Opioïde

l'issue des Rencontres Nationales sur l'Abus de drogues et la toxicomanie (France, juin 1998)8 La consommation de tabac génère rapidement une dépendance durable. Article détaillé : Tabagisme. Facteurs de dangerosité des drogues | | Héroïne (opioïdes) | Alcool | Tabac | Cocaïne | Psychostimulants | Benzodiazépines | Cannabinoïdes (dérivés du Chanvre) | Dépendance physique | très forte | très forte | forte | faible | faible | moyenne | faible | Dépendance psychique | très forte | très forte

fonction rénale: status urinaire, créatininémie Traitement symptomatique 1. fonctions vitales: si hypotension substitution volumique, vasopresseurs. Oxygène si hypoxie. Ventilation mécanique si insuffisance respiratoire. 2. douleurs: paracétamol, opioïdes si douleurs violentes. Eviter l’acide acétylsalicylique. 3. anxiété, agitation: tranquilliser par des paroles ou des médicaments (benzodiazépines) 4. local: mise au repos du membre atteint. Demander un avis en chirurgie plastique 5. infection: si

injectable, patch) • Selon l’intensité de la douleur • Selon les contre indications présentées par chaque personne • Douleurs par excès de nociception: ◦ antalgiques classés par l’OMS : Palier 1 (AAS, antiinflammatoires) ,2 (les « co »)et 3 (opioïdes) • Douleurs neuropathiques ◦ les antidépresseurs( LAROXYL, ANAFRANIL, CIMBALTA) qui agissent sur le contrôle de la douleur, ◦ les antiépileptiques (NEURONTIN, LYRICA) qui agissent sur l'excitabilité des cellules nerveuses ◦ pas de traitement

antalgique de choix. L’acide acétylsalicylique est peu utilisé dans un contexte de soins palliatifs étant donné ses effets secondaires. LA PERSONNE MALADE Paliers 2 et 3 : les morphiniques sont utilisés du fait de leur action sur les récepteurs opioïdes. Les antalgiques morphiniques sont classés : • en agonistes morphiniques purs faibles ; • en agonistes morphiniques purs forts ; • en agonistes antagonistes et agonistes partiels. 49 PALIERS D’ANALGÉSIQUES POUR LE TRAITEMENT DE LA DOULEUR

des résultats qui plaident pour l’éventualité du rôle de certains facteurs génétiques et psycholo- giques dans le maintien de l’éjaculation prématurée primaire. D’un autre côté, davantage de recherches supportent la responsabilité du sevrage aux opioïdes, de l’inflammation de la prostate, de l’hy- perthyroïdie et de quelques conditions psychologiques dans certains cas d’éja- culation prématurée secondaire. Pour terminer, Buvat émet une mise en garde stipulant que ce n’est pas parce que le praticien

kinésithérapique. Ces injections sont maintenues aussi longtemps que nécessaire en fonction de chaque patient. Le plus souvent, elles ne sont plus utiles au-delà de 10 jours et n° 425 septembre 2002 16 KS un relais par des antalgiques de type opioïde faible (paracétamol + codéine, Dafalgan codéiné® ou Di-antalvic®) est alors prescrit. L’évaluation de la douleur, préalable à tout geste rééducatif, s’effectue à l’aide d’une échelle visuelle analogique (EVA), ou une échelle numérique (EN). Elle est

Histamine (← His) Acides aminés : Glutamate Aspartate Glycine Acide gamma-aminobutyrique (GABA). 03/04/2014 Année Universitaire 2013-2014 146 Purines : ATP, adénosine Gaz : Monoxyde d’azote (NO) Neuropeptides opioïdes (≈ morphine) : Endorphines, enképhalines Neuropeptides non-opioïdes : Neuropeptide Y, substance P, VIP. 03/04/2014 Année Universitaire 2013-2014 147 Le Neurone 1 - Généralités 2 - Aspects du neurone 3 - Le centre fonctionnel 4 - Activités de synthèse 5 - Les prolongements 6

Dextropropoxyphène 100 mg 150 mg 80 mg 2,4 g/ 100 ml 650 mg 250 mg 125 mg 125 mg 120 300 mg/25 mg FORME / VOIE D'ADMINISTRATION Orale Orale Orale Orale Rectale Orale Orale Rectale Orale Orale 325 mg/32,5 mg Orale ANESTHESIE-REANIMATION ANALGESIQUES OPIOIDES DENOMINATION COMMUNE INTERNATIONALE (DCI) DOSAGE Buprénorphine Buprénorphine Fentanyl Fentanyl 0,2 mg 25 G/h 50 G/h FORME / VOIE D'ADMINISTRATION Orale Dispositif transdermique Dispositif transdermique 0,3mg/ml Injectable 13 M.S –

que l’adrénaline ou bien les endorphines. Le mot endorphine est issu de la contraction de « endormorphine », ou « morphine endogène ». Selon Jean Joly et Daniel Boujard (2005), les substances de cette famille sont parfois qualifiées de peptides opioïdes car ces molécules se fixent, dans l’encéphale, aux mêmes récepteurs que les dérivés de l’opium, et ont des effets voisins. La région mise en cause dans ces phénomènes est le cortex orbito-frontal, en liaison étroite avec le complexe central dit

analgésique le plus efficace pour soulager divers types de douleur physique. Formule moleculaire:C17H19NO3 Poids moleculaire:285,33 g/mol 3) Les effets de la drogue sur l'organisme Facteurs de dangerosité des drogues | Héroïne(opioïdes) | Alcool | Tabac | Cocaïne | Psychostimulants | Dépendance physique | très forte | très forte | forte | faible | faible | Dépendance psychique | très forte | très forte | très