Ne Désirons Nous Que Ce Dont Nous Avons Besoin

l’ouvrage auquel il a travaillé toute sa vie et dans lequel il a ramassé sous une forme raisonnée l’essentiel de ce qu’il avait à dire en philosophie, l’Ethique, ou plutôt, pour reprendre le début de son titre complet, Ethica ordine geometrico demonstrata, dont se dégage ainsi pour finir le message suivant : les choses qui valent véritablement la peine qu’on se donne en vue de les acquérir sont précisément inséparables de cette difficulté qui fait tout leur prix, car leur importance découle de leur exceptionnelle

règle de vie ? Satisfaire ses désirs c’est assouvir, combler un manque, une envie parfois subite. C’est répondre à quelque chose en attente. Il existe plusieurs types de satisfaction : l’assouvissement, qui est le fait de contenter complètement un besoin, et la sublimation qui est l’action de transformer une tendance vers quelque chose de plus élevé moralement ou spirituellement. Par exemple les œuvres d’art nous permettent de « sublimer » les passions en les représentants de manière esthétique et

réalité. Ensuite à la ligne 3 : « ainsi » montre que l'état d'attente se suffit à lui-même grâce à l'espoir et au charme de l'illusion, ces deux sentiments sont si positifs que le bonheur n'est plus nécessaire, nous n'avons besoin de rien d'autre que cela. Or , ce dont nous avons besoin comme tous les humains est le bonheur , on peut donc associer ces états au bonheur. Il utilise le mot « jouissance » qui peut être apparenté au bonheur. Cet état est donc plus positif que la réalité. Cette réalité est donc

l’homme heureux a-t-il besoin que les biens corporels, les biens extérieurs et ceux de la fortune se trouvent réalisés pour lui sans difficultés » Aristote, Éthique à Nicomaque. « N’est-il vrai que, nous autres hommes, désirons tous être heureux ». Ces paroles sont de Platon. Le bonheur, conçu comme ce qui oriente et détermine les actions humaines, doit faire l’objet de profondes réflexions. Il s’agit tout d’abord pour Platon de s’opposer aux sophistes dont il résume les positions

En général, le terme « besoin » est utilisé, lorsqu’un individu manque de quelque chose qui est ressenti comme étant désirable, c’est-à-dire que l’on veut, ou nécessaire. Par exemple, j’ai besoin d’un verre pour boire et d’un stylo pour écrire. Ces choses sont désirables car elles doivent me servir à faire quelque chose. Cependant, de nos jours, le sens du mot « besoin » s’est beaucoup restreint. En effet, nous ne qualifions de besoin que ce qui est indispensable à l’existence quotidienne ; comme

pour survivre, se nourrir, se vêtir, pourvoir aux besoins de sa famille, gagner plus et consommer plus.  Mais la situation de l’homme au travail s’avère bien plus complexe que l’on avait imaginé. Souvent, loin d’être une source de satisfaction, on constate surtout des situations de détresse au travail avec de graves répercussions sur la santé psychique. Face à l’apparition de ces risques psycho-sociaux, la psycho dynamique du travail dont l’objet est l’étude des relations entre le plaisir

par rapport à un objet imaginé ou rél et qui doit être source de satisfaction. Il se distingue du besoin dans la mesure où il n'est pas lié à une nécessité vitale. Désirer, c'est ressentir un manque. Le désir est donc une privation, une gêne. Mais il est aussi la source du plaisir. Une satisfaction complète du désir semble impossible puisque le désir ne cesse de se tourner vers de nouveaux objets dont il est privé. Le désir n'est-il pas différent à chaque individu ? Mais n'est-il pas toujours

un de ses jeunes disciples Clinias. Le but de ce dialogue est de définir « la nature et les conditions du bonheur », le bonheur étant le bien par excellence, c’est la finalité recherché par tous. Socrate pose la question suivant, est-ce que nous désirons tous être heureux, question rhétorique car il répond en disant que cette question est ridicule car il parait absurde qu’une personne ne veuille atteindre le bonheur, théorie qu’acquiesce Clinias. Mais le problème qui survient n’est pas la question

des philosophes. Analyse conceptuelle  Désirer : Éprouver le désir de posséder, de voir se réaliser ou jouir de quelque chose. Le désir est un effort de réduction d'une tension issue d'un sentiment de manque et en ce sens, on ne désire que ce dont on manque. Nécessairement : Obligatoirement, absolument, forcément. Souffrir : Éprouver une douleur physique ou morale, être tourmenté par quelque chose. Selon Platon, le désir est défini négativement. Pour lui, seulement la vérité lui est

chercher constamment a satisfaire ses besoins, c'est quelque chose d'indispensable pour sa vie. Le besoin est une sensation de manque, d'inconfort ou de privation qui est accompagné par l'envie de le faire disparaître, répondre a ses besoins est indispensables a la survie de l'homme comme se nourrir, respirer, se reproduire. Le désir lui est plutôt la recherche d'un objet que l'on imagine ou que l'on sait être source de satisfaction. L'homme est donc mener par ses besoins et désir auxquels il tente de satisfaire