Nazisme Fascisme Stalinisme Terreur

entre de toutes les nationalités. »   2- le communisme de guerre Militarisation de la scté et mise en place de la terreur : mesure extraordinaires souvent improvisées prises pour gagner la G civile : réponse d’un pv dictatorial engagé dans un G totale dont dépend sa survie et une expérimentation : « passage immédiat à la production et la répartition communiste » (Lénine)  Terreur communiste pr limiter la désorganisation éco (marché noir, désorg des transports) : organe central : parti bolchevik

contrôlé, celui de rendre possible la coexistence des initiatives et des ambitions individuelles ; c’est pourquoi le libéralisme inspire d’abord le réformisme démocratique et notamment la Révolution française. Au XIXe siècle, après l’expérience de la Terreur révolutionnaire, le libéralisme conservateur (Burke, Tocqueville, Guizot, Thiers,…) s’appuie sur l’hypothèse sociologique d’une organisation spontanée de l’ordre social selon les lois de la communauté et de la tradition, et se rapproche de la réaction

monde. Cest avec le monde moderne que le souci de lme est remplac par le culte de lego avec des consquences morales dramatiques. Ce phnomne culmine au 20me sicle avec le totalitarisme et ses massacres de masse. Mais il avait t prcd en 1793 par la Terreur de Robespierre et la guerre de Vende. Comme la crit Schiller, les principes idologiques ont ruin les sentiments humains et ce fut le rgne de la barbarie. Le danger barbare est toujours l car, si lhomme moderne condamne le totalitarisme, il a adopt

jacobine, de 1793. On peut accepter de qualifier le « libérale » la première phase de la révolution française correspondant à l’avènement de la Nation, puis de « radicale » la seconde, même si c’est une erreur de la réduire au jacobinisme et à la terreur. Section 1 : l’avènement de la Nation, ou la Révolution libérale PARAGRAPHE 1 : LE PORTIER DE LA REVOLUTION, EMMANUEL SIEYES (1748-1836) C’est lui qui ouvre la révolution française le 17/06/89 et qui la ferme lors du Directoire. Il est à l’origine

propre survie) mais c’est aussi une menace évidente pour les autres royautés (alliances entre rois et royaumes pour la minimiser). La RF subit alors une radicalisation : suppression des ordres religieux  fuite du roi  décapitation  guerre civile & Terreur  condamnation de Robespierre  directoire & guerres révolutionnaires Napoléon. Les régimes se succèdent : monarchie constitutionnelle, République, dictature révolutionnaire et enfin Empire. Comment en arrive-t-on à l’Empire 

avec le monde moderne que le souci de l’âme est remplacé par le culte de l’ego avec des conséquences morales dramatiques. Ce phénomène culmine au 20ème siècle avec le totalitarisme et ses massacres de masse. Mais il avait été précédé en 1793  par la Terreur de Robespierre et la guerre de Vendée. Comme l’a écrit Schiller, les principes idéologiques ont ruiné les sentiments humains et ce fut le règne de la barbarie. Le danger barbare est toujours là car, si l’homme moderne condamne le totalitarisme, il

monde ouvrier dont elle est issue. Cette situation se rencontre parfois dans les années 1920 et 1930, faisant partie de cette classe moyenne (commerçants, artisans, fonctionnaires) une clientèle électorale de choix pour les mouvements comme le fascisme ou le nazisme. 2 Les classes laborieuses 1 Des campagnes bouleversées Le monde rural reste inchangé dans l'Europe de Sud et de l'Est jusque dans les années 1920 ; il demeure peu modernisé parfois encore enclavé et dominé par de grands propriétaires

Chapitre 1. Nous verrons ensuite que cette Première guerre mondiale peut être perçue comme le berceau du 20e siècle : c’est de cette guerre que débouchent toutes les idéologies -> accouche du communisme et des nouvelles formes de nationalisme (fascisme, nazisme). C’est une guerre qui va faire apparaître les grandes fluctuations économiques du 20e siècle. On verra que le monde prend appui sur de nouvelles idéologies et démontre la quête universelle d’un modèle social. Chapitre I : La Première Guerre

projet qu’entreprend peu à peu l’Etat français contenant déjà en germe certain aspect du totalitarisme au cœur de ses institutions. Cet engouement pour la force, ce dévouement absolu pour le pouvoir ne trouve pas ses origines seulement dans le nazisme, il est aussi présent depuis des siècles dans la littérature chrétienne (les évangiles) et épique, dans l’Iliade par exemple ; ou la légitimité de la violence et la volonté de domination ne sont pas condamnées. III LA RUSSIE : UN MODELE DE REGIME

l’Allemagne se voit contrainte de payer d’importantes réparations financières aux pays vainqueurs. Pour le peuple allemand, ces mesures suscitent l’incompréhension et font naître un grand sentiment d’injustice. Ce ressentiment va favoriser la montée du nazisme, qui est à l’origine de la Seconde Guerre mondiale. SURVOL DE LHISTOIRE DU XX’ SIÈCLE La particïpation des colonies Cette guerre a été qualifiée de «mondiale». En effet, le conflit a touché tous les continents puisque les colonies ont participé