Ne Desirons Nous

ce qui lui ai déstiné. La conscience est ce qui permet de regarder vers l'extéireur . A cela , on s'autoévalue , l'autre est une condition. Ensuite , celle de la thése dans le domaine amoureux " ce n'est pas le déterminisme passionnel que nous desirons chez autrui , dans l'amour , ni une liberté hors d'atteinte mais une liberté qui joue le déteminisme passionnel et qui se prend à son jeu ". Ainsi , selon Sartre :l'amour est un jeu de l'imagination. Suivit , de quelques objections soutenues par

Nous voyons donc que la question du bonheur est étroitement lié à la question du désir. Est-ce parce que nous sommes malheureux que nous désirons, ou bien parce que nous désirons que nous sommes malheureux? Le problème vient du fait qu'à cette question, on peut répondre les deux. D'un côté, c'est parce que nous sommes insatisfait que nous désirons. D'un autre côté, si le désir lui-même est manque insatiable, alors nos désirs vont nous rendre malheureux. Cela engendre un véritable cercle vicieux

« Être libre est ce faire ce qu’il nous plait ? » Si faire ce qu’il nous plait c’est faire ce que nous désirons faire, nous sommes amenés à nous demander si nous sommes libres en réalisant nos désirs. Or on ne peut pas répondre oui parce que nous serions ainsi esclave de nos désirs. Mais on ne peut pas non plus répondre non parce que pouvoir faire ce que nous voulons afin de réaliser nos désirs implique l’absence de contraintes et donc la liberté. Dans un premier temps nous verrons qu’il est

des pays étrangers sur les succès sportifs. Nous étudierons également les moyens mis en oeuvre pour montrer ces changements. Nous avons choisi ce sujet car nous sommes passionnés de sport et d'actualités et en plus de cela, dans notre avenir, nous désirons devenir journalistes et si possible, nous spécialiser dans le sport. Or ce sujet traite à la fois d'actualité sportive historique et contemporaine. Pour traiter ce sujet, nous nous demanderons si selon le régime politique en Europe , les succès

chose n’implique pas nécessairement de savoir pourquoi on le fait. - Connaissance suppose non pas seulement un constat de fait mais un savoir suffisant pour donner une explication totale. - Or nous savons parfois ce que nous faisons, ce que nous désirons, ce que nous voulons mais nous ne savons pas précisément pourquoi nous fonctionnons de cette manière, pourquoi nous choisissons cet objet ou ce chemin plutôt qu’un autre. - C’est que la conscience est le résultat, la finalité d’un processus. -

effet, l'Homme ne peut satisfaire que ce qu'il juge bon pour lui, sans quoi le malheur l'envahirait. C'est ce qu'affirme en l'espèce Spinoza au livre III de son Éthique où il assure que nous ne désirons pas une chose parce qu'elle est bonne, mais au contraire nous la jugeons bonne, parce que nous la désirons. Le désir chez Spinoza est producteur de valeur, il « n'est rien d'autre que l'essence même de l'Homme » selon lui. Le désir semble donc conduire l'Homme au bonheur, d'une part en ce qu'il

donne son élan vital et son dynamisme à l'individu. Par là, il donne de la valeur aux objets désirés. On ne fait bien que ce que l'on désire : le désir donne le prix aux choses. En ce sens, " nous ne désirons pas les choses parce qu'elles sont bonnes, nous les déclarons bonnes parce que nous les désirons ". C'est le désir qui pare l'objet aimé des plus beaux attributs, et en fait goûter tout le charme. Le désir est ce qui fait la sensibilité de l'individu. D'une part, il montre que nous ne

j'ai besoin de ce qui me fait défaut. Or tout manque se traduit par une souffrance, celle-là même qui nous pousse à le combler, c'est-à-dire à le satisfaire, en sorte que la douleur semble être le symptôme du désir lui-même : nous savons que nous désirons quelque chose quand nous souffrons de ne le point posséder. Aussi la cause semble d'emblée entendue : on ne peut désirer sans souffrir. Mais si tout désir s'accompagne nécessairement de douleur, et d'une douleur plus grande à mesure qu'il est plus

bonheurs. Il y a autant de voies d'accès au bonheur que d'individus, tout simplement parce que nous sommes tous différents. La recherche du bonheur est forcément une affaire privée, dans le sens où nous sommes les mieux placés pour savoir ce que nous désirons et ce qui est bon pour nous. De plus, le bonheur est affaire de volonté, d'effort, de désir qui ne peut qu'être le travail de l'individu. La volonté ne s'apprend pas et comme l'a déclaré Sénèque : « Vouloir c'est pouvoir ». La quête du bonheur implique

désirs sont à éloigner et lequels sont a satisfaire, il y a une certaine maitrise du désir . Si le désir est à ce point le moteur pour arriver au bonheur c’est que lui seul conduit au plaisir, et seul le plaisir conduit au bonheur . Lorsque nous désirons il nous arrive de souffrir mais dans l’épicurisme quelque soit les douleurs subies, ce qui compte c’est qu’elle finiront par mener au plaisir . Il faut aussi choisir.