Névrose Psychose

dans le temps, il y a pathologie lorsque s’est installé, ce n’est pas que temporaire. Il existe deux types de tests : - les tests intellectuels (QI) * Les tests projectifs Les troubles envahissants du développement On parle d’autisme, psychose précoce (avant deux ans). À partir de 5-6 ans, les médecins peuvent poser des diagnostics d’autisme ou autres. Le syndrome : c’est plusieurs symptômes : * Altération des capacités de communication * Altération des capacités sociales

structures psychotiques : les psychoses La structure psychotique Le conflit se situe entre le moi et le monde externe, c’est la réalité qui est intolérable au sujet psychotique. L’angoisse est le morcellement, l’anéantissement. Il y a deux temps de résolution du conflit : Le rejet : le Moi est coupé de la réalité et le déni Le délire : reconstitution d’une nouvelle réalité qui obéit aux exigences du Ca. Le délire s’appuie sur les hallucinations Le point important dans la psychose est l’adhésion du sujet

LES CONCEPTS DE BASE EN PSYCHANALYSE L’inconscient, bion, klein, winnicott, mahler associée à la psychose, anzieu (découvert le moi-peau), pulsion, principe de réalité/complexe d’oedipe, Piera AULAGNIER : proche de LACAN Le bébé est inter-sujet. Elle montre comment, bien avant la venue du bébé, sa place est déjà pré investie par le groupe familial. René KAES : psychanalyste Concept de l’appareil psychique groupal (APG) fortifie l’hypothèse de la transmission de la vie psychique entre les générations

biographie et récits pour en enfanter le mythe personnel de Guy de Maupassant. Mais, quelles seraient les images récurrentes qui permettent de faire ressortir ce mythe ? Qu’est-ce qui prouverait que cet homme ne fut atteint d’une simple névrose mais plutôt d’une psychose ? En ce but, nous commencerions par mettre en parallèle les événements nécrologiques et les situations romancières afin d’y trouver des points communs. Cette historisation serait suivie d’une analyse du mythe œdipien dans le subconscient

dépression névrotiques et concluez sur les pronostics possibles. QUESTION N° 7 La psychose maniacodépressive se caractérise par trois formes distinctes. Vous les présenterez et conclurez sur les aperçus psychopathologiques de la cyclothymie. QUESTION N° 8 Présentez les 4 aspects généraux du tableau clinique général des psychoses délirantes QUESTION N°9 Décrivez les 3 grandes formes cliniques des psychoses délirantes aiguës en précisant pour chacune la sémiologie. Copyright réservé.

Introduction: Le délire n’est en rien définitoire des psychoses, comme on pourrait le croire. Délire n’est pas synonyme de psychose; les névrosés délirent également. Le délire n’est définitoire en fait d’aucune pathologie, qu’elle soit neurologique ou psychiatrique. Breuer (in Breuer & Freud 1895) signalait sa patiente Anna O. comme délirante, Freud (in Breuer & Freud, 1895) en disait de même d’Emmy von N. Du côté de la névrose de contrainte, l'Homme aux rats (1909) est mentionné lui aussi

sanction c pas la même chose, la thérapie des pédophiles est plus que problématique. On voit des pédophiles partout, une femme pédophile n’existe pas. Ds la plupart des cas, les agresseurs sexuels st le fait de sujets névrosés ou psychotiques. C la majorité, bien svt ce st des névrosés obsessionnels, l’obsessionnel est obsédé par la question du blasphème, de la salissure, de la faute, idée d’une faute commise par lui ou qu’il pourrait commettre, c st les TOC, l’obsessionnel se défend de sa pente au

ses manifestations. II. Les névroses a. L’hystérie b. La phobie (hystérie d’angoisse) c. La névrose obsessionnelle Inclure : TCA : Troubes du comportement alimentaire Anorexie : ne pas manger (disparition des règles) Anorexie mentale : ne pas manger mais présence de la faim (disparition des règles) Boulimie : Compulsion de manger puis contrôle du poids (purge, vomissements provoqués), sentiment de honte, de saleté. III. Les psychoses Les grands cas de psychoses – NASIO (2000) Le conflit

ou M , i.e. si pas deuil alors mélancolie ; ou D et Mélancolie, i.e. rapports de la Mel avec les psychonévroses ; La mélancolie pose la question de ses rapports à la psychose du fait de la question centrale du narcissisme. Opposer les termes de D et de M, permet d’aborder la M comme une expérience psychotique mais non pas une psychose au sens psychiatrique, i.e. en tant que témoin d’un désordre narcissique. En effet, le sujet psychotique l’est par son discours tout autant que par son fonctionnement

une impulsivité conduisant à une inadaptation sociale sans survenue de processus dissociatif. Ce concept est développé en 1924 en France par Minkowski. A la même époque, Claude décrit les schizoses et la schizomanie, qu’il situe entre les névroses et les psychoses. Il proposera en 1939 le concept de schizonévrose, développé également par Ey en 1955, caractérisé par la coexistence de comportements névrotiques polymorphes (hystérique, obsessionnel, psychopathique) et de décompensations psychotiques aiguës