Ombre Et Lumiere

<Et l’aîné, qui n’avait que six ans, semblait dire : <<Regardez donc cette ombre où le sort nous a mis!>> (v.10) Dans ce vers, on peut noter la présence d’une métaphore, car si une ombre signifie : silhouette d’un corps qui intercepte la lumière. (Dict.) et que le sort est en fait ce qui advient de la situation d’une personne (dict.) Au passage <<cette ombre où le sort nous a mis>>, cette ombre désigne pourtant la misère qui est liée à la mort de leur mère et le sort représente

« au-dessous du pied » et « rien n’existait que ce pied » (gros plan). * Le décor symbolique : on note l’opposition lumière (« la seule lumière », « un grand rectangle d’électricité pâle », « rectangle de lumière ») à l’extérieur / obscurité (« un corps moins visible qu’une ombre », « la nuit ») à l’intérieur de la pièce ; l’obscurité connote la mort et la lumière la vie (« seule lumière […] comme pour accentuer […] la vie »). On relève au passage l’antithèse « cette nuit n’était que clarté » et la

Elles sont plutôt sombre pour les vêtements, mais clair au niveau des mains, du visage et de l’her- mine. Cela crée encore un contraste (noir/blanc). • La lumière : Provient de la droite du tableau et éclaire pleinement la femme. C’est une lumière chaude et tamisée (lumière naturelle du soleil). Cela crée un effet de clair-obscur (lumière/ ombre)

poème, l'une qui compare le ciel à une ombre sombre et l'autre l'amour au soleil, pour mettre justement en opposition l'amour du poète avec la demoiselle et la contemplation de se ciel. Pour le premier nous y voyons au vers 13 que de soleils! vois-tu, quad nous aimons, c'est le rayon qui va de l'âme à l'âme ( vers 24), nous voyons que c'est chaleur, beau l'amour. Et pour la deuxième comparaison, nous voyons grâce au vers au cinquième vers Dans ce ciel vaste, ombre où vous vous plaisez, et au vers 29

bas sont perçues comme des niches protectrices. C’est pourquoi l’espace de transition ainsi que les unités de vie ont des apports lumineux en haut jour, créant le contraste entre des espaces bas à éclairage modéré et des espaces hauts baignés de lumière naturelle. La transition entre les deux niveaux se fait en douceur par un jeu de courbes, générant une réverbération variable des plafonds. Les espaces fonctionnels dédiés aux adultes (techniques et administratifs) sont fixés à une hauteur conventionnelle

| | |n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude fasciné par ce tas de mousseline blanche qui tombait du plafond sur un corps moins visible | | |qu'une ombre, et d'où sortait seulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même - de la chair d'homme. La seule lumière venait du | | |building voisin: un grand rectangle d'électricité pâle, coupé par les barreaux de la fenêtre dont l'un rayait le lit juste au dessous du pied comme pour| |5

3 Les verbes « bondir », « s’élancer », « inonder », « tanguer » ; les substantifs « corps », « âme », « cascade », « rythme », « orteils », « reins », « dos », « épaules » et jusqu’à l’adjectif « nue » rappellent les nuits d’amour d’Isma dans Ombre sultane. Danser dans son lit, dans sa tête, devant des « voyeuses », des « matrones » ou devant des miroirs : rythme effréné du corps allant jusqu’à provoquer des pleurs de plaisir, de désir ! Et cette passion de l’espace algérien, opérant encore et

le recueillement. Il apparaît assez vite que le poète est malheureux : registre élégiaque : soit un registre où domine la tristesse, la mélancolie. - 1ère pers - champ lexical de la tristesse : v 2 « tristement », v19 « ainsi qu’une ombre errante », v 28 « un seul être vous manque et tout est dépeuplé » - il est indifférent au spectacle de la nature qui l’entoure. Ex v 17 « mon âme indifférente » - certains termes négatifs sont répétés plusieurs fois : ex l’adjectif « vain » au

une zone sombre créée par l’interposition d’un objet opaque (ou seulement partiellement opaque) entre une source de lumière et la surface sur laquelle se réfléchit cette lumière. Elle se matérialise par une silhouette sans épaisseur. L’ombre est donc un phénomène naturel, physique, universel. On à tous une ombre: fragile et légère, elle peut disparaître au moindre rayon de lumière. Dans le domaine des arts plastiques, de l’architecture et parfois du dessin technique, le dessin de l’ombre portée est

jettent leurs feuilles. La campagne, brûlée par les rayons ardents de l’été, sent la mort venir avec les premiers vents froids. Et il y a, dans les cieux, des souffles plaintifs de désespérance. La nuit descend de haut, apportant des linceuls dans son ombre. Les promeneurs se taisaient. Assis au fond de la barque qui coulait avec l’eau, ils regardaient les dernières lueurs quitter les hautes branches. Ils approchaient des îles. Les grandes masses rougeâtres devenaient sombres ; tout le paysage se simplifiait