Néoplasie

La patiente auprès duquel je suis intervenue : Mme B est âgé de 89 ans GIR 2 elle est rentré à l’EHPAD pour démence type Alzheimer, son poids est de 66 kilos, elle souffre d'insuffisance cardiaque, de chutes de tension artérielles fréquente et néoplasie du sein gauche traitée par radio chirurgie. Se déplace en fauteuil roulant. Mme B vivait seul au sein d’un appartement tout confort sans aide extérieur. Elle était entourée de ses voisins qui palliaient essentiellement à ses «  bêtises » (le toucher

pression et de permettre la réabsorption du liquide par les organes (Garegnani,2020). Antécédents médicaux :· Syndrome dépressif avec phase délirantes (Actuel, début +10ans) : état pathologique, fait de tristesse et d’abattement. (Godfryd, 2020)· Néoplasie mammaire (02/2022) : cancer du sein au stade 2/4 (avec envahissement des ganglions axillaires (sous l’aisselle)) (Al Masry,2021), curage ganglionnaire réalisé (03/2022) chimiothérapie puis radiothérapie, terminé à ce jour. · Surdose de médicaments

photos et une télévision fixée au mur. Ses antécédents médicaux sont : - Hypertension artérielle pulmonaire - Embolie pulmonaire en 1998 - Fibrillation auriculaire - Thrombocytémie essentielle - Chutes à répétition - Troubles mnésiques - Néoplasie mammaire Ses antécédents chirurgicaux sont : - Prothèse totale de hanche droite suite col du fémur en 2003 - Mastectomie droite en 1982 Son traitement actuel : - Un bêtabloquant pour l’insuffisance cardiaque - Un anticoagulant antivitamines

remercie enfin mes proches qui ont lu mon mémoire et corrigé les petites fautes d’orthographes ! 2 Abréviations ANAES : Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé, actuellement HAS. CIN : Cervical Intraepithelial Neoplasia ou Néoplasie Cervicale Intraépithéliale E : Early ou précoce. FCU : Frottis Cervico-Utérin. HAS : Haute Autorité de Santé. HPV : Human Papillomavirus ou papillomavirus humain. HPV LR : Human Papillomavirus Low Risk ou Papillomavirus Humain à bas risque. HPV HR

histologique de cirrhose hépatique et de préciser la nature maligne ou bénigne d’une tumeur du foie. - Maladie alcoolique - Hépatite : virale ou auto-immune - Anomalie biologique inexpliquée - Foie en surcharge (hémochromatose : surcharge en fer) - Néoplasie hépatique primitive ou secondaire : Le cancer du foie est primitif ou secondaire (métastases provenant d'autres organes). Primitif, il est principalement représenté par les hépatocarcinomes ou carcinome hépatocellulaire (développé à partir des

opératoire. Après récupération du sang, a été mis un drain en aspiration basse pression pour récupérer les résidus Résultat: a été récupéré une quantité suffisante de sang pour le retransfuser ensuite en salle de réveil Éléments clefs: intervention, néoplasie de prostate DI: altération de l'élimination liée à la rachianesthésie se manifestant par une incontinence urinaire temporaire Objectifs: le patient conservera une hygiène corporelle le temps de l'intervention Actions: demander au patient s'il

Soin choisi : réfection d’un pansement. Ce soin est réalisé dans la chambre d’un patient de 62 ans qui vit dans une maison de retraite. Il a été pris en charge par l’hospitalisation à domicile pour la réfection de pansements bitaloniens sur néoplasie. Cet homme souffre d’un carcinome épidermoïde du pied avec des lésions surinfectées. Dans ses antécédents, on retrouve un cancer de la prostate. Il suit une cure de chimiothérapie en ambulatoire à l’hôpital de jour. Monsieur V est une personne

PAPUC (psy pour acnée, pso, urticaire, cancer) dermatite atopique Facteurs de récurrence d'un Herpès  : MIIRTES (menstruations, immunod, infection, ré-infection, trauma, expo soleil/froid, stress) Prurit : CINEMMIP (choléstase, IRC -dialyse-, néoplasie (hémopathie : vaquez/MH), endocrinien, carence martiale, médicaments -morphine-, infections -HIV-, psy) Acnée mais pas Acitrétine Pso mais pas Isotrétinoïne Complication ulcère veineux : DADE (dermohypodermite , atrophie blanche, dermite ocre

voisins et deviennent des cancers infiltrants. Le traitement des cancers canalaires in situ est un traitement local comme la chirurgie ou la radiothérapie (voir « Les traitements possibles du cancer du sein ») ; le cancer lobulaire in situ (ou néoplasie lobulaire in situ) est plus rare. Il est plutôt considéré comme un facteur de risque de développer un cancer du sein que comme un cancer. Sa prise en charge est différente des autres cancers du sein. Ce document ne concerne pas les cancers lobulaires

dommage car ceux qui ont acquis ces compétences se voient proposer des options dans le traitement gynécologiques bien plus intéressantes. Les emplois du laser en gynécologie sont très nombreux. Il est notamment utilisé dans le traitement de la néoplasie cervicale (cancer du col de l’utérus). Il est aussi utile dans le traitement des lésions vaginales car des sites relativement inaccessibles peuvent être traités par réflexion du faisceau laser sur des miroirs. Le laser est aussi utilisé intra-abdomen