New burlesque

vêtu d'une veste étriquée et d'un pantalon qui tombe sur des chaussures trop grandes. Cette allure lui vaudra la réputation de « vagabond » misérable et roué, asocial et obstiné, révolté et sentimental[1]. Il fut fortement inspiré par l'acteur burlesque français Max Linder[2] : tous deux choisiront un costume bien à eux. Mais Max Linder, au contraire de Charlie Chaplin, ne se fera pas représenter comme une victime de la société[3]. La vie publique et privée de Charlie Chaplin fera l'objet d'adulation

l’admiration de toutes les autres poules. Cette fable assez courte livre une morale à travers un combat de gallinacés : chanter victoire peut s’avérer dangereux, et mieux vaut parfois rester discret. Cette fable, mettant en scène des animaux sur un mode burlesque pour délivrer une morale plus profonde, n’a en cela rien de particulier par rapport aux autres fables, plus connues, de la Fontaine. L’originalité de cette fable tient dans le travail sur l’intertexte nettement plus développé et affiché que dans

couple de personnage burlesque 1) « Estragon est assis sur un caillou à l’écoute des souffrances de son pied » . Vladimir, lui, est débout d'emblée, absorbé dans ses méditations. Cela annonce un personnage intellectuel. 2) Des personnages burlesques Le burlesque, qui vient de l’italien burla, qui signifie farce, plaisanterie, est un registre caractérisé par l’emploie de termes comiques, vulgaires, pour évoquer des choses nobles et sérieuses. Dans cette scène, le burlesque vient - des jeux

public: L'auteur de théâtre peut utiliser plusieurs genres de comique: le comique de geste(le personnage faits des gestes éxagérés, ce qui prête à sourire). Le comique de mots (le personnage utilise une accentuation particulière, se sert du registre burlesque, prend un ton comique: exemple Dom Juan lorsque Pierrot parle avec un accent très campagnard) Le comique de situation(quiproquo entre plusieurs personnages, scènes à témoins caché) Ou encore le comique de caractère(le personnage possède une déformation

son éloquence lyrique tourne à vide autour du tabac. Après ce prologue burlesque, Sg. Va nous donner toute une série d'informations sur la situation passé, présente et à venir, comme il est de tradition ds une comédie classique. Dom Juan apparaît comme une œuvre peu traditionnelle, marquée par l'outrance baroque. Sganarelle convie le spectateur à une représentation dont le genre reste néanmoins indéterminé: le ton burlesque place la pièce sous le digne de la comédie; mais le thème religieux lui

autoritaires et déterminés, ainsi que sa façon de parler. Charlot, étant maître du burlesque, a réussi à se moquer du nazisme et le ridiculiser en temps de guerre. Qu’est ce que le burlesque ? Burlesque : Le burlesque fait rire grâce à un comique de l’absurde et de l’irrationnel, des événements extraordinaires ne cessent de faire irruption sans raison, dans le quotidien. En utilisant des procédés burlesques, comme lorsqu’il se verse de l’eau dans son pantalon pour se rafraichir ou lorsque le

vraiment "ce qui s'est passé avant".   2) Le passage remplit bien la fonction d'un incipit :   a) La métaphore filée initiale faussement épique (ampoulée) et le passage au registre familier définissent d'emblée le genre du récit (héroï-comique, burlesque).   Les premières lignes établissent entre le narrateur et le lecteur un "contrat de genre".   b) Les interventions (digressions) du narrateur finissent  toujours par ramener le lecteur au récit. Elles indiquent au lecteur que le narrateur se donnera

mère était régulièrement internée en hôpital psychiatrique. Charlie Chaplin débute sur scène à 5 ans et fait plusieurs tournées en Angleterre en tant qu’artiste de mime muet. Il est repéré aux Etats-Unis par la Keystone, firme spécialisée dans le burlesque (genre cinématographique et littéraire caractérisé par un comique extravagant et fondé sur une succession de situations drôles) . 1- Ses oeuvres majeures: Il crée le personnage de Charlot en 1914, joue et tourne d’innombrables courts et longs-métrages

ridicule Toutefois, par bien des aspects, Garo est un personnage tourné en dérision. Un villageois philosophe C'est un homme de la campagne qui se pique de raisonner, de philosopher, et il n'hésite pas, de bonne foi, à mettre en rapport de façon burlesque Dieu et une citrouille. Son langage mêle l'interjection familière (" Hé parbleu ") et le terme savant (" quiproquo "), d'où l'effet de satire. La vanité de Garo Sa vanité s'exprime tout particulièrement dans les périphrases, proches de l'impiété

concernée (la peinture : Joconde avec Marcel Duchamp, d'affiches de films, morceaux musicaux, de publicités par des humoristes par exemple). Son but principal est de faire rire : burlesque rend familière une œuvre noble & registre héroï-comique : fantaisie → Marivaux l'Iliade dans Homère travesti ou l'Iliade en vers burlesques (1717), Rabelais : Gargantua (1534), B) L'adaptation → Consiste à faire passer une production d'un domaine à un autre. → - dans un contexte nouveau : en modifiant