Nicolas Fouquet

fable, un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire.Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti

itinérante. Elle se déplace de châteaux en châteaux. - Il commence réellement à régner à l’âge de 23ans. - Il construit le château de Versailles pour 2 raisons : - Il voulait avoir sa noblesse avec lui car il n’avait aucune confiance en eux. - Nicolas Fouquet a construit un énorme château « Vaux-Le-Vicompte ». - Louis XIV mangeait énormément. Il dort avec une assiette à côté de lui. Manger avec lui était un privilège. Louis choisissait une majorité d’hommes et quelques femmes pour souper avec lui

pour l’Affaire de la garde corse du 20 août 1662. (une affaire concernant le fait que Louis XIV veut imposer sa puissance aux autres souverains européen.) 5 août : Louis XIV crée la manufacture royale de tapisserie de Beauvais. 20 décembre : Nicolas Fouquet (homme d'Etat français) est condamné, pour malversations, au bannissement perpétuel, peine commuée en prison à vie par le roi (28 décembre). Il est enfermé à le 16 juillet 1665.

ses premiers vers. En 1654, La Fontaine publie sa première comédie : l’Eunuque. La mort de son père, en 1658, le laisse dans une situation financière inconfortable qui le conduit à chercher un protecteur. Il le trouve alors en la personne de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres dont des ballades, des sonnets et le poème héroïque Adonis en 1658. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et

Chancelier Séguier pour son talent précoce et l’aide à perfectionner son art. A partir de 1633 il travailla à l'atelier de Simon Vouet, qui devint son maître. En 1642, Charles Le Brun étant déjà reconnu, décida de partir pour Rome en compagnie de Nicolas Poussin. En 1646, il revint à Paris après son séjour à Rome, et dès son arrivée, la corporation des Orfèvres lui commanda une toile : Le martyre de Saint André  pour la Cathédrale Notre-Dame. En 1648, il demanda l’autorisation de fonder une académie

français classique dont on retient essentiellement ses fameuses Fables ainsi que ses contes licencieux. On lui doit cependant divers poèmes, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine se met à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti

auteurs de l’antiquité qui sont dignes d’être imités, et les auteurs français du XVIIème siècle qui ont développé un art de mesure et de raison en défendant le respect et l’imitation des anciens acteurs. Jean de La Fontaine est un protégé de Nicolas Fouquet et il reste à l’écart de la cour royale. En 1684 il est reçu à l’Académie française. Il se mêle aussi des débats politiques et se range dans le parti des Anciens dans la Querelle des Anciens et des Modernes. Jean de La Fontaine s’est beaucoup

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comédie Clymène vers 1659, et un poème: Adonis qu'il offrit à Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances. Il entre à cette époque au service de Fouquet. Il lui dédie «le Songe de Vaux», ainsi qu'une trentaine de poèmes prévus par contrat. Au moment de la chute de Fouquet, La Fontaine reste son plus fidèle défenseur. Il écrit à cette occasion «l'ode au roi» et surtout l'admirable «Élégie aux nymphes de Vaux». Cette fidélité à Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert,(voir la fable «

spectaculaire de Nicolas Fouquet, le surintendant général des finances depuis 1653 qui est associé à ce poste avec Servien afin de rassembler les fonds nécessaires dans la lutte contre l’Espagne. Il est accusé de malversation et d’enrichissement sur le dos de l’Etat en plus d’avoir montrer sa richesse par la construction du château de Vaux-le-Vicomte et de la grande fête qu’il y a donné. Après la découverte de l’immense fortune de Mazarin Fouquet sert peut-être de bouc émissaire. La clientèle de Fouquet était