Noir Désir L Homme Pressé

| |Et, de ses pieds palmés frottant le pavé sec, | |Sur le sol raboteux traînait son blanc plumage. | |Près d'un ruisseau sans eau la bête ouvrant le bec | |  | |Baignait nerveusement ses ailes

ouvrier, Zola triomphe et devient de chef de file de l’école naturaliste. Biographie de Maupassant : Né en 1850 près de Dieppe, il connaît d’abord auprès de sa mère, à Etretat, une vie heureuse ; il y acquiert une connaissance intime de la campagne normande et de ses paysans. Chassé du séminaire d’Yvetot pour son nationalisme, il finit ses études au lycée de Rouen. Le jeune homme s’engage comme garde mobile en 1870 et assiste à la débâcle. Après 1871, il accepte, pour gagner sa vie, une place

L'Enfer Humain CHAPITRE I C'était par un temps d'hiver, dans la nuit noire d'un mois de décembre, des bruits sourds se manifestaient dans les pas de la jeune fille. Elle était vêtue de noir intense, les cheveux blonds cendrés qui lui arrivaient sur les épaules, des yeux verts luisants dans l'ombre des rues. Sa respiration était saccadée. Elle frissonnait. On pouvait voir la détresse de son cas dans la profondeur de son regard. Son corps s'effondrait dans la neige comme un corps sans vie, on aurait

tension se relâche dans l’ultime et vaine résistance de la femme, mais plutôt à quelques secondes de la catastrophe, comme l’indique la direction ascensionnelle de la disposition, -cette oblique de l’énergie progressive qui s’acrroît par la charge du désir triomphant-, et qui relie tout les éléments de la scène (la pomme, annonce de l’acte et de la consommation à venir ; le lit : image du tumtulte des corps ; les personnages, la réalité de l’action qui va s’accomplir ; le verrou : symbole ultime d’une

« La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. Tout homme qui a choisi la violence comme moyen doit inexorablement choisir le mensonge comme règle. » Durant l’antiquité, la violence faisait déjà partie intégrante de la vie en société. Des exemples de cette barbarie s’y trouvent déjà, notamment dans Antigone de Jean Anouilh. On y note en effet la présence d’une violence politique menée par le pouvoir en place. De surcroît, le 20ème siècle

Le film de Tony Kaye ,  American history X  , illustre ce thème avec le personnage de Derek Vinyard , interprété par Edward Norton, un jeune américain blanc consumé par la haine après l’assassinat de son père par un dealer noir, et qui finit par intégrer un groupe de militants d’extrême droite aux idées racistes et antisémites. Après avoir volontairement abattu , deux hommes afro-américains, Derek est envoyé en prison pendant trois ans. Cette période d’enfermement lui aura

encore les habitants, ils ne se connaissent pas eux-mêmes. On ne les doit laisser dans cette ignorance que le moins qu'on peut : il leur faut aussi apprendre ce que c'est qu'un lion, un renard, ainsi du reste ; et pourquoi l'on compare quelquefois un homme à ce renard ou à ce lion. C'est à quoi les fables travaillent : les premières notions de ces choses proviennent d'elles ». Préface, édition de la Pléiade, p. 9. d'autrui, de la solidarité envers les plus démunis... Cela rejoignait l'effort qu'on

l’écrit SUJET 1 Objet d’étude : les mouvements et l’histoire littéraire ; le roman et ses personnages ; vision de l’homme et du monde. Corpus bac : l’ascension sociale du jeune homme pauvre et ambitieux dans les romans réalistes du XIXe siècle. Ressemblances et différences des trois arrivistes. TEXTE 1 Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830), première partie, chapitre X Julien Sorel, fils d’un pauvre charpentier, est précepteur chez le maire de Verrières, Monsieur de Rênal. Il est devenu l’amant de sa femme

dans le cinéma allemand de ces années-là. Tout sent ici la terrible catastrophe ; la chute irrémédiable d'un être dans le chaos d'un monde qui va totalement l'écraser. L'une des constantes présente dans ce cinéma consiste à prendre une personne, homme ou femme, à un moment précis de sa vie, et à la regarder lentement mais sûrement sombrer dans les méandres d'on ne sait quoi. Ce cinéma est un cinéma de la catastrophe à venir, que cela soit sous une forme contemporaine et un tant soit peu réaliste

Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon… - La Source pleure au loin dans une longue extase… C’est la Nymphe qui rêve, un coude sur son vase, Au beau jeune homme blanc que son onde a pressé. - Une brise d’amour dans la nuit a passé, Et, dans les bois sacrés, dans l’horreur des grands arbres, Majestueusement debout, les sombres Marbres, Les Dieux, au front desquels le Bouvreuil fait son nid, - Les Dieux écoutent l’Homme