Ombre Et La Vie Morale

Dieu de la faire vivre (Mythe de Pygmalion) TEXTES -LA TENTATIVE DE L IMPOSSIBLE (1928) René Magritte On à l'impression que l'image en 3D prend vie. Interprétation : Le peintre se représente neutre, inéxtasié représenté en pied avec un costume sombre Le personnage féminin est en appuie sur un pied, regard sans vie, indifférent Ombre et lumière, obscure et foncé création mise en valeur grâce oppositions Éléments qui se rapprochent du surréalisme : Décor, peinture couleur Ceux qui s'en

complémentarités que l’on peut décliner à l’infini : ombre et lumière, masculin et féminin, ciel et terre, connaissance et ignorance, gauche et droite, yin et yang, esprit et matière, etc. Cette alternance de carrés évoque ainsi un moment de la création du monde régi par le chiffre 2 qui symbolise le principe de la manifestation. Le pavé mosaïque rappelle à ce niveau que la dualité est inhérente à toute vie, ce qui ne veut pas dire bien sur que toute vie se résume à la dualité. Pour reprendre la formule

année-là mais ne lui aurait donné une forme littéraire qu'à partir de juin 1904 (voir la strophe 55). Quant à l’amour de Guillaume Apollinaire, véritable phénix en effet (oiseau fabuleux qui renaissait de ses cendres), il allait, tout au long de sa vie, sans cesse renaître chaque fois pour une autre femme ! Le poème comprend soixante quintils (la dédicace en est un) d’octosyllabes parfaitement rimés et qui auraient été tout à fait classiques si ne leur pas été imposée la suppression de la ponctuation

obsessionnelles : « il faut que j'éclaire tes yeux ! » « je ne peux plus te voir » C'est un obscurcissement symbolique. « ‭Est‬-ce qu'il fera toujours aussi noir désormais même le jour ? » « ‭les ‬ lampes n'éclairent pas » Elle dit : raisins noirs, ombre, noircissent. On arrive à une hallucination ‭: ‬ elle voit les mouches qui pendent au plafond et qui occultent le visage de son frère. Electre est isolée, enfermée dans une nuit mentale, dans sa peur et ses angoisses. On peut dire ici à propos d'Electre

roman commence à une étape cruciale dans la vie du jeune protagoniste et se caractérise par des retours en arrière et de la photographie absolue. Le narrateur est conscient de la nature non conventionnelle de son histoire et révèle: « L’histoire de ma vie n’existe pas. Ca n’existe pas. Il n’y a jamais de centre. Pas de chemin, pas de ligne » (Duras 14). Ce style imite la réflexion d’un individu sur sa propre vie ; c’est un style qui imite la vraie vie. Les retours en arrières répétitifs servent

sereins pour eux », ce qui renforce sa jalousie. Nous pouvons aussi relever l’oxymore au vers 1248, « ce funeste plaisir » qui montre que Phèdre prend tout de même du plaisir à ce f Phèdre emploie au vers 1266, le verbe « brûler » qui signifie qu’elle vie un amour qui la brûle de l’intérieur, qui fait mal. b) Un amour improbable Phèdre ne sait pas comment un tel amour a pu voir le jour comme on peut le voir grâce sa première réplique où elle décrit Hippolyte comme un « farouche ennemi »

Sujets – Thèmes : Les thèmes que relève ce livre sont l’adolescence, l’amour, l'amitié et la jalousie. L'adolescence apparaît à travers les deux personnages principaux, Philippe et Vinca comme un passage très important, mais assez difficile de la vie. Les deux ados apparaissent souvent comme des enfants et parfois comme des adultes ce qui montre la confusion psychique qu'ils vivent. Vinca est très influencée par ses parents tandis que Phil ne l'est point. Il pense souvent à son avenir et ça le rends

jansénisme: Il a reçu de la vertu , de la raison ainsi que la grâce du ciel qui lui permettent de faire son devoir, de mener une vie exemplaire, d'avoir une bonne réputation Le jansénisme qui se développe au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle, est un Courant religieux et doctrinal nommé d'après son initiateur, Jansénius. Il se définit entre autre par le principe de rigueur morale, Tiberge est un homme bon, qualificatif repris maintes fois dans le roman. Il est assez austère: notamment sur les notions

Germinal, Chapitre 1, 1885 VLODY Lionel 1ère S1 Émile Zola, écrivain naturaliste français du 19ème siècle écrit l’œuvre Germinal en 1885. Ce roman appartient au cycle romanesque intitulé Les Rougons-Macquart. C'est un roman sur la condition de vie et de travail effroyables des mineurs au 19ème. L'extrait proposé à l'étude est le début du chapitre 1, avec pour incipit l'arrivée d'un homme, Étienne Lantier. Pour répondre à la question comment cet incipit annonce-t-il un cadre funeste et dévalorisé 

nombreuses métaphores sur les machines « Sous les dents d’une machine sombre » ( vers 7 ), « Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre » ( vers 8 ). Ces figure de style donnent une atmosphère lugubre et violente, grave au nombreuses rimes en « ombre » et « sombre ». Victor Hugo utilise aussi des mots de plus en plus violent « prison » ( vers 6 ), « bagne » ( vers 9 ) et « enfer » ( vers 9 ), ce qui permet aux lecteurs d'être du même avis de l'auteur. Pour accentué le travail violent et non-adapté