O Gouffre De V Hugo

plus représentatifs de ce siècle. Comme tous les modules d’Histoire littéraire, ILF II demande une grande participation de l’apprenant dans son apprentissage. En ce sens, nous vous invitons à lire les textes suivants : R. de Chateaubriand, Renée V. HUGO, Ruy Blas Hernani H. de Balzac, le Père Goriot STENDHAL, le Rouge et le Noir Flaubert, Madame Bovary ZOLA,l’Assommoir Introduction générale au module Qu’est-ce qu’un mouvement littéraire ? Cette notion, essentielle à la lecture historique

lune, soudain il me sembla que le doigt de Dieu effleurait le clavier de l’orgue universel. Ainsi les phalènes bourdonnantes se dégagent du sein des fleurs qui pâment leurs lèvres aux baisers de la nuit. J’enjambai la fenêtre, et je regardai en bas. Ô surprise ! Rêvais-je ? Une terrasse que je n’avais pas soupçonnée aux suaves émanations de ses orangers, une jeune fille vêtue de blanc, qui jouait de la harpe, un vieillard vêtu de noir qui priait à genoux ! — Le livre me tomba des mains.   « Je

puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se mit à rire, et moi je me sentais rougir, et je ne pouvais trouver rien à lui répondre. ½º Å ÖÓÕÙ Ò Ù Öº ¾º ×× ÙÖ ³ÙÒ Ú Ö Ø ³ º ¿º À Ö × Ø Ð ×× Ñ ÒØ Ó Ð³ÓÒ Ð Ú × ºË × Ò Ö Ö Ð × Ò ÖÓ Üº º Ô Ò Ð ØØ ´Ø ÖÑ ³ ÖØ ÐÐ Ö µ Ù ÐÐ Ú ÙÜ Ö º Ö ÔÓÙÖ Ô Ö Ö Ð × Ø ÔÓÙ Ö Ù× Ðº Sujet 1 ¾ ¿¼ – Allons, mon cœur, reprit-elle, fais-moi sept aunes de dentelle noire pour une mantille, épinglier de mon âme ! Et prenant

dentelle, puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se mit à rire, et moi je me sentais rougir, et je ne pouvais trouver rien à lui répondre. ½º Å ÖÓÕÙ Ò Ù Öº ¾º ×× ÙÖ ³ÙÒ Ú Ö Ø ³ º ¿º À Ö × Ø Ð ×× Ñ ÒØ Ó Ð³ÓÒ Ð Ú × ºË × Ò Ö Ö Ð × Ò ÖÓ Üº º Ô Ò Ð ØØ ´Ø ÖÑ ³ ÖØ ÐÐ Ö µ Ù ÐÐ Ú ÙÜ Ö º Ø ÔÓÙ Ö Ù× Ðº ½¼ ½ ¾¼ Ö ÔÓÙÖ Ô Ö Ö Ð × Sujet 1 – Allons, mon cœur, reprit-elle, fais-moi sept aunes de dentelle noire pour une mantille, épinglier de mon âme ! Et prenant la fleur de cassie qu’elle

dentelle, puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se mit à rire, et moi je me sentais rougir, et je ne pouvais trouver rien à lui répondre. ½º Å ÖÓÕÙ Ò ¾º ×× ¿º À Ö × Ø ºË × Ò Ö º Ô Ò Ð ØØ Ù Öº ÙÖ ³ÙÒ Ú Ö Ø ³ º Ð ×× Ñ ÒØ Ó Ð³ÓÒ Ð Ú × Ú ÙÜ Ö º Ö Ð × Ò ÖÓ Üº ´Ø ÖÑ ³ ÖØ ÐÐ Ö µ Ù ÐÐ Ö ÔÓÙÖ Ô Ö Ö Ð × Ø ÔÓÙ Ö Ù× Ðº Sujet 1 ¾ ¿¼ – Allons, mon cœur, reprit-elle, fais-moi sept aunes de dentelle noire pour une mantille, épinglier de mon âme ! Et prenant la fleur de cassie

l'ensemble des conflits qui gênent la progression de l'action et sont autant d'obstacles à la volonté des héros ; les péripéties (acte IV) qui infléchissent le cours de l'action et retardent ou modifient le dénouement attendu ; le dénouement (acte V) qui marque la résolution définitive du conflit. Heureux dans la comédie, il est le plus souvent marqué par la mort dans la tragédie. Idéalement, il doit résulter de la logique de l'action elle-même et éviter les interventions peu crédibles. Quels

Comme la pierre du torrent ; Par des larmes d’amour creusée, Séchée avec des pleurs de sang. ………………………………………………….. Bâton des aveugles ! Béquille 7 Des vieilles ! Bras des nouveau-nés ! Mère de madame ta fille ! Parente des abandonnés ! - O Fleur de la pucelle neuve ! Reposoir de la femme veuve... Et du veuf Dame-de-merci ! Fruit de l’épouse au sein grossi ! ………………………………………………….. Prends pitié de la fille-mère, Du petit au bord du chemin. Si quelqu’un leur jette la pierre, Que la

types de regards, de l’effroi à l’admiration. 2. Le mot « grotesque » acquiert des significations particulières chez les auteurs romantiques (Hugo, Musset…). Il ne se limite pas à la seule dimension burlesque ou comique, mais ouvre sur une esthétique de la fantaisie, du fantasque qui mêle horreur et humour, imagination délirante et satire. Victor Hugo en fait l’une de ses catégories esthétiques dans la préface de Cromwell et l’oppose au sublime. Pistes : il est intéressant d’orienter les

poétique. | Texte 1 : Jean de SPONDE, Sonnets, (1597)Texte 2 : Arthur RIMBAUD, Poésies, « Le Dormeur du val », (1870).Texte 3 : Victor HUGO ,Les Châtiments, Livre II, 3, « Souvenir de la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux parisiens, « Rêve parisien », (1861).-Victor HUGO, Les Orientales, « Rêverie », « Les Djins », strophes 1 à 8,(1829).-Maurice ROLLINAT, Les Névroses, « La Bibliothèque », 1883.-Aloysius

révolution qui amène de nombreuses désillusions après un demi-siècle de fortes agitations politiques), que sur le plan littéraire et culturel (on est en plein romantisme et l’écriture théâtrale est bouleversée avec le drame romantique théorisé par Hugo). Enfin la genèse de l’œuvre est connue : George Sand, à partir d’une chronique historique de la Renaissance, écrite par un historiographe nommé Varchi, a écrit une scène historique, Une conspiration en 1537. Elle la donne à son amant, Musset qui