On s'attache

le chapitre suivant s’attardent sur l’urbanisation dans le monde : au prisme des phénomènes ségrégatifs et des inégalités quant aux mobilités, c’est la question de la frontière qui se poursuit, mais en procédant à un changement d’échelles. Il s’attache à distinguer les concepts de « ville monde » et de « monde ville », « liés l’un à l’autre, mais de façon contradictoire » (p. 34), et s’arrête sur la question des périphéries. Parce qu’il montre que l’urbanisation aveugle le regard des habitants

vicomtesse d'Uzès. Enfin nous relevons vingt-quatre personnages avec une physionomie bien définie comme Henri II, la princesse de Clèves et le duc de Nemours. La multitude de personnages peut s'expliquer par la volonté de Madame de La Fayette de s'attacher au côté historique de l'oeuvre avec un soucis du réalisme, peut-être même une volonté de flatter certaines familles de l'époque. Leurs portraits sont précis, soignés et respectueux. Ils expriment les valeurs auxquelles Madame de La Fayette adhèrent

qu’elles soient bonnes ou mauvaises. 5 La sociologie de l'expérience sociale a pour objet d'étude l'action sociale, produit de l'expérience subjective de chacun (axant en partie les actes) dans une société objective (dictant aussi les actes). Elle s'attache à comprendre l'articulation qui s'opère entre cette subjectivité et cette objectivité, pour donner lieu à des logiques d'actions propres aux individus et à la société. Cette sociologie est compréhensive, elle cherche a comprendre les causes des faits

pratique [Kant], ouvrage de Kant, paru en 1788. Après la Critique de la raison pure qui a mesuré les pouvoirs et circonscrit le domaine propre à l’exercice de la raison théorique, la seconde Critique présente la philosophie pratique de Kant, et s’attache à démontrer que si l’usage théorique de la raison est limité par les objets de l’expérience, son usage pratique lui ouvre en revanche un champ d’application illimité : celui de l’action morale comme pratique inconditionnée. 2. VOULOIR ET DEVOIR

Poétique, au chant III « Il n'est point de serpent ni de monstres odieux / Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux » L'art a t-il pour vocations de plaire et de représenter le beau ? Avant de voir quelles fonctions peut avoir l'art, il faut s'attacher à comprendre les bases de l'art c'est à dire l'art comme représentation. Ensuite si l'art doit seulement représenté la beauté. I l'art du mimétisme la représentation de la nature A la base l'art n'est qu'une imitation de la nature. a) La

monde, société qu’il critique (exemples). • Admet le merveilleux (exemples de contes). La force d’identification La sympathie (au sens propre) ou l’identification • Le lecteur/spectateur vibre au gré de ce qui arrive aux personnages auxquels il s’attache (exemples du corpus) : émotion. Les spectateurs pleurent au théâtre ou au cinéma (exemples). • On peut « se prendre pour… » : influence d’un modèle ou d’un contremodèle sur le lecteur (exemples). → Tout cela est plus propre à persuader qu’à convaincre

grâce ses propres institutes, les Institutes de Gaius. En effet, on a conservé une trace écrite des cours oraux de ce professeur de droit romain du II ème siècle. Il est le fondateur de la science juridique, en ce que, déjà à son époque, il va s'attacher à distinguer le droit civil, du « droit des gens ». L'empereur Justinien, lorsqu'il promulgue en 533 ses propres Institutes n'a pas peur de déclarer publiquement qu'il s'inspire de celles de Gaius, et qu'il en a même insérer des passages dans son

II- Des personnages sous influence Blandine Le DoussalA- L’influence du milieu B- L’hérédité familiale C- Une attention portée aux états du corps Dans La Curée , Zola nous entraine au cœur de la bourgeoisie parisienne sous le Second - Empire. Il se propose d’étudier la famille des Rougon-Macquart, s’intéressant autant à leur ascension sociale qu’à leur cupidité insatiable. A travers cette famille

pour opérer la liquidation des biens des concubins. Il s'agit de la situation dans laquelle deux ou plusieurs personnes se sont comportées en fait comme des associés, sans avoir à exprimer la volonté de former une société. La Cour de cassation va s'attacher à caractériser un à un tous les éléments constitutifs du contrat de société pour l'assimiler à la relation de fait des concubins. Cette analogie entre concubinage et société de fait peut paraître excessive dans la mesure où on impose un cadre

Salamano sangloter pour la disparition de son chien (« Et au bizarre petit bruit qui a traversé la cloison, j’ai compris qu’il pleurait. Je ne sais pas pourquoi j’ai pensé à maman. ») montre sa sensibilité. Mais il est vrai que la suite du roman, qui s’attache à multiplier les notations les plus insignifiantes, laisse le lecteur perplexe : quel étrange personnage que ce Meursault… * Par son goût profond des joies physiques que sont, par exemple, les bains de mer avec Marie, longuement détaillés