Oie

présidé à la vie de Gervaise. N’est-ce pas là un pari qui paraît avoir été gagné par l’auteur qui ne laisse guère de place au hasard ?4Jie nis - GriLwixl pglell g cilaXl ails - t.ONoUE+ GGsnEol CoHoy OUECl 2 Te t.ONoUEt | +OKWe N tC-OOclEl tElo-HXKolEl - OIE CHAU “a . UNIVERSITE SULTAN MOULAY SLIMANE a. FACULTE DES LETTRES ET DES SCIENCES HUMAINES - BENI MELLAL <a — Jile ris 425 :c1.ya Glaser aAgl -ggald Gul gyLit D4) : AV, IBN KHALDOUN - OULED HAMDANE, B.P.524 , BENI MELLAL && : 0523

Ecriture lyrique B.Ecriture tragique | SATIRE DE LA BOURGEOISIE : Personnification burlesque des volailles en bourgeois hypocrites & marérialistes → ne peuvent/veulent pas s'envoler | ''dindons noirs comme des huissiers'', ''jeune oie en pleurs'', ''gros coq satisfait'' | Monotonie, calme, modération | ''n'eut jamais de souhait impossible'', ''aucun rêve de lune'', ''loin des songes vains'' | Champ lexical de la ferme | ''le crottin'', ''canard'', ''bac''...

couple ne possède plus d’argent c’est en dépensant tout comme cela. La situation se détériore encore plus avec le retour de l’ex mari de Gervaise qui se nomme Lantier qui réapparaît le soir d’un dîner au cours duquel Gervaise, pour sa fête sert une oie à ses invités. Coupeau accepte donc d’héberger Lantier. Cela rajoute encore une pension que Lantier ne paiera jamais à Gervaise et Coupeau. Rapidement Coupeau et Lantier s’entendent bien ensemble et dépensent tout l’argent que Gervaise gagne dans l’alcool

lo/ecti& était dac4$érir des connaissances &iscales et da!!rendre s$r le terrain les di&&érentes &onctions 4$eerce lins!ecte$r des im!"ts. im!"t est $n !rél8%ement oligatoire < lirement consenti =# e&&ect$é !ar %oie da$torité !ar l>tat o$ ses organes# s$r les resso$rces de to$te !ersonne# morale o$ !h?si4$e# %i%ant s$r son territoire# so$s &orme de contri$tion o$ de cotisation sociale# !o$r @tre a&&ecté a$ ser%ices d$tilité générale. im!"t

Le s outil d'anal l s yse ittéraire BAC[CH ] ANNAL .FR ES Ce tte fich e e st un aide -m ém oire q ui prése nte ls principaux outil de l e s ' anal l yse ittéraire ; ls notions e ne sont pas dév l e oppée s m ais re nv nt à v oie otre cours. Par e xe m pl, "poésie " induit l v rsification, e a e ls form e s du poèm e , ls m ouv m e nts l e e e ittéraire s e tc. Tous ce s él e nts sont l ls uns aux autre s : ls pronom s, l lxiq ue , l ponctuation pe uv nt ém iés e e e e a e m arq ue r l subje

quatrains et deux tercets. Il y a des allitérations en [m] du vers 9 (« Amour inconstamment me mène »). Elle fait des rimes embrassées dans les quatrains et les rimes croisées et plates dans les tercets. Le poème a seulement quatre rimes différentes : « oie », « ure », « ène/eine/aine », et « eur ». Cela donne une impression de mélodie qui vient renforcer le registre lyrique et la sensation d’une structure en boucle du poème. Les rimes finales en « eur » rappellent le lecteur du début et titre de ce

elle organise un repas pantagruélique dans la blanchisserie. Le père Bru est invité pour éviter d'être treize à table et tous les personnages sont donc réunis. L'extrait correspond à un moment fort du récit : celui de l'arrivée du plat principal : une oie rôtie. Cet extrait traite donc du thème de la nourriture et est une peinture des mœurs populaires, l'intérêt dramatique (apogée de l'ascension sociale de Gervaise) s'accompagne donc d'un intérêt sociologique car la scène se veut le reflet des réalités

proposa, comme expédient, de faire telle chose. Comme ouvrage de circonstance, cette pièce a du mérite. II. Quelques exemples Accueillant comme une porte de prison Avare comme un colimaçon Bavard comme une pie Belle comme le jour Bête comme une oie Bête comme chou Beau comme un camion

retrouve Virginie qui lui donne des nouvelles de Lantier. CHAP 7 : présente la revanche de Gervaise sur les Lorilleux. Pour sa fête, Gervaise donne un «gueuleton» à quatorze convives qui font ripaille dans la boutique. Dont le met principal est une oie rôtie c'est le signe d'une certaine réussite, mais aussi la première étape de sa chute implacable. Lantier y fait irruption et, bénéficiant de la complaisance de Coupeau, prend pension dans la maison, aux dépens de Gervaise. Un ménage à trois se forme:

gourmande, elle grossit. Coupeau, quant-à lui, boit de plus en plus, des alcools et pas seulement du vin. La situation se détériore encore avec le retour de Lantier. Il réapparaît le soir d'un fameux dîner au cours duquel Gervaise, pour sa fête, sert une oie à ses invités ; c'est le signe d'une certaine réussite, mais aussi la première étape de sa chute implacable. Coupeau accepte d'héberger Lantier, moyennant une pension que celui-ci ne paiera jamais. Les deux hommes mènent belle vie, mangeant et buvant