Nicotinamide adénine dinucléotide

consécutive à une hyperprolifération épidermique. Une carence en acides gras poly-insaturés explique en partie les lésions. Le défaut d’oxydation des alcools gras dans les fibroblastes en culture est lié à un défaut d’activité de la nicotinamide adénine dinucléotide oxyréductase (FAO) qui est une enzyme complexe [52]. MALADIE DE REFSUM (« HEREDOPATHIA ATACTICA POLYNEURITIFORMIS ») ¶ Manifestations cliniques L’ichtyose apparaît rarement dans les premières années de vie, mais généralement dans

détache de l’opsine. Cette modification est à l’origine d’un influx nerveux. Etapes 3 et 4 : Une réaction d’oxydo-réduction régénère le (Z)- rétinal . Elle met en jeu le (E) -rétinal et une molécule biochimique des cellules ( NADH ou nicotinamide adénine dinucléotide ) . Cette réaction est catalysée par une enzyme (la déshydrogénase) Le (Z)-rétinal se recombine à nouveau sur l’opsine. La rhodopsine se reforme et elle est prête pour un nouveau cycle. L’ensemble de ce processus est à l’origine de

la décarboxylation des atomes d’hydrogène sont arrachés des nutriments par des déshydrogénases • H+ et e- sont transportés vers la chaîne respiratoire mitochondriale par des coenzymes Les coenzymes • NAD+ : nicotinamide-adénine-dinucléotide • FAD : flavine-adénine-dinucléotide NAD+ + 2 e- + 2H+ ➞ NADH + H+ FAD + 2 e- + 2H+ ➞ FADH2 • NADH et FADH2 : riches en énergie (transporteurs d’e-) • Les e- sont cédés par les coenzymes aux cytochromes de la chaîne respiratoire Cycle de Krebs

est égale à la moitié de la vitesse maximale. D'autre part,   Or, très souvent k3 valeur expérimentale  à  max Si la substance étudiée présente plusieurs pics d'absorption, à chaque  max correspond un "". Exemple : Nicotinamide-adénine-dinucléotide (coenzyme de certaines déshydrogénases) forme oxydée NAD + forme réduite NADH, H+  max  max1 = 260 nm = 260 nm ;  max 2 = 340 nm Dans une solution biologique contenant un mélange des 2 formes oxydée et réduite du coenzyme,

médicament, est métabolisé en ergocalciférol puis en cholécaciférol. Dans le foie, le cholécalciférol est transformé en calcifédiol ou 25-(OH)D3 qui passe dans la circulation. Cette hydroxylation nécessite de l'oxygène et du NADPH (nicotinamide adénine dinucléotide phosphate). Dans le rein, au niveau des cellules tubulaires, le calcifédiol est hydroxylé en calcitriol ou 1,25-(OH)2D3. Cette hydroxylation est assurée par un complexe enzymatique, cytochrome P-450-flavoprotéine-ferrodoxine, en présence

DTT : Dithiothréitol EDTA 2Na 2H2O : Acide Ethylenediaminetetraacetique disodique EDTA : Acide éthylène diamine tétraacétique EGTA : Acide éthylène glycol tetraacetique ERO : Espèces Réactives de l'Oxygène EtOH : Ethanol FAD : Flavine Adénine Dinucléotide FAD 2Na : Riboflavin 5'-adenosine diphosphate disodique Fe NH4 SO4 : Sulphate d'ammonium ferreux FMN : flavine mononucléotide GSH : Glutathion H2O2 : Peroxyde d'hydrogène ou eau oxygénée H2SO4 : Acide sulfurique HCl : Acide chlorhydrique

plus oxydés, figurent des acides organiques. Ainsi, l'acide 6-phosphogluconique, dérivé du glucose-6-phosphate, est formé au cours de la réaction 1 (cf. fig. 1). Réactions 1 et 2 Tandis que le glucose est oxydé, le NADP+, ou nicotinamide-adénine-dinucléotide-phosphate, est réduit en NADPH+H+. Mais, dans de nombreux cas, l'accepteur d'électrons n'est pas accepteur de protons. Il en est ainsi pour les cytochromes, pigments rouges des cellules de tous les organismes aérobies. Ils renferment

l’acide lactique sont dosés par méthode enzymatique. Les échantillons testés sont le vin rouge et le vin blanc sec. L’acide malique : il est tout d’abord oxydé en oxaloacétate par la L-malate déshydrogénase (L-MDH), en présence de nicotinamide-adénine-dinucléotide (NAD). L’équilibre de cette réaction est dans le sens 2, il faut donc le déplacer dans le sens 1. 1 1 L-MDH 2 2 L-malate + NAD+ oxaloacétate + NADH + H+ Pour cela, l’oxaloacétate

azotée, un pentose (monosaccharides à 5 atomes de C) et un groupement phosphate. - bases azotées : * pyrimidine (4atomes de C et 2 atomes N) : cytosine (C) dans ADN et ARN, Thymine (T) dans ARN et l’Uracile (U) dans l’ARN * purine : guanine (G) et adénine (A) dans ADN et ARN - pentose associé à la base azoté : * ribose pour les nucléotides de l’ARN * désoxyribose pour l’ADN (pas d’atome d’O ié au 2ème C du désoxyribose) - nucléoside : pentose + base azotée - nucléotide : pentose + base azotée + groupement

 ou  production  d’ATP  dans  cette  voie  homofermentaire.     La   transformation   de   glucose   en   acide   lactique   s’accompagne,   elle,   globalement   d’une   réduction   de   nicotinamide  adénine  dinucléotide  ?  Expliquez  votre  réponse.   2) La  voie  hétérofermentaire  d’une  bactérie  lactique  comporte  la  séquence  de  réactions  précisée  sur  le   schéma  ci-­‐dessous.   Le   3-­‐phosphoglycéraldéhyde