On s'attache

croyances religieuses se trouve dans une force fondamentale et centrale qui est au cœur de toute société. Le religieux revêt une importance d’autant plus grande qu’il est, selon lui, à l’origine de la pensée scientifique. Dans le livre I, Durkheim s’attache à définir le phénomène religieux, à répondre aux principales objections sur la nature du phénomène religieux, à énumérer les conceptions élémentaires de la religion élémentaire (exemple de l’animisme) et d’autres conceptions du phénomène religieux

différents états. En ce sens, Pascal montre que le moi est insaisissable dans la mesure où l’on ne peut pas faire l’expérience de son unité. Une personne est toujours perçue à travers ses différentes qualités, et c’est à elles que l’on s’attache. Quand on aime quelqu’un, on s’attache toujours à des caractéristiques physiques ou morales. La perte de ces qualités laisse place au désamour. B-    La possibilité de dire «  je » Mais l’unité de la personne est présupposée par le pouvoir de dire «  je ». En effet

multiples degrés d’adhésion à ce qui est tenu pour vrai, et sous entend une faible capacité à justifier cette adhésion. On peut donc croire en ce qui est faux. De même, peut-on croire en ce qui n’existe pas ? Mais est ce que la croyance peut-elle s’attacher à ce qui n’existe pas ? Ou bien, peut-on prouver que ce à quoi l’on croit (ou pas) n’existe pas ? On ne peut pas croire en quelque chose lorsque l’on est sur que cela n’existe pas. De même, lorsque l’on est sur qu’une idée est vraie, ce n’est

Le théâtre-action s'inscrit entièrement dans le champ culturel théâtral. Mais il est dit que cette culture est celle qui reconnaît à chacun rôle critique et créateur, et s'attache à ce que soit prioritaire la parole des gens écartés par le système dominant. Cette capacité de création et de récréation, le théâtre-action la met en oeuvre en valorisant le vécu, l'imaginaire et la force d'analyse de de chacun, et en les inscrivant dans une démarche (...) d'écoute et de création collective (...) pour

d'entre eux ont aperçu dans leur entourage la présence d'un mystérieux vieillard. Celui-ci est de toutes les fêtes, personne ne sait qu'il est réellement et tout le monde constate que c'est la famille De Lanty qui s'occupe de lui. Le vieillard s'attache et reste proche de la partenaire du narrateur. Le fait que la jeune femme et le vieillard soient côte à côte donne l'impression que la vie et la mort se côtoient, elle s'écrie que le vieillard "sent le cimetière" et elle est très effrayée. Elle se

organismes d’assurance. Indemnisation : est une compensation financière destinée à réparer un dommage mais aussi en nature. Le but d’effacer le dommage qu’a subit une personne. Responsabilité objective ou objectivisation : cela signifie que l’on s’attache s’avantage a la réparation du dommage plutôt qu’au seul comportement du sujet responsable (ce rapproche de la responsabilité sans faut).

La nuit du renard CRÉDIBILITÉ PERSONNAGES Ce sont des personnages à qui les lecteurs de classe moyenne peuvent s’attacher ou s’identifier. VALEURS MORAL La peine de mort est abordée dans le roman. Ça fait bcp réfléchir les lecteurs et ça donne un autre éclairage aux valeurs de vie et de mort. l’application de la peine de mort est-elle justifiable au plan moral ? JUSTICE Mais fait-on vraiment justice à une victime en exécutant son assassin ? Non, la seule justice concevable serait

veines, et autres parties comme celles-là. De même, quand on traite d'une partie ou d'un organe quelconques, il faut garder dans l'esprit qu'on ne doit pas seulement faire mention de la matière et voir là le but de la recherche, mais qu'on doit s'attacher à la forme totale ; ainsi considère-t-on une maison tout entière et non pas seulement les briques, le mortier, les bois. Pareillement, dans l'étude de la Nature, c'est la synthèse, la substance intégrale qui importent, et non des éléments qui ne

sans histoire. Un peu comme toi, un peu comme nous. Le livre ne dit rien, il n'a je crois jamais rien dit. Il y a des symboles, des objets qui n'ont pour valeur que l'illusion d'une perfection auxquels on s'entiche quand on est jeune, auxquels on s'attache lorsqu'on est vieux. Quels souvenirs garder ? Je ne sais pas faire le tri, j'aimerai tout oublier, vendre tout, aux prix de la liberté, celle de n'avoir jamais été. Te souviens tu des questions ? ______________________________________________________Un

le remords... Jusqu’au bout, il espère sans y croire une grâce royale qu’il n’obtiendra jamais. On découvre quelques bribes de sa vie passée : il a une mère et une femme qui sont évoquées brièvement, l’homme semble être résigné sur leur sort. On s’attache plus longuement à l’évocation de sa fille Marie qui est la seule visite qu’il reçoit avant son exécution mais qui ne le reconnaît pas et croit son père déjà mort. Il raconte aussi sa première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille de son enfance