Ni Nu Ni Vêtu

lait [lɛ], merci [mɛʀsi], fête [fɛt] [ a ] ami [ami], patte [pat] [ ɑ ] pas [pɑ], pâte [pɑt] [ ɔ ] fort [fɔʀ], donner [dɔne], sol [sɔl] [ o ] mot [mo], dôme [dom], eau [o], saule [sol], zone [zon] [ u ] genou [ʒənu], roue [ʀu] [ y ] rue [ʀy], vêtu [vɛty] [ ø ] peu [pø], deux [dø] [ œ ] peur [pœʀ], meuble [mœbl] [ ə ] premier [pʀəmje] [ ɛ̃ ] brin [bʀɛ̃], plein [plɛ̃], bain [bɛ̃] [ ã ] sans [sã], vent [vã] [ ɔ̃ ] ton [tɔ̃], ombre [ɔ̃bʀ], bonté [bɔ̃te] [ œ̃ ] lundi [lœ̃di], brun [bʀœ̃]

tient tout seul, sans attache extérieure, et Flaubert précise même « par la force interne de son style ». Il dit d’ailleurs dans sa Correspondance : « Je me souviens d’avoir ressenti un plaisir violent en contemplant un mur de l’Acropole, un mur tout nu… Je me demande si un livre, indépendamment de ce qu’il dit, ne peut pas produire le même effet ? La prose doit se tenir droite d’un bout à l’autre, comme un mur. » Toutes les phrases et les chapitres semblent être agencés de telle sorte qu’ils forment

dire d'où venait Mondo. Il était arrivé un jour, par hasard, ici dans notre ville, sans qu'on s'en aperçoive, et puis on s'était habitué à lui ». Le jeune Mondo, a dix ans, il traîne dans les rues de Nice. C’est un orphelin, on ne sait d'où il vient ni où il va. Il est sans-abri, analphabète et gitan, il constitue pour certains un objet de nuisance qu'il faut neutraliser. Livré à lui même il apprend tout seul à survivre et à éviter les pièges de la vie : « Quand il arrivait vers vous, il vous regardait

Boulogne après avoir été champion de boxe au Sénégal. Madame Lola est la bonté-même et c'est elle qui aidera Momo et Madame Rosa lorsque celle-ci sera devenue impotente. Monsieur N'Da Amédée est un proxénète, venu du Niger, souvent tout de rose vêtu, portant diamant à chaque doigt. Lui aussi aidera beaucoup Momo et Madame Rosa. Il contrôle les vingt-cinq meilleurs mètres de Pigalle. Mais il finira dans la Seine, les doigts bagués coupés. Banania est un jeune enfant élevé un moment par Madame

d'être passé à côté 20MAI2011 novembre 2011 Bonjour, Alors voilà ma professeur de français, nous a donner un exercice type bac. On doit faire le commentaire de Les Caprices de Marianne d'Alfred de Musset. Cependant je n'ai toujours pas de problématique, ni de plan c'est à rendre pour demain et je trouve rien, autant vous dire que je suis paniquer ! La scène de Les Caprices de Marianne que l'on doit étudier et l'acte I scène 1 : CIUTA. - Ma belle dame, puis-je vous dire un mot ? MARIANNE. - Que me voulez-vous

comparaison sans terme comparatif, la forme la plus condensée d'image. Cette assimilation directe du comparé et du comparant peut créer des images surprenantes et d'une grande densité. Ex. : "Ma soif est un esclave nu... " Paul Valéry terme comparé = " ma soif", terme comparant = " un esclave nu ". Il arrive que le terme comparé soit absent. En ce cas, le message poétique semble plus énigmatique. Ex. : Ce toit tranquille, où marchent les colombes,/ Entre les pins palpite, entre les tombes... Paul Valéry

banalisation du sexe. Selon les spécialistes, cette « révolution sexuelle » serait apparue au milieu des années 60, surtout dans le monde occidental. En effet c'est à cette époque que les premières jupes courtes sont apparue ainsi que les premiers seins nu au cinéma. Si cette libéralisation vestimentaire ce réalise, on peux aussi observer qu'il y a une évolution dans la manière de parler du rapport homme/femme. Un exemple de cette évolution sexuelle durant les années 60 sont les protagonistes du mouvement

Aragon dans cette métaphore. Texte C : Claude ROY, « Jamais je ne pourrai» (extrait), Poésies, 1970 JAMAIS JE NE POURRAI Jamais jamais je ne pourrai dormir tranquille aussi longtemps que d'autres n'auront pas le sommeil et l'abri ni jamais vivre de bon cœur tant qu'il faudra que d'autres meurent qui ne savent pas pourquoi J'ai mal au cœur mal à la terre mal au présent Le poète n'est pas celui qui dit Je n'y suis pour personne Le poète dit J'y suis pour tout le monde Ne frappez

« en majesté » dans une gloire parsemée d’étoiles au milieu des nuées. Il accueille les élus, le bras droit levé, et il désigne l’enfer aux pécheurs de la main gauche abaissée. Placé dans la mandorle* identifiant l'état de ressuscité, le Christ est vêtu d'une longue tunique plissée à l'orientale, et porte autour du cou le pallium, cette écharpe de laine blanche brodée de croix noires. En haut, deux anges tiennent des phylactères et en bas, deux autres des chandeliers. Ces chandeliers rappellent qu'à

commence à pleurer, elle a bien su que ça se passerait avec Mondo. Mondo est disparu et il ne retournera jamais plus. Hazaran Alia est une fille. Elle vit à l’ouest de la Digue. Digue n’est pas vraiment une ville, parce qu’il n’y a pas de maisons ni de rues, seulement des huttes de planche et de papier goudronné et de la terre battue. La maison de Martin est près de la hutte d’Alia. Elle peut se souvenir quand il est arrivé. Elle l’a trouvé très sympa depuis le premier moment. Ils deviennent amis