O Souvenirs Printemps Aurore Victor Hugo

mère (1954) Ômon passé, ma petite enfance, ô chambrette, coussins brodés de petits chats rassurants, vertueuses chromos1, conforts et confitures, tisanes, pâtes pectorales2, arnica, papillon du gaz3 dans la cuisine, sirop d’orgeat, antiques dentelles, odeurs, naphtalines4, veilleuses de porcelaine, petits baisers du soir, baisers de Maman qui me disait, après avoir bordé mon lit, que maintenant j’allais faire mon petit voyage dans la lune avec mon ami un écureuil. Ô mon enfance, gelées de coings, bougies

Anthologie poétique Victor HUGO 1802-1885 Hugo par Nadar , 1887 « Ici durent longtemps les fleurs qui durent peu . Ici l’âme contemple, écoute, adore, aspire Et prend pitié du monde, étroit et fol empire » Les feuilles d’automne Victor HUGO, l’homme aux multiples talents Fils d'un général d'Empire souvent absent, Victor Hugo est élevé surtout par sa mère. Alors qu'il est encore élève au lycée Louis le Grand, il se fait connaître en publiant son premier

réflexion métaphysique. Comme le fait remarquer Ludmilla Charles-Wurtz l’année 1848 est capitale pour Hugo dans le domaine politique : il est élu à l’Assemblée Constituante. En revanche cette année représente une sorte de blanc dans l’écriture, puisqu’il n’écrit alors qu’un seul poème, « Veni, Vidi, Vixi ». Treizième pièce de Pauca Meae, ce poème précède directement le bien connu « Demain dès l’aube ». Hugo y peint un tableau particulièrement sombre : il s’y présente comme mort (vixi signifie en latin

monde, une réincarnation afin de devenir meilleur,… Chacun se fait sa propre idée de la mort étant donné que celle-ci n’offre pas de réponses aux hommes. Dans cette anthologie, vous pourrez y retrouvez  le point de vue de 3 grands poètes tel que Victor Hugo avec le poème Veni, vidi, vici ; Arthur Rimbaud avec le dormeur du val ; ainsi que Paul Eluard avec Notre vie. J’ai sélectionné 2 chansons traitant la mort comme sujet, la première a été écrite par Soprano qu’il chantera avec Lea Castel et se nomme

est beau et que en grandissant tout s'assombrit,Victor Hugo illustre aussi très bien cette période avec le poème « Cicatrice ». La jeunesse désigne aussi la période de l'adolescence qui elle est le signe des sentiments décuplés,de la construction de vie, de la passion et du désir,le poéme « A la musique » de Rimbaud illustre l'image d'un adolescent admirant une jeune fille,remplit d'insouciance et de critique,Le poème « A une jeune fille » de Victor Hugo montre ainsi ses regrets et la beauté qu'est

Laurent Etiennne & Cardi Mathilda 1ES1 Petit recueil de poèmes illustrés et tirés des « Contemplations » ( Victor Hugo – 1856 ) PREFACE Hugo peut paraître effrayant pour un élève de collège pas très attiré par la littérature du 19e siècle, pourtant il s'avère que Hugo exprime avec une grande simplicité les sentiments qu'y le traverse ou le traversèrent. Le rendant compréhensible à la fois d'un public adepte de poésie mais aussi de personnes la découvrant. C'est pourquoi dans ce recueil

nous trouvons l'œuvre du grand auteur Alphonse de Lamartine (1790-1869) qui s'intitule «Le Lac» écrite en 1820. Lamartine nous montre ici que ce lac lui évoque ces souvenirs, qu'il y ait attaché car ses plus beaux moments y sont lié. Ce texte m'a touché car il me fait penser également à des endroits qui m'évoque de magnifiques souvenirs. Cet endroit est comme le confident de l'auteur et çela montre à quel point il est attaché à la nature. Puis nous poursuivons avec l'auteur Alfred de Musset (1810-1857)

révèle à lui-même ; – le goût des larmes. Ses thèmes de prédilections sont : la nature ; l'impression de la fuite irrémédiable du temps ; l'univers intérieur ; l'action. Les auteurs et leurs principales oeuvres sont : _Victor Hugo ( 1802 – 1885 ) avec « la préface de Cromwell » en 1827, « la Bataille d'Hernani » en 1830 et « Ruy Blas » en 1838. _ Alfred de Musset ( 1810 – 1857 ) avec « Lorenzaccio », « Fantasio » et « On ne badine pas avec l'amour » en 1834. _ Alfred de Vigny

caisse, Entre deux frais de bal : Entretien tombe et messe. C'est gai, Cette vie ; Hein, ma mie, Ô gué ? Mesdames et Messieurs, Vous dont la sœur est morte, Ouvrez au fossoyeux Qui claque à votre porte ; Si vous n'avez pitié, Il viendra (sans rancune) Vous tirer par les pieds, Une nuit de grand'lune ! Importun Vent qui rage ! Les défunts ? Ça voyage.... [ Victor HUGO - Ce que c'est que la mort ] Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez. On voit ce que je vois et

Enleva de mes bras cette chère partie  D'un agréable tout qu'avait fait l'amitié. Mais, ô divin esprit qui gouvernait mon âme,  La Parque n'a coupé notre fil qu'à moitié,  Car je meurs en ta cendre et tu vis dans ma flamme. François Tristan l’Hermite, Les Plaintes d'Acante, 1648 Chose vue un jour de printemps Entendant des sanglots, je poussai cette porte. Les quatre enfants pleuraient et la mère était morte. Tout dans ce