Nécropole

marier trop les filles car on craint les réclamations de leurs enfants quant à l’héritage, c’est le cas chez les carolingiens - on peut noter la mise en place d’une conscience dynastique qui s’ancre dans les nécropoles familiales, système anthroponymique qui réserve aux aînés les noms les destinant à hériter de l’honneur familiale. - renforcement des contraintes du connubium (un omble doit épouser une femme

désormais l’entrée est payante. Cependant nous avons pu nous arrêter sur la place juste devant et l’observer de l’extérieur. Elle a été bâtie sur le lieu de sépulture de St. Denis martyrisé dans les années 250 mais elle est surtout connue pour être la nécropole des rois de France depuis les Robertiens et Capétiens directs, même si plusieurs rois mérovingiens puis carolingiens avaient choisi avant eux d'y reposer. La basilique est très jolie de l’extérieur comme de l’intérieur et surtout très impressionnante

siècle de l’Empire romain, avec des œuvres tant iconiques qu’aniconiques. l’interruption se fait lors de la révolte juive de 115-117 ap. J.-C. À partir de ce moment, c’est la disparition des grandes figures qui ornaient par centaines les tombes des nécropoles de la région (il y en a aussi à Apollonia et dans les environs). Durant la période 73 COMMUNICATIONS 2007 païenne de l’Empire, on a désormais de petits bustes assez frustes des défunts placés dans des niches à l’entrée des tombes. L’entrée

village, il ne reste pas grand chose pour la Mémoire des Tirailleurs africains : « Jean Marchiani, l'initiateur du Tata rendant hommage au sacrifice des tirailleurs, avait choisi cet intérêt historique puisque, dès 1940, il entendait faire de cette nécropole un lieu de souvenir des crimes allemands commis au nom de l'idéologie nazie. Mais de ce projet, que reste t'il aujourd'hui ? Après une période faste correspondant à la libération et à l'après-guerre, le Tata et les événements qui sont à l'origine

véritable enjeu culturel et scientifique. Avec l’ensemble de ces hommes de sciences et ces artistes se créent les prémices de l’égyptologie actuelle. Les recensements sont considérables dans le domaine architectural (on dénombre les temples, les nécropoles) ou dans le domaine artistique. Les Français se penchent sur les savoirs-faires égyptiens et sur les connaissances en astronomie. Les naturalistes décrivent les paysages et les animaux qu’ils découvrent. L'Institut d'Egypte qui a pour mission de

der Haardt: restitution d’un église de 100m de long, 25m de haut plan simple de type basilical nef à 3 vaisseaux grandes travées dans la nef grand transept un choeur. La cathédrale de Spire : rive gauche du Rhin : Cathédrale de Spire = nécropole des Saliens. Parti très ambitieux : multiplication des tours à l'est et à l'ouest Cathédrale restée en ruine jusqu'au 18ème siècle et reconstruite selon l'esprit médiéval. métamorphose dans l'architecture : le voutement en pierre entraine des

activité maritime, ou symbolisent-ils le voyage dans l'au-delà ? L'on n'a en effet qu'une idée très vague des croyances minoennes relatives au sort des défunts après leur mort.     Mais c'est le sarcophage d'albâtre retrouvé dans un caveau de la nécropole qui demeure le document capital pour notre connaissance de la religion minoenne. Ses quatre faces sont décorées de peintures organisées en frise. On y voit ce que suppose être le défunt, vêtu d'une fourrure, placé devant un édifice (vraisemblablement

basilique est due conjointement à l'empereur Constantin et au Pape Sylvestre. Commencée entre 320 et 329, elle nécessita la démolition du cirque de Caligula qui s'étendait sur la partie sud du chantier. Constantin décida de raser les sépultures de la nécropole alignées le long d'un sentier, car la tradition y fixait la tombe de saint Pierre. L'empereur pensait ainsi construire l'autel de sa basilique au dessus de cette tombe. C'était une basilique classique, comportant une nef à 5 vaisseaux séparées par

demander des clarifications sur des points ambiguës du sujet. 4. La ville de Rabat : Rabat, ville impériale blanche et fleurie: la Tour Hassan, construite par le roi conquérant Yacoub el-Mansour Au XIIe siècle et qui l’a laissée inachevée. La nécropole de Chellah, faite par les Mérinides à l’image d’une Ville romaine, pour imposer leur marque de dynastie unificatrice du Maroc, du XIVe siècle. Le mausolée Mohamed V, le lieu de recueillement à la mémoire de ce grand roi, artisan de l’indépendance

un ensemble épiscopal paléochrétien, le long de la voie antique, au sud de la colonie romaine. Une basilique à trois nefs et un baptistère ornés de mosaïques ainsi que plusieurs salles ont été retrouvés. À la sortie de la ville, au milieu de la nécropole païenne, les fondations d’une basilique funéraire plus ancienne, dédiée à un saint africain, sont en cours de fouille. Il s’agit probablement là d’un témoignage direct de la période d’évangélisation. Un projet collectif de recherches pluriannuel