O Tourments Fatalité

quand il veut concevoir Ces natives grandeurs, aux lieux où se font voir La nudité de l’homme et celle de la femme, Sent un froid ténébreux envelopper son âme Devant ce noir tableau plein d’épouvantement. Ô monstruosités pleurant leur vêtement ! Ô ridicules troncs ! torses dignes des masques ! Ô pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques, Que le dieu de l’Utile, implacable et serein, Enfants, emmaillota dans ses langes d’airain ! Et vous, femmes, hélas ! pâles comme des cierges, Que ronge

tombé. HORS DE LA TERRE I. ET NOX FACTA EST 6 La fin de Satan * Antres noirs du passé, porches de la durée Sans dates, sans rayons, sombre et démesurée, Cycles antérieurs à l'homme, chaos, cieux, Monde terrible et plein d'êtres mystérieux, O brume épouvantable où les préadamites Apparaissent, debout dans l'ombre sans limites, Qui pourrait vous sonder, gouffres, temps inconnus! Le penseur qui, pareil aux pauvres, va pieds nus Par respect pour Celui qu'on ne voit pas, le mage, Fouille la profondeur

devoir, représentation de la classe sociale et culture : idéal de l’honnête homme. C’est la naissance de la psychologie. On prend conscience de l’importance du cœur et de la passion, vue comme un danger. Le roman sert à expliciter ces dangers et tourments qu’ils provoquent. L’amour est la ruine de l’âme, il rend la volonté impuissante. Il faut conserver à tout prix la bienséance comme dans la Princesse de Clèves. L’extrait, les axes et la problématique | - Passage situé au début de l’œuvre

quand il veut concevoir Ces natives grandeurs, aux lieux où se font voir La nudité de l‘homme et celle de la femme, Sent un froid ténébreux envelopper son âme Devant ce noir tableau plein d‘épouvantement. O monstruosités pleurant leur vêtement! O ridicules troncs! torses dignes des masques! O pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques, Que le dieu de l‘Utile, implacable et serein, Enfants, emmaillota dans ses langes d‘airain! Et vous, femmes, hélas! pâles comme des cierges, Que ronge et

quand il veut concevoir Ces natives grandeurs, aux lieux où se font voir La nudité de l'homme et celle de la femme, Sent un froid ténébreux envelopper son âme Devant ce noir tableau plein d'épouvantement. O monstruosités pleurant leur vêtement! O ridicules troncs! torses dignes des masques! O pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques, Que le dieu de l'Utile, implacable et serein, Enfants, emmaillota dans ses langes d'airain! Et vous, femmes, hélas! pâles comme des cierges, Que ronge et

Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, A cette horrible infection, Etoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion ! Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements. Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposés !1 / 19Lycée Tocqueville – 1ère générale TESLA

Pylade et en perd la raison.ProblématiqueComment Oreste sombre-t-il progressivement dans la folie ?I. Oreste ou le paroxysme de la souffrance (v. 1613-1624)· Oreste s'adresse directement aux Dieux, les interpelle par l'apostrophe "Ô ciel"· Selon lui, il est victime de la fatalité, des Dieux attachés à sa perte. Il n'a été que le jouet d'une puissance qui le dépasse : "ta persévérance", "sans relâche", "me punir", "ta haine" => allusion à sa destinée : "j'étais né pour servir d'exemple à ta colère",

maitre de la forme poétique non seulement en renouvelant le sonnet mais également en donnant ses lettres de noblesse à la poésie en prose à travers le recueil intitulé « Le spleen de Paris ». Malgré cette richesse créative Baudelaire est un être tourmenté par l’ existence et traduit ses angoisses à travers la notion de spleen qui correspond à une profonde mélancolie mais qui se voit parfois dépassé par son antithèse à savoir l’idéal qui correspond notamment au poème « Elévation » que l’on retrouve

texte est écrit en décasyllabes (10 syllabes) pour mieux évoquer les tourments de l’auteur. Le texte est composé de 2 quatrain (4 vers) pour décrire l’instabilité lié à l’amour et de 2 tercets (3 vers) où elle sonne l’explication de ses changement et montre qu’ils sont inévitables *(2 vers : distique, 5 vers quintil, 6 vers sizain) En lisant ce texte, on peut se demander comment ce sonnet exprime-t-il l’amour et ses tourments. Je vais donc étudié deux grandes parties, la première l’instabilité

| |Les figures de style |Anaphore « quelles » |Mise en évidence des tourments et instabilité psychologique |Synthèse :la scène six met en évidence | | | | |la souffrance psychologique de Wilfried| | |Gradation « ô | |qui rejette son nouveau statut racial