Noble Mensonge

DELMAS Thibaud Nous allons grâce au logiciel ROTMOLEC pouvoir dessiner les représentation de Lewis de plusieurs molécules. Nous avons 11 molécules a représenter ainsi que leur(s) isomères. Durant notre expérience, nous rencontrerons le plus souvent les atomes de -Carbone(C), -D’Hydrogène(H), -Oxygène(O), -Azote(N) et de Chlore(Cl) [pic] 1) Molécule de dioxyde de carbone : CO2 [pic] Carbone : Z= 6 donc structure électronique

supérieure à une récompense d'or. Description La platine est un métal de transition, dur, malléable, qui ne s'oxyde pas à l'air libre , ductile, rare et donc précieux, de couleur gris-blanc et argent-blanc l'orsqu'il est pur . C'est est un métal noble, résistant à la corrosion, que l'on trouve souvent associé à certains minerais de cuivre ou de nickel, et plus rarement sous forme de dépôt natif (en Afrique du Sud surtout).

L’or. L’or est un métal très précieux, très recherché et également apprécié sous beaucoup de formes depuis déjà plusieurs siècles. L’or pur est un vrai métal noble, le plus malléable et ductile des métaux connus. De plus il ne s’oxyde ni à l’air ni à l’eau. Il est utilisé en électronique en raison de sa très bonne tenue face à la corrosion et de son excellente conductivité électrique. Il est également un très conducteur thermique, mais son coût lié a sa rareté limite beaucoup ses utilisations

[pic] [pic] I. But de manipulation : Notre but dans cette manipulation est d'étudier la diffraction de Fraunhofer obtenue par les ouvertures suivantes : • Une fente fine de largeur variable, et un fil fin. • Un diaphragme circulaire très étroit. On détermine expérimentalement le diamètre du fil et de l'ouverture circulaire. II. Généralité : Diffraction de la lumière : Les ondes mécaniques sont diffractées lorsqu'elles rencontrent un obstacle

Na(11 e-) Na+ (10 e-) Mg(12 e-) Mg 2+(10 e-) Al(13 e-) Al 3+ (10 e-) Si P S Cl(17 e-) Cl- (18 e-) Ar (18 e-) 8. Nous pouvons en conclure que les ions Li et Be correspondent à l’ion du gaz noble He, que les ions O, F, Na, Mg, Al correspondent à l’ion du gaz noble Ne et que l’ion Cl correspond à l’ion du gaz noble Ar . 9.

l’indique l’expression de EvdW, ces interactions n’agissent qu’à très faible portée. 17 INTERACTIONS (FORCES) DE VAN DER WAALS 2. Conséquences  Températures de changement d’état Exemple 1: Températures de fusion et d’ébullition des gaz nobles Gaz noble Tébullition (°C) Tfusion (°C) He − 269 − 270  Forces de London uniquement Ne − 246 − 249 Ar − 186 − 189  Augmentation des températures avec taille des atomes Kr − 153 − 157 Xe − 108 − 112 Exemple 2: Températures de fusion et d’ébullition

électronique de l’atome Na (Z=11) est (K)2(L)8(M)1. Il peut acquérir la structure électronique du gaz noble le plus proche, Ne, en perdant l’électron de la couche (M) et en devenant donc Na+. Attention, son Z reste égal à 11 car son noyau, donc son nombre de protons, n’est pas modifié. - La structure électronique de l’atome F (Z=17) est (K)2(L)8(M)7. Il peut acquérir la structure électronique du gaz noble le plus proche, Ne, en gagnant un électron supplémentaire sur la couche (M), et en devenant donc

Snd 3 SCIENCES PHYSIQUES I. Qu’appelle-t-on les météorites SNC ? EX 1 : Les informations qu’elles nous apportent nous indiquent leurs masses. EX 2 : Ces notions symboliques ne sont pas complètes O O 0 EX 3 : On appelle isotopes de tels atomes EX 4 : NUCLEONS PROTONS NEUTRONS MASSES 16 O 8 8 2,672.10^-26 17 O 8 9 2,839.10^-26 18 O 8 10 3,006.10^-26 M=Z.mP+(a-z)mN Les qualificatifs de lourds, moyen et léger sont très remarquable

En pratique 6. Pourquoi certains atomes ont-ils tendance à se lier avec d’autres atomes ? Pour acquérir une configuration électronique semblable à celle d’un gaz noble, ce qui les rend plus stables. 7. a) Qu’est-ce que la règle de l’octet ? Les éléments cherchent à acquérir la configuration électronique du gaz noble situé le plus près d’eux dans le tableau périodique, en gagnant ou en perdant un ou plusieurs électrons. Comme tous les gaz nobles (à l’exception de l’hélium) possèdent

Principales techniques de synthèse de nanopoudres pour applications céramiques Yann LECONTE CEA-DSM/IRAMIS/NIMBE Bâtiment 522 – CEA Saclay 91191 Gif sur Yvette CEA-DSM/IRAMIS/NIMBE yann.leconte@cea.fr Y. Leconte – ESIREM – 14/10/2014 Plan du cours I – Introduction – Définitions II - Approches « bottom – up »  Méthodes en phase vapeur  Méthodes en phase liquide III – Approches « top – down »  Méthodes en phase solide IV – Nanoparticules et sécurité CEA-DSM/IRAMIS/NIMBE