Omphale Theophile Gautier

MUSSET2. Le poète est-il un homme engagé  2.1. « Melancholia » de Victor Hugo2.2. « La colombe blessée » de Théodore de BANVILLE 2.3. « L'art » de Théophile GAUTIER3. Le poète est-il un amoureux de la nature 3.1. « L'automne » d’Alphonse de LAMARTINE 3.2. « Rêve parisien » de Charles BAUDELAIRE 3.3. « Encore un printemps » de Théophile GAUTIER | Conclusion Référence bibliographique | | « Le poète est un être triste » « Quand le poète peint l'enfer, il peint sa vie. » Victor

Table des matières Table des matières 2 Introduction 4 Chapitre I 5 La biographie de Théophile Gautier et son œuvre 5 1.1 Théophile Gautier, sa vie et son œuvre. 5 Chapitre II 10 La beauté idéale dans La Toison d’Or 10 2.1 Le mythe grec de la Toison d’or 10 2.2 La femme peinte et la femme réelle dans La Toison d’Or. 17 Mademoiselle de Maupin - « hymne à la beauté » 19 3.1. La recherche de l’amour 19 3.2 L’androgynie idéale 22 3.3 « Hymne à la beauté ». 24 3.4 Tiburce

doit donc avoir un certain réalisme en lui. Ce n’est qu’au fil du récit que cette hésitation peut apparaître même si l’évènement de départ peut paraître irréel au moment où il est exposé. Cette idée se vérifie bien dans La Morte Amoureuse de Théophile Gautier où le point de départ est les rêves d’un jeune séminariste qui a l’impression d’avoir une double-vie suite à la vision d’une femme lors de son ordination. A la suite de cette vision, le jeune prêtre rêve la nuit de sa vie amoureuse avec cette

l'engagement politique et social de leurs Prédécesseurs romantiques pour se replier sur des valeurs esthétiques et formelles. Cette « dépolitisation de la littérature » réagit à l'avènement au pouvoir, dès 1830, de la bourgeoisie conservatrice. Théophile Gautier (1811-1872) est le fondateur de la doctrine de l'art pour l'art et l’un des principaux inspirateurs du Parnasse. Dans la préface de Mademoiselle de Maupin (1835), il oppose le beau, valeur esthétique de l'artiste, à l'utile, valeur bourgeoise

alors qu'un autre, coupe à la main, provoque un dieu. On remarque notamment au premier plan trois personnages (un jeune garçon assis sur la gauche du tableau et deux hommes sur la droite) qui ne participent pas à l'orgie. La scène très réaliste (Théophile Gautier la compare en 1847 à la peinture du Nord) et colorée est entourée de sculptures de dieux antiques disposé dans un portique à la vénitienne. Couture se sert en fait de cette scène antique pour lui même dénoncer la décadence de la société française

de l'art pour l'art) Théophile Gautier, qui accorde une importance capitale au travail de la forme, qui prime sur le fond. Le but est l'art, et pour Gautier, tout ce qui est utile est laid . La beauté absolue passe par la perfection formelle d'une oeuvre Cette dédicace est très célèbre, et contribue à définir les choix esthétiques de Baudelaire. Au poète impeccable Au parfait magicien des lettres françaises A mon très cher et très vénéré Maître et Ami Théophile Gautier. Impeccable veut dire

aussi la poésie qu'il désigne comme simple objet de séduction et de mensonge. La peinture aussi ressemblante soit-elle, n'apporte rien de plus à la réalité. On peut pensée que l'art imite la nature quand on prend la peinture pour modèle. Pour Théophile Gautier «Dés qu'une chose devient utile, elle cesse d’être belle» Cela signifie donc que l'art (peinture) n'a rien d'utile puisqu'elle est belle. Pourtant il semble bien que l'on pourrait en déduire que la peinture a pour but de resté fidèle a la réalité

personnelle : biographie de Rimbaud. Synthèse : les fonctions de la poésie, le rôle et le statut du poète. Lecture cursive : groupement de textes : la représentation du poète. Alfred de Musset, « Le pélican », La Nuit de mai, 1835 (extrait). Théophile Gautier, « Le pin des Landes », España, 1840. Charles Baudelaire, « L’albatros », Les Fleurs du mal, 1857. Charles-Marie Leconte de Lisle, « Le sommeil du condor », Poèmes barbares, 1862. Victor Hugo, « Fable ou histoire », Châtiments, 1870.

Introduction Dès sa naissance en 1811, Théophile Gautier mène une existence romanesque et passionnée. Insatiable voyageur, il parcourt le monde ; Le Pied de momie marque son goût pour l’Égypte. Plus que tout, il écrit des poèmes, des romans dont Mlle Maupin parue en 1835 et des « nouvelles » parmi lesquelles La Cafetière et La Morte amoureuse. Quand ces deux œuvres paraissent, le conte fantastique est en vogue dans toute la littérature occidentale. Parmi les principaux thèmes privilégiés s’inscrivant

goût de plusieurs jeunes poètes pour un art impersonnel, formellement parfait et dont la froideur n'est pas un défaut mais au contraire un gage de beauté. C'est de ce contexte qu'est né le Parnasse. Deux maîtres guident l'école parnassienne: Théophile Gautier qui, du sein même du Romantisme, a été le premier à proclamer les vertus de l'Art pour l'Art, d'une poésie dégagée du souci de l'utilité et de la morale, puis Leconte de Lisle qui, en s'inspirant des mythologies de tous les peuples et de toutes