O Souvenirs O Printemps Victor Hugo

historiques : romans se proposant de faire revivre telle ou telle période de l’histoire à travers les aventures de personnages de fiction. Exemples : la révolte antirépublicaine des paysans bretons  dans Les Chouans de Balzac ou Quatre-vingt-treize de Victor Hugo. b) Les romans ancrés dans une situation historique Romans fortement et volontairement ancrés dans une situation historique précise qui leur sert de cadre permettant aux lecteurs de s’immerger dans une époque, un milieu. Exemples  : romans

formuler que dans un rapport de réciprocité avec la nécessité d'occuper les positions favorables et de les aménager, surtout, en vue des mouvements décisifs. Plaire et convaincre ne vont pas sans ces calculs qui font la spécificité de l'écrire Hugo, par l'application ou la subversion qu'ils opèrent des règles de la dispositio, en quoi consiste l'invention du roman et se mesurent les intentions du romancier. Effets, à tout coup, d'une « préméditation involontaire ». Composer, c'est, par exemple

Claude Gueux, Victor Hugo s'engage contre la peine de mort. c) La sensibilité des auteurs Les romanciers ne se contentent pas de rendre platement compte de la réalité sociale, ce sont avant tout des écrivains qui expriment leur sensibilité et s’adressent à la sensibilité des lecteurs, à travers un style efficace qui leur est propre et en utilisant les ressources de la création romanesque. Exemples : sublimation des foules révoltées chez Zola, les figures emblématiques du peuple chez Hugo (Jean Valjean

puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se mit à rire, et moi je me sentais rougir, et je ne pouvais trouver rien à lui répondre. ½º Å ÖÓÕÙ Ò Ù Öº ¾º ×× ÙÖ ³ÙÒ Ú Ö Ø ³ º ¿º À Ö × Ø Ð ×× Ñ ÒØ Ó Ð³ÓÒ Ð Ú × ºË × Ò Ö Ö Ð × Ò ÖÓ Üº º Ô Ò Ð ØØ ´Ø ÖÑ ³ ÖØ ÐÐ Ö µ Ù ÐÐ Ú ÙÜ Ö º Ö ÔÓÙÖ Ô Ö Ö Ð × Ø ÔÓÙ Ö Ù× Ðº Sujet 1 ¾ ¿¼ – Allons, mon cœur, reprit-elle, fais-moi sept aunes de dentelle noire pour une mantille, épinglier de mon âme ! Et prenant

Groupements de textes : 1) Bouleversements poétiques au XIXème et XXème siècles : « Hier au soir », Victor Hugo, Les Contemplations, 1856 Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, Nous apportait l’odeur des fleurs qui s’ouvrent tard ; La nuit tombait ; l’oiseau dormait dans l’ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse ; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C’est l’heure solennelle Où l’âme aime à chanter son hymne le plus doux.

quartier populaire de lEst de la ville appel le Faubourg mlasse. Mais son pre, qui tait comptable, tint ce que ses enfants reoivent une bonne ducation. Ainsi, de 1943 1951, il fut lve des jsuites, au collge Sainte-Marie, que jouxte la salle du Gsu o il monta sur les planches en amateur et prit got au thtre. Ds 1949, il publia _________________________________________________________________________________ Couleurs des jours mls (1949) Recueil de pomes Commentaire Marcel Dub gagna le second prix

Vhomme extrême, Vécart ne se mesure pas. Y a-t-il une preuve que Rimbaud ait essayé, par la suite, de rentrer en possession des poèmes abandonnés aux mains de ses anciens amis? A notre connaissance, pas une. Vindiffè' rence complète. Il en a perdu le souvenir. Ce qui sort maintenant de la maigreur de la branche en place des fruits, du temps qriil était un jeune arbre, ce sont les épines victorieuses, piquants qui furent annoncés par Ventêtant parfum des fleurs. + Vobservation et les commentaires a"un

dentelle, puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se mit à rire, et moi je me sentais rougir, et je ne pouvais trouver rien à lui répondre. ½º Å ÖÓÕÙ Ò Ù Öº ¾º ×× ÙÖ ³ÙÒ Ú Ö Ø ³ º ¿º À Ö × Ø Ð ×× Ñ ÒØ Ó Ð³ÓÒ Ð Ú × ºË × Ò Ö Ö Ð × Ò ÖÓ Üº º Ô Ò Ð ØØ ´Ø ÖÑ ³ ÖØ ÐÐ Ö µ Ù ÐÐ Ú ÙÜ Ö º Ø ÔÓÙ Ö Ù× Ðº ½¼ ½ ¾¼ Ö ÔÓÙÖ Ô Ö Ö Ð × Sujet 1 – Allons, mon cœur, reprit-elle, fais-moi sept aunes de dentelle noire pour une mantille, épinglier de mon âme ! Et prenant la fleur de cassie qu’elle

dentelle, puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se mit à rire, et moi je me sentais rougir, et je ne pouvais trouver rien à lui répondre. ½º Å ÖÓÕÙ Ò ¾º ×× ¿º À Ö × Ø ºË × Ò Ö º Ô Ò Ð ØØ Ù Öº ÙÖ ³ÙÒ Ú Ö Ø ³ º Ð ×× Ñ ÒØ Ó Ð³ÓÒ Ð Ú × Ú ÙÜ Ö º Ö Ð × Ò ÖÓ Üº ´Ø ÖÑ ³ ÖØ ÐÐ Ö µ Ù ÐÐ Ö ÔÓÙÖ Ô Ö Ö Ð × Ø ÔÓÙ Ö Ù× Ðº Sujet 1 ¾ ¿¼ – Allons, mon cœur, reprit-elle, fais-moi sept aunes de dentelle noire pour une mantille, épinglier de mon âme ! Et prenant la fleur de cassie

défenseur d’Ilion, toi le protecteur de notre belle cité, toi le sauveur des Troyennes et de leurs jeunes enfants ! Bientôt, sans doute, nos ennemis nous entraîneront sur leurs navires et nous réduiront toutes à l’esclavage. Ils t’emmèneront aussi, ô mon fils ; ils te soumettront à des travaux avilissants et grossiers, et tu seras sous les ordres d’un maître cruel. Peut-être bien aussi qu’ils t’arracheront de mes bras pour te précipiter du haut des tours, afin de venger par ta mort le meurtre d’un