Néolithique du Proche-Orient

fruit et pour la bière.On parle génériquement de boisson alcoolisées sous le terme « jiu ». Ainsi, on peut dire que l'histoire immémoriale et l'importance de la culture de la vigne et de la consommation de vin dans l'histoire occidentale depuis le néolithique symbolisées par Dionysos dans la Grèce antique n'a pas du tout d'équivalent dans la culture chinoise. Pourtant, la consommation et la production de vin chinois remonte à la cour des empereurs Han (-206) et Tang (618-907).Mais ce vin, disparaitra

que l'histoire générale évolue souvent très lentement -par exemple entre 3 000 avant J.-C. et notre XVDie siècle. En revanche, dans la deuxième expression l'auteur soutient que parfois, l'histoire s' accélère. Et ce fut le cas précisément à l'âge néolithique qui fit passer la société humaine de la préhistoire à 1'histoire ( âge de la pierre polie puis taillée) ( circa 10 000 -3 000 av. n. è. ). Par ailleurs, chez LévyStrauss il est question d'histoire cumulative dans les sociétés contemporaines depuis

égyptienne, en effet il ne pleut presque jamais et le Nil permet l’agriculture grâce à une crue annuelle régulière tant au niveau du temps qu’au niveau de la quantité d’eau, c’est une crue apprivoisée qui leur permet ainsi de pouvoir cultiver les zone proche du Nil car il arrose les cultures mais draine aussi des alluvions servant d’engrais naturel et il laboure le sol en rentrant dans les grande crevasses et en ressortant . Mais les crues annuelle ne concernes qu’une petite partie, une mince bande de

Haut Atlas, à toutes les échelles, Château d’eau du système oasien 1.1.1. L’entité présaharienne sud-orientale L’entité présaharienne sud-orientale, ou le pays de Figuig, du Tafilalet, et du Dra moyen, est la mieux alimentée en eau et la plus proche climatiquement de la notion zonale de présahara. Elle doit sa raison d'être à trois systèmes hydrographiques de surface qui dévalent les versants sud du Haut Atlas pour se jeter dans le Sahara, amenant sur leur parcours les fondements naturels

les années 60. Ceci a permis une prise de conscience du fait que la qualité du cadre de vie des citadins s’est dégradée. Il permet aussi de comprendre la création et l’évolution des paysages à travers l’histoire (dans le premier chapitre), du néolithique (avec l’intervention de l’homme) en passant par l’ère industrielle jusqu'à nos jours avec les paysages du tourisme sans oublier les paysages urbains. Puis, une grande partie (le 4ème chapitre) où les auteurs ont voulu nous donner quelques outils

Les Balkans du néolithique à 2009 Les
Balkans
…
au
départ
un
nom,
connu
certes,
mais
vaguement
imaginé
à
travers
une
 évocation
d’Hergé
par
son
«Tintin
et
le
Spectre
d’Ottokar».
Les
Balkans…
quelque
part
ni
 en
Asie,
ni
en
Amérique,
alors
où
?
Euh
…
quelque
part
à
l’est.
Oui
mais

pas
en
Russie
!
 Eté
2008,
désireux
de
changer
le
cap
de
notre
GPS,
nous
déplions
les
cartes
d’Europe
et
 là,
voilà,
les
Balkans
s’étalent
devant
nous
!
 Les
noms
prennent
enfin
une
place
sur
la
carte
:
Macédoine
connue
pour
sa
…
ben
non
…


utilisé pour définir les périodes. On distingue pour la préhistoire trois âges: L’âge de la pierre(le paléolithique-ancien, le mésolithique-moyen, le néolithique-récent). C’est un système général qui va être employer aussi pour classer les cultures, par exemple les cultures qui, toujours existantes (Afrique, Australie) sont des cultures néolithiques (ils n’écrivent pas). Depuis le XIXème siècle, de nouvelles méthodes ont permis la datation des objets les plus anciens avec beaucoup plus de précisions

taillée) Néolithique : * Agriculture = élevage / agriculture (bière, vin – Crimée) * Sidérurgie = fer (cf Durandal l’épée de Roland neveu Charlemagne. Fer = arme = puissance) -7 000 000 : être humain -600 000 : maîtrise du feu -25 000 : Cro-magnon Carl Jung : l’homme a des archétypes, c’est-à-dire des structures élémentaires oniriques. Il hérite de peurs ancestrales, des phobies... La culture doit lutter contre les 7 millions d’années durant lesquelles l’homme a été proche de l’animal

faits et des idées économiques sur une échelle de temps qui va de la « révolution néolithique » à la « révolution de l’information », en passant par la révolution industrielle. Les principales idées économiques sont présentées (souvent de façon schématique) en relation avec les grands courants et, au sein de chaque courant, rattachées autant que possible à des auteurs. On étudie ainsi : • Les faits économiques du néolithique à l’antiquité, puis les idées économiques dans l’antiquité et au Moyen-âge à

l’urbanisation: Les recherches ont montré que l’agriculture et le commerce étaient 2 préalables à l’urbanisation. Il faut dégager des surplus agricoles pour pouvoir nourrir une population urbaine. Agriculture est née il y a 10 000 ans (révolution néolithique) et elle a permis aux villes d’apparaître. Les archéologues considèrent qu’il faut qu’existe des signes d’artisanat, des traces de fortifications. Ils cherchent à estimer l’importance et la densité du peuplement. Ils s’intéressent aux structures