Opinion

et les étapes de son argumentation. Le texte d'une manière générale, défend l'idée que la philosophie est une manière d'aborder et de (plus ou moins) comprendre la vie différemment. Elle permet de se détacher du sens commun, de se forger une opinion propre et réfléchie, et ainsi d'éviter de se faire tromper par des idées reçues qui (trop) souvent sont suivies sans la moindre réflexion. Russel divise son argumentation en plusieurs étapes : -Il utilise l'exemple d'une personne qui ne philosophe

Dieu ne peut pas à proprement parler être démontrée. Je peux croire ce que je ne peux pas savoir. La croyance en Dieu doit être moralement supposée (postulat issu de la raison). Qu'est-ce que tenir pour vrai ? Qu'il s'agisse de formuler une opinion ou une proposition de savoir ou bien une composition de croyance. Dans tous les cas il s'agit de juger. → opiner, croire, savoir : modes de jugement Dans tous les cas il y va d'un acte du sujet, l'acte de tenir pour vrai, c'est-à-dire, je reçois

sujet et alors de créer un accord par l'issue de cette discussion. Mais la discussion n'est t-elle de ce monde que par l'existence des accords ? Les accords forment une discussion certes mais l'opposition de deux opinions différentes formerait donc un désaccord ? La confrontation des ces opinions formerait alors un débat, un combat entre une vérité et une autre ou chaque sujet est persuadé de la réalité de celle-ci. Ceci formerait peut être alors une autre forme de discussion dont le but serait de trouver

philosophie serait constituée par l'ensemble des pensées des philosophes, celles ci se contredisent. L'idée commune des philosophes étant que chacun a une philosophie, un avis, une opinion. Exemple : la liberté, la justice. Tout le monde a une opinion philosophique puisque tout le monde philosophe. Qu'est ce qu'une opinion ? C'est un jugement qui est singulier, individuel, subjectif. ● La philosophie est une question d'opinion, en conséquences elle ne s'apprend pas, ne s'enseigne pas. Cette

Augustin nous montre que le mensonge peut être volontaire ou involontaire. Donc nous nous poserons plutôt la question, quelle est la différence entre l’erreur et le mensonge ? L’auteur répond alors, que l’erreur découle d’une croyance ou d’une opinion, c’est-à-dire qu’elle n’est pas intentionnelle contrairement au mensonge qui lui reste intentionnel. Saint-Augustin nous présente sa définition du mensonge. Nous allons donc voir qu’est-ce que la croyance et l’opinion d’autrui. Nous en déduirons

d’opinion (prohibition de doctrines officielles) Liberté de conscience = faculté d’adhérer ou non à des croyances (prohibition des morales officielles) Protection du for intérieur des personnes (liberté de choisir son orientation spirituelle) : les opinions ou croyances existent quand bien même elles ne seraient pas exprimées. Permet de lutter contre l’endoctrinement de la population. Section 2 : La mise en œuvre de la liberté de pensée et de conscience I. Les modalités de la mise en œuvre

parce qu’elle est unique. // Là où les expériences personnelles créent de multiples manières de percevoir le monde, la connaissance est commune. Donc, pour une même réalité, il peut exister de multiples vérités. Si l’on s’en tient à la diversité des opinions, l’être se trouve perdu et confus. Cependant, sur le chemin de l’apprentissage, l’opinion se butera au logos qui suscitera des réflexions qu’elle est impuissante à expliquer. Seule l’unité de la connaissance peut éclairer son erreur en même temps

s'appuie sur des preuves et des démonstrations. Quelle attitude doit avoir celui qui veut accéder à la connaissance scientifique? A cette problématique, Bachelard répond que celui qui veut accéder à la connaissance scientifique doit détruire ses opinions et apprendre à poser des questions. Pour rendre compte des idées de l'auteur, il sera fait une explication suivie de l'extrait. Nous parlerons, dans une première partie de l'opposition entre la science et l'opinion, de la volonté de Bachelard de

La liberté d'expression en famille et entre amis. Intro : En France, la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution… Il s'agit donc d'un droit, mais comme tout droit, son abus peut être sanctionné. La liberté d'expression a donc des limites. Cependant on peut constater que ces limites ont évolués avec le temps. En

question, de lui faire rechercher la vérité au delà de ce qu’il pensait ou croyait. Socrate doutait et faisait douter. L'acte de douter est œuvre de la pensée et porte sur l'opinion. Nous pouvons donc tout d'abord nous interroger sur celles de nos opinions que nous avons reçues de ceux qui nous les ont enseignées. Dès notre plus jeune âge, on tente de nous faire assimiler des idées que nous devons admettre sans que nous ayons la possibilité de vérifier leur exactitude et parfois, celles-ci se trouvent