Négationnisme

accepté. 1970 : Procès des criminels nazis. On fait appel à des témoins. LE NEGATIONISME : Robert FAURISSON dit que les chambres à gaz n’ont pas existées. Pierre VIDAL-NAQUEST est opposé au négationnisme. L’action de l’Etat : 1990 : Loi GAYSSOT : Condamnation des propos négationnismes. 1994 : Instauration d’une journée de commémoration. La responsabilité du régime de Vichy a été reconnue tardivement. Voyons maintenant comment émerge la mémoire de la résistance : Mémoire

Cependant, cette liberté d’expression connaît en France certaines limites. Celles-ci ont pour but de protéger le droit des individus par la répression de l’insulte publique et de la diffamation, par la lutte contre les discriminations raciales et le négationnisme*, à travers la Loi Gayssot de 1990 par exemple, qui tend « à réprimer tout propos raciste, antisémite, ou xénophobe » et qui ajoute que « toute discrimination fondée sur l'appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race

c’est le début de la lutte contre le négationnisme. Darquiez le Pellepoux, fut le premier a réfuter publiquement l’existence des chambres a gaz. Les historiens appellent ce genre de personne « les assassins de l’histoire ». Depuis 90 l’expertise des historiens est mobilisé pour éclairer la responsabilité de certains français dans la déportation des juifs (procès de Barbie et de Papon) En 1990 le parlement français a voté la loi Gayssot qui punie le négationnisme. C’est la première loi mémorial de

national), n'existe tout simplement pas, et fait partie des innombrables abus étatiques. Un exemple : le négationnisme Il est clair que l'idéologie libérale rejette le nazisme, le fascisme, le négationnisme et autres idéologies semblables. Dans 14 pays d'Europe, le négationnisme (négation de l'holocauste) fait l'objet d'une loi dont la transgression est punie par la prison. Pourtant le négationnisme a des disciples en Europe dans tous ces 14 pays. Est-ce que la criminalisation des propos négationnistes

est souvent restreinte par certaines conditions particulières qui interdisent l’incitation à la haine raciale, nationale ou religieuse ou l’appel à la violence physique contre les individus. Il en est de même pour la diffamation, la calomnie, le négationnisme, l’atteinte à la propriété intellectuelle, l’atteinte au secret professionnel… La liberté d’expression, vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférents, mais aussi pour

de la Guerre des 6 jrs)  terme Holocauste + spécifique que génocide -Mais : refus de cette nouvelle idée : négationnisme-révisionisme 10-11 p. 265 4.3. La mémoire assumée ? (années 1980-2000) *La fin d'une mémoire monolithique -Génocide juif : Shoah de Lanzmann (85) : 9h, enquête et témoignage sur les camps, complicités fr  chgt de terminologie : SHOAH. Réaction contre le négationnisme et révisionnisme  interdiction : loi Gayssot (1990) -Années 90 : recherche universitaire, x des travaux

politique) 1953 : L’Armistie = deux mémoires régionales opposées 1991 : Temps de la recherche et de l’apaisement. Cessement des commémorations jusqu’à 1999 puis projet de centre de la Mémoire. 2007 : Temps des remises en cause avec l’apparition de négationnismes qui entrainent des procès. 2012 : Une mémoire européenne qui s’installe. Les Présidents commémorent. 4) Les historiens et la mémoire de la Seconde GM : analyser, donner à comprendre et parfois, assurer la réalité de certains faits. Spécialités

fondent sur des témoignages. Dans les années 80 va apparaitre et réapparaitre une mémoire Vichyste  elle va devenir négationnisme. Sous l’égis de Faurisson émet une thèse « les chambres à gaz n’ont jamais existé ». Ce qui était une évidence doit maintenant être défendu. Darquier de Pellepoix dit « on n’a gazé que des poux à Auschwitz ». Il y a même eu des analyses. Le négationnisme = nouvelles mémoires. Le travail des historiens : la référence c’est Robert Paxton qui écrit en 1973 « La France de

sionistes. Ainsi les juifs ont participé activement dans la résistance en France. 5. Paul Schaffer est un juif qui fut arrêté le 26 août 1942. Il survécu aux camps et à son retour, il devint professeur en 1948. Son témoignage est dû l’apparition du négationnisme. Il explique que tant qu’il existera des témoins de la Shoah, ils auront le devoir de témoigner afin de perpétuer la mémoire du drame et de la spécificité de l’Holocauste. Des suites de ses premiers témoignages, il reçut de nombreuses sollicitations

dans les publications populaires de l'époque. Il voulait que le message soit sans équivoque et puisse être lu par tout le monde. Cette modestie fait la force de la série. Il meurt à Paris, le 21 août 1985, assez désespéré par la montée du négationnisme.