Nil Bleu

bibliographie et historiographie Egypte Histoire de l’Egypte ancienne de Grimal L’Art de l’Antiquité, 2.L’Egypte et le Proche Orient de Forgeau La préhistoire de l’Egypte. Des premiers hommes aux premiers pharaons de Midant-Reynes L’Egypte et la vallée du Nil, II.De la fin de l’Ancien Empire à la fin du Nouvel Empire de Vandersleyen Pharaon. Les secrets du pouvoir de Bonhême et Forgeau Ancient Egypt : Anatomy of a Civilization de Kemp Collection de l’Univers des formes, Aldred et Leclant L’art de l’ancienne

Seine…). C’est particulièrement vrai dans les zones les + arides où les sociétés ont dès l’origine concentré leurs activités près des rares points d’eau. Le meilleur exemple en est évidemment la société de l’Egypte ancienne qui a aménagé la vallée du Nil (qui reste une constante dans le peuplement de l’Egypte actuelle). Quelles sont donc les techniques de captation utilisées par les hommes depuis les origines ? Les + anciennes techniques ? - le puits : il s’agit d’aller chercher l’eau dans des nappes

premiers établissements humains et agricoles permanents (10 ka) Surplus agricole Regroupement des activités non-agricoles dans des espaces délimités Perfectionnement des outils et des techniques Vers 7000 AD Croissant Fertile (Tigre, Euphrate) Vallée du Nil Nouvelle structure sociale Spécialisation des tâches et des rôles : apparition de nouveaux groupes sociaux Comme les métiers, les espaces vont se spécialiser: zones de culte, d ’administration, de défense, de commerce de production Différentiation

une certaine perspective vers un horizon lointain. Il s’agit peut-être de la retranscription des plaines cultivées de l’Egypte et l’artère centrale représente peut-être le Nil. Le tableau serait donc une image synthétique de son souvenir du voyage. Les tons de ce paysage s’étirent dans le jaune, orangé, rouge, bleu clair, et bleu tirant sur le violet, jusqu’au vert. Mais même si les couleurs sont variées, elles restent dans le domaine de la transparence et de la tonalité pastel. Cette caractéristique

centrale, constituée par deux lignes verticales qui s’éloignent en suivant une certaine perspective vers un horizon lointain. Il s’agit peut-être de la retranscription des plaines cultivées de l’Egypte et l’artère centrale représente peut-être le Nil. Le tableau serait donc une image synthétique de son souvenir du voyage. Cependant, les différents titres existants pour l’œuvre font tous référence à des chemins secondaires. Donc, si on considère l’artère centrale comme le chemin principal

Mèdes de Cambyse, ni les Grecs, ni les Romains, ni les Arabes, et qui nous livre ses richesses intactes et son mystère vierge, continua le savant en sueur avec un enthousiasme qui faisait pétiller ses prunelles derrière les verres de ses lunettes bleues. – Et sur laquelle vous publierez une dissertation des plus érudites, qui vous placera dans la science à côté des Champollion, des Rosellini, des Wilkinson, des Lepsius et des Belzoni, dit le jeune lord. – Je vous la dédierai, milord, je vous la dédierai

ancienne; l’exemple le plus frappant étant l’oiseau en bas à droite de l’idole, qui a tous les attributs des symboles égyptiens : la position de profil, typique des bas-reliefs que l’on pouvait trouver sur les pyramides et les temples dans la région du Nil, la couleur, peu variée mais nous permettant de reconnaître l’animal. Le chien à droite et la chèvre à gauche sont eux aussi énormément influencés par l’Egypte. Cette particularité se retrouve dans d’autres tableaux, souvent ciblés sur des chats, l’animal

de grands poissons, à fleur d'eau voyageant, Font reluire au soleil leurs nageoires d'argent, Ou l'azur de leurs larges queues. La mer semble un troupeau secouant sa toison : Mais un cercle d'airain ferme au loin l'horizon ; Le ciel bleu se mêle aux eaux bleues. - Faut-il sécher ces mers ? dit le nuage en feu. - Non ! - Il reprit son vol sous le souffle de Dieu. III Un golfe aux vertes collines Se mirant dans le flot clair ! - Des buffles, des javelines, Et des chants joyeux dans l'air 

Paléolithique (vers 15 000 av JC). Il s’agit de colorants minéraux à base de fer, utilises dans les grottes de Lascaux. Vers 1500 av JC, les Egyptiens utilisaient du safran, du pastel et de la garance comme colorants pour donner respectivement du jaune, du bleu et du rouge. Qu’ils soient d’origine animale ou végétale, ils étaient également connus dans l’Antiquité. Ces colorants étaient extraits d’un coquillage particulier nommé le Murex et coûtaient une fortune Jusqu'en 1850, tous les colorants utilisés

constitué de quatre bandes colorées horizontales de mêmes proportions. La signification de chaque couleur est celle-ci : Le rouge symbolise le sang versé par les esclaves durant la colonisation européenne (française, anglaise et hollandaise) ; Le bleu est la couleur du ciel et de l’océan Indien ; Le jaune représente le soleil de l’unité et le rêve de purification ; Le vert signifie la nature luxuriante et les champs de canne à sucre qui recouvrent à 90 % l’ile Maurice et qui représente un des