New beat

Collection de photographies des années 80 Le Pressionnisme de Graffiti Quik Le 21 juillet 1971, le New York Times révèle une nouvelle expression graphique, le Tag, et son auteur, le légendaire Taki 183. Aux premiers traits du marqueur s’ajoute très tôt la pression de la bombe aérosol, dont la couleur enrichit les œuvres et avive les rivalités artistiques. L’art sous pression est né à New-york « Le Pressionnisme, 40 ans de Graffiti » retrace cette histoire avec plus de 500 tableaux, la plupart

graffiti que nous connaissons à l’heure actuelle tel que nous le connaissons c’est-à-dire du point de vue artistique, est né a New York et a Philadelphie vers la fin des années 1970 quand Taki 183, Julio 204, Cat 161 ou Cornbead ont commencé a signer leurs noms ou « blaze » sur les murs des stations de métro de Manhattan et des environs. C’est la configuration des quartiers de New York où les quartiers tels que Harlem côtoient la bourgeoisie des quartiers Glamour de Broadway, semble avoir été décisive

micro pour raconter des histoires sur des instrumentaux. Le parallèle avec les block party New-Yorkaises qui ont marquées le début du Rap aux Etats Unis est évident. Effectivement, les premiers DJ stars américains étaient des gens comme GrandMaster Flash ou DJ Kool Herc. Ce dernier , fasciné par les disques de James Brown , anime une soirée pour l'anniversaire de sa sœur dans la cave de son immeuble du Bronx (New York) en 1973 il lui vient l’idée novatrice d'utiliser deux platines afin de pouvoir enchaîner

génération grâce à leurs codes vestimentaires. Sommaire [masquer] * 1 Biographie * 2 Anecdotes * 3 Discographie * 4 Références Biographie[modifier] Les trois membres du groupe sont originaires de Hollis (dans le Queens, à New York). Run (pour Running at the mouth) est le petit frère de Russell Simmons, co-fondateur de la major Def Jam, qui lui présenta Kurtis Blow dont il devint DJ. Rapidement, Darryl McDaniels le rejoint au micro dans ses shows. Puis ils rencontreront

années 1970, des galeristes new-yorkais et des journalistes mettent en avant les graffitistes. Des liens se tissent petit à petit entre le monde officiel de l'art et le street art. En 1982, au plus fort de la vague médiatique du graffiti, la galerie Fashion Moda (installée dans le quartier mal famé du Bronx, elle vise un travail associant les cultures ethniques et l'art contemporain) participe à la Documenta 7 de Kassel et oeuvre à mieux faire connaître les graffitis new-yorkais en Europe. Plusieurs

veste quand je me suis aperçu qu'elle était doublée de vison », déclarera-t-il). Les textes de ses chansons jouent souvent sur le double sens et illustrent son goût pour la provocation, en particulier polémique (Lemon Incest) ou érotique (Love on the Beat). Serge Gainsbourg aime également jouer avec les références littéraires comme Alphonse Allais (l'Ami Caouette)[réf. nécessaire] ou Verlaine (Je suis venu te dire que je m'en vais). Cependant il considérait la chanson, et en particulier les paroles

certaine forme de liberté sous contrôle dans les modèles d’existence possibles, qui marque un droit à la différence. Dans un extraordinaire déploiement d’énergie des DJ tels que Gee Bayss qui « réinventent » la musique (scratch avec Grand Wizard Theodore, beat juggling  avec Steve Dee, turntablism avec Babu…), des writers comme Mizerables Graff, Graffixx, Pikey, Docta…qui redéfinissent l’espace (par leurs whole car, wild style, top to bottom, perso…), d’un breaker (toprock, uprock, footrock…) tel Rodrigue

you jennifer lopez - Loving You----------------------------------------->Mtume - Juicy Fruit Craig David - Rendez vous rmx------------------------------------->Royce da 59 - Boom nas - poppa was a playa------------------------>Eddie Kendricks - New sweetsess gone mc lyte - poor georgie-------------------------------------------->Toto - Georgy Porgy eric benet - georgy porgy----------------------------------------->Toto - Georgy Porgy Mase - Get ready-------------------------------------->Shalamar

lors de la dernière Boutik Rock, qui feront siffler les premiers riffs de guitare. Ils seront suivis de près par les Liégeois d'Été 67, qui emmèneront dans leurs bagages une pop ensoleillée. Nul doute que le soleil perdurera sous les rythmes ska des New-yorkais de «The Slackers» ou des Jamaïcains de «The Skatalites», auteurs du mythique «Guns Of Navarone». Après un doux parfum de Jamaïque, ce sera au tour de l'electro-rock de «Vive La Fête» de nous enivrer avec son cocktail coke-champagne. Et pour

génération de surabondance, obsédé par la pureté, par Internet et l'excès d'information, il se croit invulnérable. Dans la deuxième partie du livre, on lit le récit de Randall (le père de Sol, donc) à l'âge de 6 ans également, en 1982. Celuici vit à New-York avec ses parents Sadie et Aron. Sadie s'intéresse beaucoup à l'histoire de sa mère, Kristina/Erra. Cet intérêt amènera toute la petite famille à partir vivre à Haïfa, en Israël. Partie très intéressante qui permet d'aborder la problématique israëlopalestinienne