Nicolas Fouquet

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti

Fontaine publie sa première comédie : l’Eunuque, adaptée du poète latin Térence. La mort de son père, en 1658, le laisse dans une situation financière inconfortable qui le conduit à chercher un protecteur. Il le trouve alors en la personne de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres dont des ballades, des sonnets et le poème héroïque Adonis en 1658. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et

La Fontaine revient à Château-Thierry comme maître des eaux et forêts. En 1664, il entre au service de la duchesse d'Orléans et à la mort de celle-ci, il trouve asile chez Mme de la Sablière. Il fut un des nombreux amis artistes et protégés de Nicolas Fouquet, qui fit construire le château de Vaux-le-Vicomte, et l'aida à choisir sa carrière de poète. Jean de La Fontaine lui écrivit un plaidoyer Élégie aux Nymphes de Vaux, au moment de sa chute en 1661. Il fut également le protégé de M. et Mme d'Hervart

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti

classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et en second point ses contes licencieux. On lui doit aussi des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de madame de la Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des Anciens

de quelque chose d'important. Conclusion : La Fontaine a été inspiré par ses aînés tels que Phèdre ou Esope, mais il a également inspiré nombre d'écrivains qui nous sont plus ou moins contemporains tels que Raymond Queneau. Son amitié avec Nicolas Fouquet l'aura gêné toute sa vie pour ce qui est de la parution de ses œuvres mais personne ne peut nier le pouvoir didactique de son œuvre. Le style de la fable est utile pour faire passer un message sans éveiller la censure, c'est pour cela que La

qu'à titre consultatif. Il dit lui-même dans ses mémoires que rien ne doit être signés sans avoir été vérifié par lui au préalable. Quelque temps après, sous l'influence de Colbert, le poste de surintendant des finances occupé jusqu'alors par Nicolas Fouquet est supprimé et lui emprisonné. Ce poste, jusqu'à la révolution française, sera remplacé par le poste de contrôleur général des finances créé pour Colbert. L'ère du népotisme laisse place à la méritocratie. Même si l'on voit des dynasties (Le

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti

quitte la province pour s’installer définitivement à Paris. La Fontaine se voit vite introduit dans l’entourage de Nicolas Fouquet comme d’autre artiste comme Corneille, Molière… En 1661 Fouquet est arrêté, accuser de corruption et condamné à vie à la prison. En 1663 son oncle est lui condamné à l’exile et La fontaine décide de l’accompagner. Après avoir perdu la protection de Fouquet il se met à chercher sans cesse la protection des grands. Il connait une période féconde, il publie ses contes et

vécu de 1515 à 1547 ou encore Louis XIII, le père de Louis XIV, qui avait fait construire un pavillon de chasse dans la forêt d’un des chateau les plus connu, Le chateau de Versailles. Cette premiere construction date de 1623. Le 17 Aout 1619, Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances, donne une grande fête pour l’inauguration de son chateau de Vaux le Vicomte. Louis XIV, jaloux de la beauté de ce château, fait emprisonner son ministre et embauche Louis Le Vau (architecte), Charles Le Brun