Nazisme Fascisme Stalinisme

impératif moral Le XXe siècle a été tellement sanglant qu'il est impossible de l'oublier. Ce serait même une faute morale, tant les totalitarismes ont toujours parié sur la dissimulation et la négation de leurs crimes — qu'il s'agisse du nazisme, du stalinisme ou du fascisme. Prenons par exemple la mémoire de la Shoah, cette extermination systématique des trois quarts des Juifs de l'Europe occupée durant la Deuxième Guerre mondiale à aujourd'hui une grande place dans l'Histoire. En effet, grâce aux condamnations

autorités infra étatiques, les communautés naturelles que sont la famille, les corporations, les communes, les provinces… Ces réalités multiples sont incarnées en la personne du roi, « l’autorité en haut, en bas les libertés ». CHAPITRE 2 LE FASCISME C’est avec prudence que l’on aborde ce chapitre tant on peut être convaincu par l’affirmation d’Ernst Nolte pour qui au cours du XXème siècle « il n’y ait pas un terme qui ait autant servi d’arme » Vient de l’italien « fascio » qui signifie faisceau

notamment par des historiens comme Ian Kershaw. D'une part, ce serait un produit idéologique de la Guerre Froide, et donc pas neutre puisque forgé par des politologues américains dans ce contexte particulier, qui leur aurai permis d’assimiler l’URSS au Nazisme. En fait cela n'enlève pas au concept sa valeur scientifique. D'autre part, et surtout, un concept selon Nietzsche c'est une « Identification de choses qui ne sont pas identiques ». Effectivement, le concept théorique, une fois mis à l'épreuve

Gramsci1 Fascism is a political ideology that encompassed totalitarianism, state terrorism, imperialism, racism and, in the German case, the most radical genocide of the last century: the Holocaust. Fascism, in its many forms did not hesitate to kill its own citizens as well as its colonial subjects in its search for ideological and political closure. Millions of civilians perished on a global scale during the apogee of fascist ideologies in Europe and beyond. In historical terms, fascism can be defined

face à la crise et leurs solutions ne font que l’aggraver. La contestation va générer des solutions alternatives, dont deux sont fondamentales : • URSS : au même moment Staline met au point un système économique complètement différent, le Stalinisme • Fascisme est en rupture très nette vis-à-vis du libéralisme Cette double contestation d’extrême-droite et gauche est une remise en cause radicale du libéralisme aboutissant à des modèles totalement différents et antilibéraux et qui sont totalitaires

militarisme de patronage, ses parades et manifestations « spontanées », ses files d'attentes, ses slogans, ses camps de rééducation, ses confessions publiques « à la moscovite » et ses affiches géantes. On peut aussi y voir des emprunts au nazisme, au fascisme et au stalinisme. L'auteur à publié « farenheit 451 » en 1953 et décrit un futur dans lequel écrire et lire seront des actions interdites qui est donc un totalitarisme, suite à cette publication une révolte à lieux pour sauver la littérature et la philosophie

Yousie Kim Braun Julia Le communisme et le nazisme: Une comparaison impossible? INTRODUCTION Très brève histoire des deux régimes: → Allemagne nazie (1933-1945) Le 30 janvier 1933 > Hitler est choisi comme chancelier, et à la mort de Hindenburg en 1934, il devient également Reichpräsident → Nouveau statut proclamé :« Führer des deustchen Volks » Envahit l'Europe Finalement au début de l’année 1943, les Allemands subissent une très lourde défaite à Stalingrad. Retrait peu à peu des troupes

Les régimes totalitaires entre les deux guerres. Fascisme en Italie. Stalinisme en URSS. Nazisme en Allemagne. Ceux ci entrent en compétition contre les démocraties, des points communs unissent ces trois régimes mais les finalités de chacun sont spécifiques. Ces trois totalitarismes sont nés de la guerre de 1914-1918. 1) La prise de pouvoir par Staline en URSS. Première révolution en février 1917, bourgeoise, Kerensky chef du gouvernement, il continue la guerre. Lénine publie ses thèses

occidentale trouve un intérêt particulier dans sa confrontation à l’expérience du totalitarisme ayant marqué aussi bien la pensée politique classique face au despotisme ou à l’autoritarisme que la pensé politique moderne face au nazisme au fascisme ou encore au stalinisme. Le totalitarisme se caractérise selon Hanna Arendt par la confiscation de toute vie démocratique par une dictature ou un parti unique .Elle cite dans son ouvrage les origines du totalitarisme que « Le régime totalitaire comme

l'admiration et de la pitié. [2e axe] : parce qu'il résume bien les messages que Ionesco veut faire passer dans cette pièce et nous fait réfléchir sur beaucoup de problèmes a) Ionesco montre la fascination exercée à une époque par le fascisme, le nazisme ou le stalinisme. On le voit avec la longue hésitation de Bérenger, lorsqu'il est prêt à céder à la tentation. Les régimes totalitaires s'installent souvent ainsi : ils trouvent un appui populaire, les foules sont «envoûtées » par les promesses fallacieuses