á∏jóÑdG ¿Éæ°S’CG ∞«dÉμàdG øe 1/3 ™aO øμÁ ,Ú«f’ó«°üdGh AÉÑW’CG ¢†©H iódh ≈Ø°ûà°ùŸG ÚeÉCàdG á≤«Kh Ëó≤J ó©H (zticket modérateur{ ¢†ØıG Aõ÷ÉH ≈ª°ùj Ée) á«aÉ°V’EG áeÉ©dG á«Ñ£dG á«£¨àdG »£¨J .(Vitale ∫Éà«a ábÉ£H hGC IOÉa’EG) »ë°üdG á«fÉÛG ÒZ ‘É°V’EG ÚeÉCàdGh á«aÉ°V’EG á«£¨àdG äÉcô°T hGC (12 áëØ°üdG ô¶fG) .≠dÉÑŸG øe »∏«ªμàdG Aõ÷G êÓ©dG øe IOÉØà°SÓd z»°SÉ°SC’G{ »ë°üdG ÚeÉCàdG ƽ AÉØYGE øμÁ :A»°T πμd í∏°üJ ’ %100 á«£¨J ¿GE :√ÉÑàf’G ™aO øe áæeõŸG ¢VGôe’CG ¢†©H øe ¿ƒfÉ©j øjòdG ¢UÉî°T’CG √òg