Orgueil

des conquérants, qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent se résoudre à borner leurs souhaits «. Le libertin est donc au moins esclave de son désir sensuel. Il le justifie par la très haute idée qu’il a de lui-même. II-Orgueil et mépris des autres Don Juan est en effet plein d’orgueil. Ceux qui choisissent la tranquillité bourgeoise de la fidélité, les amours molles et souvent médiocres du mariage, s’attirent son mépris : «  Non, non, la constance n’est bonne que pour

"s'endormir": conquérir de nouvelles femmes. Remarque: les femmes faciles n'intéresse pas Dom Juan : plus les obstacles sont grands, plus son excitation l'est (ex: contre Dieu...) mais il n'envisage pas de perdre II. Autoportrait de Dom Juan a. orgueil de DJ (=il se croit plus fort que les autres) -il méprise les "ridicules" infidèles, il se croit supérieur à eux - "toutes les belles ont le droit de nous charmer": il se sent indispensable aux femmes, narcissique et orgueilleux- fin de la tirade:

trouver les solutions seuls et sent sortir sans aide. Faiblesses personnelles Difficulté à affronter les conflits : faiblesse qui se caractérise par le manque de courage lors de conflit entre des personnes ou des évènements qui mènent à un conflit. Orgueil : faiblesse qui se caractérise par le pouvoir de vouloir tout faire soit même sans l’aide de personne. Puisque je suis en conflit d’intérêts avec la loi et envers mes valeurs, je vais avertir mon client que je renonce à faire ce dossier. En vertu

maître qui vivait au jour le jour, oubliait son passé et ignorait l’avenir, le Temps n’avait pas de prise. Rien n’était capable de lui imprimer de la terreur et il a voulu éprouver avec son épée si c’était un corps ou un esprit. N’écoutant que son orgueil et son courage, il l’eût roué de mille coups si le spectre ne s’était envolé… Quel homme ! Je ne doute pas que le Ciel, pour le moins, reconnaîtra son audace. Morbleu ! Je suis bien sot de l’admirer encore. Ô Ciel ! Je ne suis qu’un fidèle valet

n’ai rien dit, rien jusqu’à hier..... Pourquoi n’ai-je rien dit ? Par orgueil. Je voulais qu’elle devinât, sans mon aide, et non d’après les racontars de quelques drôles ; je voulais qu’elle devinât elle-même cet homme et qu’elle le comprît ! En l’amenant dans ma maison, je voulais arriver à son entière estime, je voulais la voir s’incliner devant moi et prier sur mes souffrances..... je valais cela. Ah j’avais toujours mon orgueil ; toujours il me fallait tout où rien, et c’est parce que je ne suis

hérédité « une mère Amazone » - Le fait qu’il soit rétif à l’amour est marqué par la valeur des termes « des aveux honteux » ; « orgueil » - D’abord l’hérédité puis il est conforté lui-même dans sa position. Reconnaissance de soi qui s’inscrit dans cette ligne héréditaire : forme tonique « moi » + pronom « me » Satisfaction par la valeur des termes « applaudi » ; « orgueil » Culte de soi-même par l’emploi de sa personne « me » Exaltation dans ce refus du sentiment amoureux considéré déjà comme

l’incommensurable orgueil humain. La position de Voltaire est nuancée. Au travers de Micromégas, il rejoint les positions de Locke, philosophe anglais qui faisait de l’expérience la source de nos connaissances. Il admire l’intelligence de l’homme qui est capable de mesurer la taille de son interlocuteur géant, mais qui aussitôt tombe dans les ridicules systèmes religieux trop humains si bien que Micromegas s’étonne que ces « infiniment petits eussent un orgueil infiniment grandi ». Cet orgueil est d’autant

fable est l’orgueil humain. Le personnage de Garo est très orgueilleux, « C’est dommage, Garo que tu n’es point entré au conseil de celui que prêche ton curé ; tout en eût été mieux », lignes douze à quatorze et La Fontaine choisit de dénoncer cet orgueil propre à l’humain. On voit que Garo est orgueilleux par la façon qu’il utilise pour se nommer lui-même, lorsque celui-ci parle, le « je » revient souvent et il n’hésite pas même à se nommer à la troisième personne : « on ne dort pas quand on » ligne

Viens !…« Tu le sais, tu le sais que je puis me lamenter durant des nuits entières, que je ne boirai plus, que je ne mangerai plus, car mon désir suffit à ma vie et je me fortifie d’amour ! Viens !…« Tu ne connais pas mon visage et qu’importe ! Avec orgueil, je t’apprends qui je suis : je suis le long Matou déguenillé par dix étés, durci par dix hivers. Une de mes pattes boite en souvenir d’une vieille blessure, mes narines balafrées grimacent et je n’ai plus qu’une oreille, festonnée par la dent de

baisement de mains : geste d'une solennité pompeuse ridiculisé ici par l'auteur. Vers suivant, cible clairement attaquée sous la forme de la comparaison : "..." Ce qui est critiqué ici, l'orgueil mal placé du courtisan qui veut cacher sa misère. Orgueil de faire illusion, de paraître. 2ème tercet : conclusif. Commence par présentatif : "voilà". Cible mise en valeur à la fin du 1er hémistiche, "cette cour". Le superlatif "la plus grande" introduit un mot parfaitement ironique "vertu" (i.d qualité)