Orgueil

ces grands voyageurs qui découvrent une île déserte…je me regardais presque comme un autre Colomb. ». Ici l’écrivain est content de lui, il fait preuve d’autosatisfaction, et son orgueil le mène à se considérer comme un explorateur ayant marqué l’histoire. Pourtant, quelques lignes plus loin, il laisse de côté son orgueil pour ironiser sur son propre sort, riant de lui-même et « de la manière comique » dont il avait été puni. Il va jusqu’à accuser sa « vanité puérile », en un mot il se porte en dérision

II/ L'observation psychologique :
 a- peinture des caractères :
- orgueil, majesté du Chêne (rythmes, vocabulaire, pronoms personnels, comparaisons, parallélismes), à quoi répondent la simplicité, le réalisme du Roseau (sobriété des formules, concision, sous-entendus).
- utilisation très soignée, souvent imitative, des différents types de vers : l'alexandrin solennel du Chêne (vers 7, 16) fige le personnage dans son orgueil; les coupes de l'alexandrin du Roseau (vers 21), l'octosyllabe, le rendent

son seul et véritable amour, épuré de tout arrivisme, de toute ambition, fut Mme de Rênal. 2° Mathilde Fille du Marquis de la Mole, belle, attirante imbue de sa noblesse et de sa ligné. Julien la séduira plus par ambition, par orgueil, par défi que par amour. 2.DEUX AMOURS 1° Mme de Rênal L’objet de son premier amour est Mme de Rênal. Une dimension importante est celle olfactive: il aime son parfum, le parfum de ses vêtements et de ses chapeaux. Obtenir ses faveurs

| |Sécurité | | |Orgueil | | |Nouveauté |

On y fait l’homme d’importance, Et l’on n’est souvent qu’un bourgeois (1) : C’est proprement le mal françois . La sotte vanité nous est particulière. Les Espagnols sont vains, mais d’une autre manière. Leur orgueil me semble en un mot Beaucoup plus fou, mais pas si sot. Donnons quelque image du nôtre, Qui sans doute (2) en vaut bien un autre. Un Rat des plus petits voyait un Eléphant Des plus gros, et raillait le marcher un peu lent

sommet de sa gloire. Son bonheur est uniquement lié à ce mariage qui lui garantit une place dans la haute société parisienne. Cette métaphore a été préparée par le jeu de mot formé sur son nom « Duroy » est devenu du Roy (noblesse et souligne son orgueil et sa vanité. Il s’agit aussi pour l’auteur de mettre en évidence l’hypocrisie sociale « alors commença l’interminable défilé des assistants ». L’énumération « il serrait des mains, balbutiait des mots qui ne signifiaient rien, saluait

marquise se comprennent mieux en effet par rapport à une société mondaine où les individus sont toujours en représentation et donc susceptibles de livrer aux autres des témoignages de faiblesse. Il s'agit ainsi d'apprendre à mentir pour satisfaire à son orgueil et à son exigence de liberté. Ce souci est particulièrement décuplé chez Mme de Merteuil, qui n'imagine la vie sociale qu'en termes de lutte. Mais il s'agit dans tous les cas d'une lutte intellectuelle où les victoires sont savourées en silence.

chemins droits sans aspérités, mais aussi tu seras confronté à des pièges, à des méchancetés, à des mesquineries, à des frustrations, à des foutaises même. Certaines circonstances feront de toi, le pôle d’attraction et feront monter ton orgueil, ta vanité, ton égocentrisme. Ta situation sociale, ton physique, les aléas de ta réussite scolaire ou professionnelle te rendront prétentieux, intolérant, dur, mais aussi inconscient et imprudent. Devant de multiples situations, tu manqueras

Fontaine, le chêne brosse un portrait dévalorisant du roseau en mettant en avant sa fragilité. Le chêne emploie un ton condescendant (vers17). En contre point, le chêne brosse un portrait valorisant de lui-même dans lequel transparaît un certain orgueil (vers7) : "Caucase pareil…". Cette comparaison des mérites de chacun trouve son expression au vers 10 : anaphore et parallélisme de construction mettent en évidence la puissance de l'un et la faiblesse de l'autre. Dans la fable de Jean Anouilh, le

à témoin → affirme sa supériorité -omniprésence de la 1ère personne ‘’je’’ durant toute la lettre :-C’est un autoportrait d’elle même → répétition déterminant possessif : ‘’mes’’ ; ‘’moi’’ ; ‘’me’’→ Elle commence par : ‘’Mais moi’’ = augmentation orgueil (car différence) |→ conjonction de coordination |→ rupture → démonstratif ‘’ ces ‘’ + adjectif à tournure péjorative ‘’inconsidérées’’-elle réfute l’idée de tout point commun avec les autres femmes, elle se considère comme supérieure 2ème question