Névrose Obsessionnelle

spécifique[2]. Idem pour l'instabilité chez l'enfant, rebaptisée hyperactivité, supposée liée à un trouble neurologique et traitée par un psychostimulant notoire. Ainsi, on substitue les tocs, catalogue d'obsessions de toutes sortes, à la névrose obsessionnelle avec ce qu'elle implique quant à son organisation, sa dynamique et son rapport au désir. De même, on démantèle l'hystérie sous des termes comme l'histrionisme ou les personnalités multiples[3] et lorsqu'elle revient avec des symptômes du 19éme

la communication Chapitre 4 : La psychanalyse Les psychopathologies, le désir, la sexualité, la loi. 1.1. Les névroses 1.2. Freud et sa psychanalyse 1.3. Freud et sa théorie fantasmique 1.4. Le complexe d’Œdipe Partie II : Psychopathologies Les psychoses La schizophrénie La paranoïa Les troubles de l’humeur Les Névroses L’hystérie Névrose obsessionnelle Phobie Les perversions Les perversions sexuelles La psychopathie Les états limites (Borderline)

Sadisme et masochisme 7 III Généralités concernant l’ensemble des perversions 8 a) Variation et maladie 8 b) Le facteur psychique dans les perversions 8 c) Deux résultats 8 IV La pulsion sexuelle chez les névrosés 8 a) La psychanalyse 8 b) Résultats de la psychanalyse 8 c) Névrose et perversion 9 V pulsions partielles et zones érogènes 9 VI Explication de l’apparente prédominance de la sexualité perverse dans les psychonévroses 9 VII Note sur l’infantilisme de la sexualité 9 La sexualité

de son savoir personnel. -Ilest vrai que la contrainte peut être parfois bénéfique mais cependant il y aplusieurs sortes de coercitions ; un enfant peut être obligé, par un des parents, d’assister à unspectacle qui l’altèrera à vie par des névroses obsessionnelles voir phobiques. Ou d’autres, parle peu d’autorité et de discipline que les parents font part, l’enfant se retrouva livré àlui-même dans une éducation qui ne sera pas forcément excellente. Il y a beaucoup d’enfantsen Amérique qui sont dans

Pour la psychanalyse, les symptômes névrotiques expriment des conflits psychiques dont le sujet ne peut prendre conscience : Névrose Maladie mentale dont le sujet reste douloureusement cnscient et qui, malgré les troubles permanents de la personnalité qu'elle peut entrainer, n'en n'affecte pas profondément les fonctions essentielles. 3 formes : Hystérique, obsessionnelle et la phobie. La théorie psychanalytique repose sur le dévelloppement sexuel et affectif : 2 grands domaines. C'est une théorie

fétichisme une sorte d’arrêt sur image, le fétiche se fixe là où le regard s’est arrêté, avant la découverte du manque fantasmatiquement redouté. A ce processus, Freud ne peut donner ni le nom de refoulement (Verdrängung) déjà réservé pour la névrose (où la castration est acceptée), ni celui de scotomisation, proposé par René Laforgue. Le terme scotomisation est insatisfaisant dans la mesure où il impliquerait l’éclipse totale de la représentation indésirable. En vérité, cette représentation est

Dissociation entre hystérie et épilepsie. -Distinction des fous et des déments (où il y a une perte irréversible). Il va y avoir une différenciation psychiatrique, on va avoir une précision diagnostic, un affinement dans le champ des psychoses et névroses (névrose de contrainte). III. Deux grandes théories avant Freud Avant Freud il y a eu 2 théories, que l'on considère comme dépassés : -Théorie de la dégénérescence : Fondée par Morel et Magnan, c'est l'idée qu'il y a une généalogie familiale et sociale

Les 3 structures que reconnaissent la psychopathologie: NEVROSE Sujet conscient de ses troubles ETATS LIMITES Non conscient mais se sent victime. ¨PSYCHOSE Sujet non conscient de ses troubles On s'inscrit dans une névrose quand il y a eu une résolution du complexe d’œdipe. - névrose obsessionnelle (TOC), qui se caractérise dans la maîtrise. - névrose phobique, inhibition dans le comportement lié a des peurs. - névrose hystérique, connu depuis l'antiquité. Les premières théories

comportement obsessionnel...).On note ainsi au commencement, des caractères hystériques, ou des formes obsessionnelles, de névroses d'angoisse. Il n'est pas toujours facile de distinguer les formes d'entrée dans la schizophrénie, des symptômes de la maladie concernée. On notera néanmoins parfois des symptômes de dépersonnalisation, des délires d'influence, de la bizarrerie ou des expériences de morcellement, en fait tout ce qui rappelle la psychose (voir ici la "différence entre psychose, névrose et état-limite

son savoir personnel. -Il est vrai que la contrainte peut être parfois bénéfique mais cependant il y a plusieurs sortes de coercitions ; un enfant peut être obligé, par un des parents, d’assister à un spectacle qui l’altèrera à vie par des névroses obsessionnelles voir phobiques. Ou d’autres, parle peu d’autorité et de discipline que les parents font part, l’enfant se retrouva livré à lui-même dans une éducation qui ne sera pas forcément excellente. Il y a beaucoup d’enfants en Amérique qui sont dans