Obéir Aux Lois Est Ce être Esclave

« l'ensembledes règles imposées aux membres d'une société pour que leurs rapports sociaux échappent à l'arbitraire et à la violence des individus et soient conformes à l'éthique dominante » 2. Ces règles abstraites et obligatoires indiquent ce qui « doit être fait » , les « droits et devoirs » qui incombent aux citoyens d'une société donnée. Ces règles, ou bien découlent de l'existence d'une source "supérieure", extérieure, transcendante, comme le Droit naturel ou une Charte religieuse, ou bien découlent

nationalité) et elle suppose que le citoyen ait des droits et des devoirs dans le cadre de sa cité/son Etat. Mais la citoyenneté n’implique pas forcément la démocratie (régime politique dans lequel le peuple a le pouvoir soit de voter directement les lois soit des de désigner des représentants qui le font pour lui) : ce fut le cas à Athènes, mais pas à Rome. Doc. 1 page 42 : « L’Empire d’Athènes à son apogée, au Vème siècle avant J.-C. » Frise page 41 : « Citoyenneté et démocratie à Athènes (Vème-IVème

Le Monde Antique Introduction : Athènes et Rome, berceau de la citoyenneté actuelle ? Être citoyen c'est être reconnu comme membre d'un état , d'avoir des droits mais aussi des devoirs... La citoyenneté est née et s 'est développée dans l'antiquité : à Athènes puis a Rome. Dossier pages 38-39 Athènes est une cité (groupes d'hommes indépendant des autres, ayant son gouvernement, ses lois, sa religion et ses propres meurs) située en Grèce continentale. On étudiera les 5ème et 4ème siècle

L’île des esclaves L’Île des esclaves est une comédie en un acte de 11 scènes et en prose de Marivaux représentée pour la première fois le lundi 5 mars 1725, à l’Hôtel de Bourgogne par les Comédiens Italiens.Le mélange des genres se retrouve sur tous les plans : les personnages grecs, le naufrage ainsi que le caractère d’Euphrosine tendent vers une tragédie. Mais la pièce est bien une comédie : confusion des sentiments, échanges de pouvoir entre maîtres et valets, enfin l’aspect résolument comique

que c’est la lâcheté et la perte du désir de sortir des fers qui laissent les hommes dans l’esclavage. Chapitre III : Du droit du plus fort Le fort s’il veut rester maître doit transformer sa force en droit et l’obéissance en devoir. S’il faut obéir par force, nul n’est besoin d’obéir par devoir. Le mot droit n’ajoute donc rien à la force. Chapitre IV : De l’esclavage Toute autorité légitime parmi les hommes repose sur des conventions. Aliéner, c’est donner ou vendre. Le peuple se vend au

idéal social et politique exigeant la coopération entre les citoyens. Cela doit toute fois répondre à certaines conditions, c’est-à-dire, que le peuple devrait suivre la volonté générale. Il est cependant difficile de faire obéir une population lorsqu’il n’y a pas d’autres lois que de faire ce qui est bien pour la société. De plus, cette forme de liberté deviendrait un paradoxe dans le fait qu’elle empêcherait la liberté totale. L’idée principale de la théorie de Rousseau est que, afin de mettre

Le mot « robot » trouve son origine dans les langues slaves (polonais, tchèque,...) dans le mot robotnik qui signifie esclave ou travailleur. Le mot a été utilisé pour la première fois en 1921 par Karel Capek qu’on cite comme son créateur (il figure dans une pièce de théâtre appelée R.U.R. pour Rossum’s Universal Robots). Sa définition selon le dictionnaire (Petit Robert éd. 1994) est : « Mécanisme automatique à commande électronique pouvant se substituer à l’homme pour effectuer certaines opérations

pouvoir, cité, Problématique : Pourquoi l’Etat existe-t-il et comment alors doit on structurer le pouvoir ? Thèse : L’Etat existe par nature, l’homme est alors un animal politique qui par son excellence doit respecter et faire appliquer les lois ayant le pouvoir. I- La cité est une association des hommes naturelle ayant pour but le bien commun. Cependant pour comprendre cette cité, il faut étudier les plus petits éléments qui la composent, c’est-à-dire l’homme est les sous parties de la cité

extrait est rédigé au registre polémique car il dénonce les errements moraux. -Enfin, le dernier texte est un extrait du livre « Réflexions sur l’esclavage des Nègres » 3) Document 1 : Montesquieu, « De l’esclavage des Nègres », De l’Esprit des Lois, Livre XV, chapitre 5 (1748). Dans ce premier texte, l’auteur utilise un ton ironique et commence par la conjonction « si » permettant d’émettre une hypothèse, pour également éviter la censure. Il définit l’esclavage comme un manque d’humanité. Il

La liberté est un sentiment immédiat : être libre signifie pouvoir faire ce que je veux. Je suis libre, je me sens libre lorsque rien ne s’oppose à la réalisation de mes désirs. J’aime la liberté car elle est l'égale de mon développement de personnalité. Etre libre, ce serait, dans un premier temps qui correspond à mon sentiment immédiat, ne pouvoir suivre que ma volonté. Nous pouvons dès lors reformuler notre problème:Qu'est ce qui fait de nous un homme libre ? C’est ce problème que nous nous proposons