Notre Armée Et Notre Pays Sont Renforcés Par La Pensée De Staline

entendent rallier l'Europe. L'aide financière est assorti de conditions d'achat de produits américains. L'U.R.S.S. s'oppose à ce projet et empêche les pays de l'Europe de l'Est de bénéficier de ce plan. Par exemple, le plan Marshall d'abord accepté en Tchécoslovaquie par le gouvernement doit être refusé sous la pression de Moscou. En revanche 17 pays qui acceptent cette aide créent en 1948 l'Organisation Européenne de Coopération Économique (O.E.C.E. qui deviendra O.C.D.E. : Organisation de Coordination

tendant à la totalité, à l'unité[1] ». L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des hommes, comme le ferait une dictature classique : un régime totalitaire tente de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Les caractéristiques habituellement retenues pour caractériser le totalitarisme sont : 1.Une idéologie

allemand et l'Empire austro-hongrois. A l'ouest et au nord, les deux pays les plus puissants sont la France et le Royaume-Uni. L'Europe domine le monde grâce à son avancée économique (industrie, commerces) et financière. Pour la France et le R.-U., c'est aussi grâce à leurs nombreuses colonies. Cette domination s'appelle l'impérialisme. b) Des rivalités européennes -Des rivalités commerciales, -Des rivalités territoriales: Chaque pays veut avoir plus de colonies(surtout l'Allemagne). La France veut récupérer

gouvernement en place ne souhaite pas changer les habitude il désir pour l'instant simplement gagner la guerre aux côtés des alliés. Il est vivement critiqué par les soviets qui disent représenter le peuple. De multiples soviets sont créés dans le pays et tout le monde se dispute le contrôle. Pour la première fois, le peuple prend la parole. Même si les soldats n'en peuvent plus le nouveau gouvernement juge que la seule façon de se faire respecter est de gagner le guerre, donc il continu. De plus

tendant à la totalité, à l'unité[1] ». L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des hommes, comme le ferait une dictature classique : un régime totalitaire tente de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Les caractéristiques habituellement retenues pour caractériser le totalitarisme sont : 1. Une idéologie

Providence, c’est l’héritière de la révolution industrielle. On va avoir une réflexion de la nécessité de l’Etat à intervenir dans certains domaines. En Allemagne, le chancelier BISMARCK (XIXème siècle) , encadre des Lois Sociales. Pour les autres pays, c’est la crise du système capitaliste, et notamment celle de 1929 qui permettre aux Etats de prendre des mesures. On retrouve une réflexion de ROOSEVELT, président des Etats-Unis, met en place le « NEW DEAL » qui est une mesure politique interventionniste

les régions conquises – voire en appliquant des lois qui seraient jugées inacceptables sur leur propre sol. C’est le premier coup porté à l’État-nation et à la démocratie, les premières graines du totalitarisme. Arendt démontre également que la pensée raciale et la bureaucratie, deux piliers du totalitarisme, ont été construits pour servir l’expansion impérialiste. Dans l’avant-dernière partie du livre, Arendt analyse le pendant continental de l’impérialisme : les mouvements annexionnistes,

longue dégradation des relations entre les quatre pays occupants de l’Allemagne, l’Union soviétique bloque les voies d’accès terrestre à Berlin-Ouest. Commence alors le « blocus de Berlin », qui dure jusqu’au 12 mai 1949. C’est l'une des toutes premières crisesnote 1 d’une nouvelle période qui s’ouvre dans les relations internationales, la guerre froide. Berlin est alors au cœur de l’affrontement entre les États-Unis et l’Union soviétique de Staline. Pour empêcher la ville de tomber sous contrôle soviétique

Histoire de la pensée politique, Masson, 1988. CHATELET (F.), PISIER (E.), Les conceptions politiques du XXème siècle, P.U.F., 1981. CHEVALLIER (J.-J.), Les grandes œuvres politiques de Machiavel à nos jours, Colin, 1949 (multiples rééditions) GUCHET (Y.), Histoire des idées politiques, t. 1, De l'Antiquité à la Révolution française, Colin, 1995. GUCHET (Y.) et DEMALDENT (J.-M.), Histoire des idées politiques, t. 2, Colin, 1996. LAVROFF (D.-G.), Les grandes étapes de la pensée politique, Dalloz

cette déclaration de guerre n'est pas suivie d'une réelle intervention des démocraties et l'invasion de la Pologne se solde par une victoire nazie redoutablement rapide (moins d'un mois). Des causes profondes : La coexistence en Europe de pays aux régimes politiques très différents et antagonistes dans les points de vue (ex : Allemagne nazie : dictature expansionniste / France ou Royaume-Uni : démocraties et défense du droit des peuples). La présence à la tête de l'Allemagne d'Adolf