Nullité En Mariage 31 Janvier 2006

sanction pénale ou un statut religieux, qui consistait en la perte de la personnalité juridique pour un individu vivant mais qui était considéré comme juridiquement mort. C’est une sorte de peine de mort juridique et donc sa succession souffrait, son mariage était dissout, et surtout comme la capacité juridique est une aptitude de capacité, non seulement il perdait tout ce qu’il avait et il ne pouvait plus devenir propriétaire de quoi que se soit et il n’était protégé par aucun dispositif légal puisqu’il

non-responsabilité 2) Les clauses limitatives de responsabilité 3) Les clauses pénales THEME N°8 – L’ANEANTISSEMENT DU CONTRAT A/ L’anéantissement en cas de non-respect des conditions de validité du contrat : la nullité du contrat 1) L’exercice de l’action en nullité 2) Les effets de l’action en nullité B/ L’anéantissement en cas d’inexécution du contrat : la résolution du contrat 1) La résolution pour inexécution imputable à l’un des contractants 2) La résolution en application de la théorie des risques

propriété collective, peine de mort, etc.). En France, l’évolution du droit de la famille, par exemple, est directement liée à l’évolution des mœurs (assouplissement du divorce, interruption volontaire de grossesse, PACS, droit des enfants nés hors mariage) ; celle du droit commercial est guidée par l’imagination sans cesse renouvelée des moyens utilisés (paiement par carte bancaire, preuve électronique, dématérialisation des titres). Elle est aussi l’expression d’une volonté politique, ce qui conduit

instantané donne naissance à des obligations susceptibles d’être exécutés en une seule fois alors que le contrat successif comporte l’exécution d’obligation s’échelonnant dans le temps Intérêt de la distinction : dans les contrats successifs, la nullité et la résolution vont se muer à la résiliation du contrat Section 2 : Les classifications modernes §1 Classification quant à la qualité des contractants 1) Contrats négociés et d’adhésion Distinction doctrinale dégagée par des professeurs

pas d’accord de volonté en vu de produire des effets de droit, de produire des obligations. Autrement dit les actes de complaisance ne sont pas juridiquement obligatoire. Les choses vont se compliquer avec les actes d’assistance, arrêt du 27 janvier 1993 un individu va aider son voisin à élaguer ses arbres mais un des 2 s’arrache le bras. Dans ces actes de complaisances peut on considérer qu’il y a une convention entre les parties telle que serait en jeu les mécanismes de la responsabilité

limitée de personne. B) Caractère social de la règle de droit. Le droit a vocation à organiser la société et les relations entre les individus. La règle de droit est parfois en opposition avec la morale ou la religion (Ex : Le mariage. Droit, Divorce possible ; Religion, mariage est un sacrement, pas possible.) Il y a tout de même des points de rattachement car la morale et la religion ne peuvent pas ignorer le fait social. (Ex : La morale et la religion interdisent le meurtre, tout comme le droit

permettant de déterminer la situation de la personne au regard des institutions juridiques. Cet état se compose de 3 éléments : * l’état dans la cité (nationalité) * l’état dans la famille (situation d’un individu au regard d’une filiation, du mariage ou du PACS) * l’état personnel (sexe, l’âge(majorité ou pas), la santé(mentale)) => ce que l’on va étudier. Chapitre 1 : L’existence de la personne physique Existence c’est entre la naissance et la mort Section I : La naissance (A

celle en dehors. Quand on passe un contrat, on est dans le commerce les parties peuvent donc faire ce qu’ils veulent. Quand on se marie, le maire lue les différents articles du C.C  sorte d’avertissement et pas de libertés des parties dans le mariage Acte juridique : Tout acte qui modifie l’ordonnancement juridique : 3 types d’actes. Acte contractuel : acte passé entre 2 parties marqué par l’autonomie de la volonté. Acte règle : acte qui modifie la règle juridique applicable à une situation

.................................................................................................................... 26 1) L’intérêt doit être personnel et direct (art. 31 du CPC) .............................................................................................. 26 2) L’intérêt doit être juridique et légitime (art. 31 du CPC) ............................................................................................ 26 3) L’intérêt doit être né et actuel ............................

-En ce qui concerne la situation personnelle, familiale et professionnelle : -L’âge du client. -Son activité. -Son statut professionnel. -sa situation de famille (célibataire, marié…), mariages précédents (pour calculer la pension de réversion), les actes qui concernent cette situation. Le CT de mariage ou le changement de régime matrimonial, CT de pacs, jugement de divorce + acte de partage. -Mêmes éléments pour le conjoint. -Eléments sur les enfants : âge, si tous issu du couple car si ça