Oisiveté

economie positive/économie normative introduction et déduction : déduction :approche syllogistique de l'économie:prémisses /conclusion mill prefere l impot proportionel a l impot progressif car ce dernier nuie a l'économie car favorise l oisiveté l impot sur la succession doit etre fortement taxé ,mais possibilité de contourner le systeme (donation ,etc) il propose de surtaxer les biens de luxes et ceux qui ne servent qu a afficher un statut social comment soutenir les pauvres ss

la non utilisation des capacités de production. Il va y avoir des coûts de capacité. L’efficience peut donc être définit comme le produit d’un rendement de ressources utilisées (le non gaspillage) par un taux d’utilisation des ressources (la non oisiveté). Concretement la performance veut dire productivité, qualité, respect des délais, etc. Le contrôle de gestion doit aider à piloter l’efficacité et à gérer les facteurs clés de compétitivité par un ensemble de décisions et d’actions stratégiques

traverse une crise profonde à cause de la monarchie, des philosophes des Lumières et de la Révolution qui y sont hostiles: la monarchie multiplie les mesures de contrôle à l'égard des « gens vagabonds qui sillonnent les chemins pour entretenir leur oisiveté sous un prétexte spécieux de dévotion »,les lumières veulent lutter contre le fanatisme et la superstition, la révolution interdit les procession... mais le pèlerinage revient en force et les années 1870 marquent l'apogée du renouveau pèlerin. Le

alors assimilé au majeur, mais il ne peut exercer dans le commerce, être électeur ou éligible, ni se marier sans autorisation. 2 – Le majeur incapable C’est la personne dont les capacités mentales ou corporelles, ou son caractère (intempérance, oisiveté) sont altérés. Trois systèmes de protection peuvent être mis en place, le juge de tutelles étant le principal organe de décision : - la sauvegarde en justice concerne le majeur dont les facultés altérées justifient une protection temporaire pour

hésité assez longtemps. Ainsi, dès le premier hémistiche, on devine qu'Hippolyte est tendu et tourmenté, et les vers suivants ne vont pas manquer de confirmer cette impression : Dans le doute mortel dont je suis agité, Je commence à rougir de mon oisiveté. On le sait, la tragédie racinienne nous fait assister à l'éclatement d'une crise qui couvait depuis un certain temps déjà et qui est enfin parvenue au moment où les passions longtemps contenues ne se contiennent plus [9]. Aussi, lorsque le rideau

je me défâche. Si quelqu’un dessus moi sa colère délâche, Sur les vers je vomis le venin de mon cœur : Et si mon faible esprit est recru du labeur, Les vers font que plus frais je retourne à ma tâche. Les vers chassent de moi la molle oisiveté, Les vers me font aimer la douce liberté, Les vers chantent pour moi ce que dire je n’ose. Si donc j’en recueillis tant de profits divers, Demandes-tu (Boucher) de quoi servent les vers, Et quel bien je reçois de ceux que je compose ?

richesses disparaissent et avec elle tout un ordre de choses. Le système féodal était fondé sur des obligations réciproques. Non seulement, le prince a perdu sa richesse, mais aussi les obligations qu'il avait sur les autres; le prince sombre dans une oisiveté totale, il n'a plus les terres, juste les tableaux qui représentent les terres. Cette inactivité le conduit à la dépression. Plus le temps passe, plus le peu de richesses qu'il a s'évapore. Le prince a conscience de la décadence de sa famille, mais

désœuvrement, qui font une espèce de tournée dans des pays habituellement visité par leur compatriote. Le Littré (1863/1873) : le tourisme est égal à grand tour. Se dit des voyageurs anglais en France, en Suisse et en Italie. Curiosité et désœuvrement = oisiveté = pratique de l’otium. L’otium renvoi à la notion de villégiature antique. Au 19ème siècle on avait une notion beaucoup plus restreinte qu’aujourd’hui. 1/ Les prémices du tourisme Des voyageurs de l’antiquité à ceux du 17ème siècle. Nous sommes

que je me retirai chez moi, délibéré autant que je ne pourrai de ne me mêler d’autre chose que de passer en repos et à part ce peu qui me reste de vie il me semblait ne pouvoir faire de plus grande faveur à mon esprit que de le laisser en pleine oisiveté, s’entretenir soi-même et s’arrêter et rasseoir en soi; ce que j’espérai qu’il pût meshui faire aisément, devenu avec le temps plus poisant et plus mur. Mais je trouve que, au rebours, faisant le cheval échappé, il se donne cent fois plus d’affaire

il change son absence Dans une bouche où sa forme se meurt, Je hume ici ma future fumée, Et le ciel chante à l'âme consumée Le changement des rives en rumeur. Beau ciel, vrai ciel, regarde-moi qui change! Après tant d'orgueil, après tant d'étrange Oisiveté, mais pleine de pouvoir, Je m'abandonne à ce brillant espace, Sur les maisons des morts mon ombre passe Qui m'apprivoise à son frêle mouvoir. L'âme exposée aux torches du solstice, Je te soutiens, admirable justice De la lumière aux armes sans pitié