Orage

C'est arrivé si vite. Comme un orage qui vient chasser le beau temps sans que l'on comprenne pourquoi. Je n'ai pas compris, je ne comprends toujours pas. Tu me manques. On m'avait dit « ne t'en fais pas tu t'y habitueras » ou encore « ça passera avec le temps » mais non ça ne passe pas. Je passais toujours de merveilleux moments avec toi. Ça me manque. Est-ce que tu le savais ? Est-ce que tu savais que tu allais partir comme ça ? J'ai encore trop de chose à te dire, à te demander. Peut être que ça

menace ! Et, prête à me venger, je lui fais déjà grâce ! 15 Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux : Qu'il périsse ! aussi bien il ne vit plus pour nous. Le perfide triomphe et se rit de ma rage : Il pense voir en pleurs dissiper cet orage : Il croit que, toujours faible, et d'un coeur incertain, 20 Je parerai d'un bras les coups de l'autre main. Il juge encore de moi par mes bontés passées. Triomphant dans le temple, il ne s'informe pas. Si l'on souhaite ailleurs sa vie ou son

fatalité. L’homme ne peut rien y changer. Le déroulement se passe comme prévu personne, rien ne peut l’arrêter. C’est l’image d’un homme entraîné dans un engrenage infernal. L’homme est impuissant. Composition de la tragédie (mort, trahison) Eclat, orage (réaction de l’homme) Silence (abs de réaction Il distingue 3 formes de silence : - Au moment de mourir, avec le bourreau, silence de la solitude - Au moment de commencer à vivre et à aimer (2 amants) - Silence du vainqueur (foule comparée à

Dans «Brightwell Church and village» peint en 1815, l’émotion naît du réalisme des couleurs, comme lorsque après un orage, le soleil vient à percer. Les contours du paysage se dessinent. La terre gorgée d’eau, lavée de toute poussière se colore d’ocre. La nature vibre, comme ragaillardie. De ses origines rurales, Gabrielle Chanel a conservé certaines croyances et ce souci permanent de la réalité. Si elle ponctue son appartement ou ses créations de gerbes de blé, c’est son attachement viscéral

on pourrait voir que le porche représente les gens les plus haut placés dans la société, le foulard pour les plus modestes et les bégonias pour les gens comme lui. Il emploie un langage concret, proche de la nature : exemple des « jardinier, orage”», référence au jardin, description de la nuit, avec la « chouette aveuglée », et métaphores empruntées à la nature « l’orage de tendresse ». En fait, derrière cet apparent aveu d’ infériorité, se cache la révolte d’un homme humilié qui veut affirmer

Vaubyessard avait fait un trou dans sa vie, à la manière de ces grandes crevasses qu'un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes. » (Lignes 40-41) Quelle est la figure de style utilisée ?/1 Q3- L’emploi du groupe nominal « un trou » pour désigner « le souvenir du bal » est une métaphore que Gustave Flaubert file en employant une comparaison «  à la manière de ces grandes crevasses qu’un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes. » le nom commun « crevasses »

l’exception de certains effets de lumières à deux moments clefs. Premièrement pendant l’orage dans le second acte la lumière complétée par le son permet de donner une réelle impression d’un violent orage, en effet de brusques éclaires de lumière donnent l’impression de violents éclairs dans un vrai orage. Secondement pendant la scène du champ de bataille un effet stroboscopique venant du fond donne une impression de ralentit mais mime aussi la lumière émise par un fusil lors d’un tir. De plus la provenance

premier mari puis elle préféra se sacrifier sur un bûcher. D'après l'Enéide de Virgile, qui donne une autre version, Elissa, qui porte le nom latin de Didon, accueillit Enée et en tomba amoureuse. Au cours d'une partie de chasse alors qu'un violent orage les a réunis dans une grotte, ils deviennent amants. Mais les dieux ne souhaitaient pas une union entre Didon et Enée. Elle se poignarda de dépit car Enée avait refusé son amour et préféré s'embarquer vers l'Italie pour fonder Rome et répondre à son

«A Phillis» de Pierre de Marbeuf tiré de Recueil des vers (1628) Et la mer et l’amour ont l’amer pour partage, Et la mer est amère et l’amour est amer, L’on s’abîme en amour aussi bien qu’en la mer, Car la mer et l’amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu’il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu’on souffre pour aimer, Qu’il ne se laisse pas à l’amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l’amour eut la mer pour berceau,

notamment en utilisant les champs lexicaux respectifs de ces thèmes : « Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère, et l'amour est amer, L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau