Œil Oudjat

Écriture d'invention: Franck et Antoine Les deux metteurs en scène ont choisi de monter la scène 1 de l'acte III de Les Caprices de Marianne de Musset. Ils ont chacun une vision différente du personnage de Marianne. Les deux amis sont à la terrasse d'un café Parisien. Franck. Troublée?! Vous voyez là une Marianne troublée! Antoine. Et bien oui, il me semble qu'il n'y a rien de plus évident que cela, il lit le texte, « Quel dommage! ... quel grand malheur! » ou encore « comme le hasard

Commentaire de texte [...] Le plaisir qu'éprouvait Lucien, en voyant pour la première fois le spectacle à Paris, compensa le déplaisir que lui causaient ses confusions. Cette soirée fut remarquable par la répudiation secrète d'une grande quantité de ses idées sur la vie de province. Le cercle s'élargissait, la société prenait d'autres proportions. Le voisinage de plusieurs jolies Parisiennes si élégamment, si fraîchement mises, lui fit remarquer la vieillerie de la toilette de Mme de Bargeton

__.--------------.__ <<(__! Introduction !__)>> '--------------' L' hypnotisme est plus efficace lorsque le corps et l'esprit de l'hypnotise sont relaxes, et que l' esprit est positif. Contrairement a ce que les gens pensent en general, ce n' est pas un etat de trans ou vous: <UL><UL> o Etes completement influencable o Ne pouvez pas mentir o Vous endormez et ne pouvez vous reveiller sans aide. Cela peut mettre fin a vos espoirs, mais l' hypnotisme

SCENE 1 HUIS CLOS Cette première scène fonctionne comme une scène d’introduction théatrale, une présetation du lieu, cela programme le reste de l’intrigue 1) les caracteristiques de l’enfer - Le garçon nous apprend que l’enfer est un hotel de plusieurs étages.Le garçon vit chez son oncle au 3ème étage (p19).La pièce est un salon du second empire .Ce « salon » n’est donc pas le seul,il est reproduit des centaines de fois dans cet hotel.C’est un décor surnaturel. - L’enfermement est total

Thérèse Raquin, extrait du chapitre 21 de Zola. Contexte : Pour vivre leur amour de façon libre, les deux amants, Laurent et Thérèse tuent le mari de cette dernière. Cependant loin de profiter de cette « liberté », ils sont rongés par la culpabilité.(ceci ne fait pas partie du texte original) Un fait, dont tout autre aurait souri, lui fit perdre entièrement la tête. Comme il se trouvait devant la cheminée, il entendit une sorte de grattement. Il pâlit, il s’imagina que ce grattement venait

Introduction : L’extrait étudié ce situe dans la première partie du livre de Albert Camus intitulé « L’étranger » et plus précisément dans le Chapitre 6. Je vais donc vous présenter une analyse en trois parties traitant tout d’abord le sujet de la place d’Etranger de Meursault dans cet environnement qui lui est hostile puis le parcours initiatique de Meursault et enfin la dimension tragique du passage. Pour situer ce passage dans le texte nous pouvons dire que nous sommes le dimanche où Meursault

données. Chacun au même niveau, suffisamment espacés les uns des autres. J’ai choisi de les placer tous ici, face au miroir, de façon à ce que lorsque l’un d’eux joue une scène je puisse le voir et sans pour autant détourner mon regard, je peux jeter un œil sur ceux qui sont assis, et vérifier que tout se passe bien d’un côté comme de l’autre, qu’ils se regardent ou alors qu’Emilie ne s’énerve pas sur l’un, qu’Arnaud ne fasse de bisous incessant à sa voisine, qu’Olivier soit attentif à ce qui se passe

SALLINGER. de Bernard-Marie Koltès. Scène première: La nuit est profonde, mais il y a de très légers reflets - très légers, et de formes étranges - blancs, sur le sol. Sans rien voir d'autre, on entend, au loin, une conversation à voix basse. June: Tu vois bien comme c'est fermé, et bien fermé, avec de hauts murs pour qu'on n'entre pas la nuit; défense absolue d'entrer, impossible d'entrer; on s'en va. Carole: J'ai vu la porte, une grille pas plus haute que moi, qu'on peut escalader.

Hôpital de guerre La salle est vaste, les tentures en enfilade Semblent s’éteindre dans le lointain, à l’infini Perspective envoûtante qui glace, happe. Puis, il y a un lit. Voudrait y reposer un visage hâve. L’oreiller le porte comme oiselet sous son poids se froisser. Paupières closes, lèvres entrouvertes Pour un souffle déjà perdu, Il faudrait assister Cette âme presque passée S’imbiber d’un peu d’humanité. Puis, il y a un lit. Les draps renversés Jettent aux regards

des icônes, etc.[2] pour la religion. Mais d’un autre côté, certaines personnes sont aussi capables d’influencer leur entourage (volontairement ou pas) en se servant de leur regard. C’est sur ces suppositions que repose la fameuse légende du „mauvais oeil“ dont se servira aussi Théophile Gautier dans une autre nouvelle fantastique: Jettatura. Si on avance un peu dans le temps, le XVI ème siècle accorde lui aussi un rôle majeur au sens de la vue[3]. Il est absolument impératif de savoir contrôler