Non Rétroactivité De La Loi Fiscale

légalité et de non-rétroactivité (= un texte ne peut produire d’effet qu’après son adoption) des lois ou des actes administratifs. b) les garanties spécifiques en matière pénale ou répressive Ces garanties sont prévues par l’article 8 de la DDHC et sont au nombre de 5 : Le principe de légalité des délits et des peines : signifie qu’un individu ne peut être poursuivi pour des faits que si ces derniers sont constitutifs d’une infraction pénale au regard de la loi (= on ne peut

juridictions pénales en cas d’infractions pénales (prison, amende, peine de sûreté, …) qui s’opposent aux sanctions civiles. Ces dernières sont extrêmement variées : condamnation à payer une dette par saisie des comptes en banque, nullité de contrats non conformes, condamnation à réparer dommages-intérêts (ou dommages et intérêts), sanctions disciplinaires appliquées en cas de manquement aux règles de discipline élaborées par des groupements. Pour ce dernier exemple : les corps professionnel élaborent

Article 37 alinéa 1er prévoit une répartition matérielle du pouvoir réglementaire en disant que les matières qui ne sont pas du domaine de la loi sont du domaine réglementaire. Problème : doit-on distinguer entre ces 2 articles et avoir d’un côté un pouvoir réglementaire d’exécution des lois et de l’autre un pouvoir réglementaire autonome (intervention sans la loi) ? Pour certains auteurs, l’article 21 serait la source du 1er et l’article 37 alinéa 1er serait la source du second. Pour d’autres, c’est

catégorie de personnes. En effet, les règles visant par exemple les commerçants sont bien des règles de droit : elles sont bien générales et impersonnelles, puisque toute personne, si elle devient commerçante sera soumise à ces règles. En revanche, une loi qui déciderait des funérailles nationales constitueraient une exception au caractère général et impersonnel. B) La règle de droit a une finalité sociale Tout système de règles a une finalité : règle de morale → conduire l'être vers sa perfection

des cotisations sociales reçues par les adm publiques et les institutions européennes. Le taux de prélèvement obligatoire actuel est de 43,9% du PIB. Avec le taux de prélèvement on peut réaliser des comparaisons internationales de la charge fiscale entre Etats (USA 24%). en France 44% de la richesse nationale transite par les comptes des adm publiques, le tx de prélèvement mesure l'interventionnisme de l'Etat dans l'économie. (Le mode de financement des services publics), l'essentiel de l'écart

Perron a été recouvert de graffiti à la peinture fluorescente d'un goût douteux. L'auteur de cette "œuvre d'art" anonyme est rapidement découvert. Jean LAFLEUR est poursuivi devant le Tribunal correctionnel sur la base des articles 1 et 2 de l'arrêté-loi du 29 décembre 1945 portant interdiction des inscriptions sur la voie publique (M.B., 4 janvier 1946) et dont voici reproduit partiellement le contenu : article 1er : « il est interdit d'apposer des inscriptions, des affiches, […] sur la voie publique

Droit Civil Civiles (contractuelles) Responsabilité contractuelle Dommages et intérêts Obligation Pénales Responsabilité pénale Prison Introduction Le droit des obligations est l’ensemble des règles juridiques qui sanctionnent le non respect des obligations. Il constitue la théorie générale du droit. Cela signifie que le droit des obligations est le droit fondamental qui est à la base des relations entre les personnes et auquel se rattachent les autres branches du droit. En

minimum 2 associés, pas de max. - Personne physique et non morale - Pas de capital minimum ( apport en numéraire et nature constitue le capital) - Apport en industrie sont réalisables car les membres sont des professionnels et il y a confusion de l’objet de la SCP avec l’activité des membres - On parle de parts sociales - Associés responsables indéfiniment sur l’intégralité de leurs biens qu’ils soient personnels ou non. - Ils sont responsables civilement et pénalement

intervention de commissaires à la fusion pour les apports en nature ; par ailleurs la soumission du projet aux assemblées d’obligataires des sociétés absorbées ou scindées est une obligation légale ; de surcroît, un droit d’opposition des créanciers non obligatoires de la société absorbante ou absorbée peut être exercé et tend soit au remboursement des obligations soit à la constitution de garanties. S1 LES PROCEDES DE RESTRUCTURATION La fusion et la scission A La fusion art 1844-4 du code

rapport entre le droit et l'équité? En réalité la question de l'équité se pose au moment de l'application de la loi par le juge, ce qu'il va faire à l'occasion d'un litige particulier. Il peut arriver que la règle de droit présente une certaine rigidité et que son application stricte soit source d'injustice. On pourrait répondre « dura lex sed lex » qui veut « la loi est dure mais c'est la loi ». En principe le juge doit statuer en droit (Art 12 – code de procédure civile «  le juge tranche le litige