New Deal Keynes Lutter Contre La Crise

marchés et limitent les rigidités institutionnelles qui pèsent éventuellement sur les fluctuations des prix et salaires) car : le sous-emploi ne peut être que volontaire, et l’inflation est nécessairement monétaire. La vision keynésienne : Selon Keynes, dans un univers d’information imparfaite, les mécanismes de marché ne peuvent pas rétablir rapidement l’équilibre sur l’ensemble des marchés. Dans cette approche, les prix ne sont plus parfaitement flexibles, mais rigides à court terme. Dès l’instant

phénomènes sont marqués l’un par des crises et l’autre par des « économies monde » successives : TEMPS LONG (Structure) TEMPS COURT (Conjoncture) Croissance économique Croissance Fluctuations du rythme de la croissance : alternance de périodes de crise Intégration mondiale Phénomène de mondialisation « économies-monde » successives La CROISSANCE ECONOMIQUE et ses différentes phases depuis 1850. La croissance est définie comme l’accroissement durable de la production globale de l’économie. C’est

suzerains concernent les rapports de chevalerie ; les relations entre paysans et seigneurs concernent les rapports de production. Sur ce plan, le contrat féodal implique un échange de biens ou de finances (obligation du tenancier, droit du seigneur) contre la sécurité et l’ordre (obligation du seigneur, droit du tenancier). L’organisation féodale révèle un système politique décentralisé où le roi est sans grand pouvoir (suzerain suprême dans le cadre des rapports de chevalerie) et dans lequel la notion

Définition du problème économique Chapitre 3: L’Offre et la Demande Chapitre 4: Capitalisme Mixte Chapitre 5: Comptabilité Du Revenu National Chapitre 6: Cycle économique Chapitre 7: Polémique Keynes et les Classiques Chapitre 8: Théorie de Keynes Chapitre 9: Politique Fiscale Chapitre 10: Définition de l'Argent Chapitre 11: Banque Centrale Chapitre 12: Politique monétaire Chapitre 13: Polémique Monétaire Chapitre 14: Sous

Première supérieure BL Crise financière, système financier, politique monétaire 2007-2010 Alain Beitone novembre 2010 1 SOMMAIRE Introduction I. Une crise qui vient de loin II. Du paradoxe de la tranquillité à la crise immobilière III. De la crise immobilière à la crise financière : le rôle des crédits subprimes IV. De la crise financière à la crise économique mondiale V. La réponse des autorités publiques Annexe I : Schéma des origines de la crise selon le CAE Annexe II

britannique John Maynard Keynes, qui analyse les fluctuations du niveau de l’activité économique. Même si on doit l’expression à l’économiste Ragnar Frish, qui le premier a introduit le terme dans le vocabulaire économique en 1933. Son explication de la prospérité et de la récession est fondée sur la notion de demande globale de biens et de services par les consommateurs, les investisseurs et les gouvernements, et non pas sur la variation des prix. Puisque, selon Keynes, l’insuffisance de la demande

presse continue d’exister même si son apogée se situe entre les années 30 et 60. La presse se renouvelle cependant aujourd’hui avec les gratuits ou internet. Les magazines connaissent de grands succès avec notamment de plus en plus d’images (Time, New Week, The Economist). Les Bandes dessinées se sont aussi largement diffusées (Journal de Mickey), avec son lot de provocations (Tintin au Congo). Les livres. L’extraordinaire abaissement des coûts d’accès aux livres fait divulguer les livres. Il

», celle qu’il faut analyser car elle détermine tout le reste. C’est la temporalité où l’on comprend comment les structures se mettent en place. Il faut l’analyser sans la rapidité actuelle du quotidien.  De l’espace à la triple temporalité 3. La New Economic History Nouveau courant, fondé en Angleterre par Robert W. Fogel et Douglass C. North (Nobel 1993). C’est une approche de l’histoire de manière quantitative (cliométrie) et approche institutionnelle. On se base sur un principe statistique de

et les mêmes capacités, les plus favorisés domineront et exploiteront les autres. Ce n'est pas compatible avec l'intérêt général pour des raisons morales. Pour éviter cette situation, il faut que les plus faibles se regroupent en classes et luttent contre les dominants, eux-mêmes regroupés en classes (=lutte des classe qui a pour but de remettre en cause la propriété privée des moyens de production à grande échelle). Le mal vient du salariat, il faut que les moyens de production à grande échelle ne

L’emploi 68 1) Le facteur travail 68 B) Le chômage 70 1) Le marché du travail 70 2) Les causes du chômage 72 3) La politique de lutte contre le chômage 74 IV - LA CROISSANCE (TD3) 76 A) LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE 76 1) Les mécanismes de la croissance 76 2) Croissance et crise : les cycles économiques 77 3) La crise économique dans les pays industrialisés 79 B) La croissance endogène en vogue 81 1) L’analyse de Solow 81 2) Le progrès technique, un facteur