Nazisme Fascisme Stalinisme Terreur

économique (1919-1920) qu'on sublit les pays européen. Les régimes totalitaires se caractérisent par la domination sans partage d'une idéologie dont les principes s'appliquent à tous et à tous les domaines de la société. Le fascisme en Italie, le nazisme en Allemagne et le stalinisme en URSS sont des doctrines politiques qui glorifient des notions comme l'Etat en Italie et en URSS ou la race en Allemagne. Ces trois régimes ont tous l'ambition de créer un homme nouveau totalement acquis à son chef et

Dans la phrase soulignée, tirée de l’essai L’Etat totalitaire de Luigi Sturzo démocrate-chrétien italien, ce dernier fait allusion à trois Etats totalitaires. Le premier, « soit de la nation », est le fascisme italien qui a pour objectif l’exaltation de l’Etat. Il fait ensuite allusion au nazisme allemand « soit de la race », qui a pour objectif la prédominance de la race Aryenne. Le dernier, « soit de la classe », est le communisme stalinien qui a pour but une société sans classe avec une priorité

démocratie. Ce sont plus que des simples dictatures (soit des régimes politique dans lesquels une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu'aucune loi ou institution ne les limite), celles-ci pratiquent la terreur, ce ne sont pas seulement des fort pouvoirs, ce sont une certaine conception de l'État en tant qu'instrument pour transformer l'homme et encadrer toutes ses activités de la naissance à la mort. On appelle aussi cela des régimes totalitaires. Le

anéantissant ainsi une Allemagne déjà touchée par la Grande Guerre. Face à des démocraties libérales en crise dans toute l’Europe, les années de l'entre deux guerres voient la mise en place de régimes d'un genre nouveau, assurés par la montée en force du nazisme ou encore du communisme. Vers la seconde guerre mondiale : quel est le devenir des régimes totalitaires face aux démocraties ? Nous allons d’abord étudier la montée en puissance des régimes totalitaires

adhère au Parti communiste français. Certains de ses textes montrent sans conteste une approbation de la terreur organisée par l'URSS bolchévique et stalinienne[1], il écrit notamment en 1931 Vive le Guépéou[2] (Guépéou), dans le recueil Persécuté persécuteur. Il ne devient critique à l'égard de l'URSS qu'après la mort de Staline, à la suite des révélations par Khrouchtchev des crimes du stalinisme. Sa poésie est largement inspirée, depuis les années 1940, par l'amour qu'il voue à sa compagne, Elsa

italien pour définir le nouveau régime fasciste italien, puis réutiliser par Annah Arendt dans les origines du totalitarisme sur l'Alle nazie. Mais concept controversé par certains car accusé de mettre le stalinisme au même plan que le nazisme, avec l'idée de banalisation ou de minimisation du nazisme-antisémitisme. I - Des idéologies totalitaires proches. A – Le contexte d'après-guerre et de crise économique. Livre p 162-163 + carte. Contexte historique économique et social commun aux pays

roman le plus célèbre de la plume de Georges Orwell. Il a été écrit en 1948 et paru durant l'année suivante, le 9 juin 1949. Ainsi, il voit le jour dans un contexte difficile, au milieu des différents totalitarismes du XX siècle: le nazisme, le fascisme et le stalinisme. C'est pourquoi, on retrouve dans le roman un univers fortement inspiré de ces trois systèmes qui ont marqué l'histoire, et plus particulièrement du système soviétique communiste. L'auteur met donc en avant les différents principes

solde de l’étranger. La violence politique explose alors, à gauche comme à droite, notamment lors de la révolte communiste, dite spartakiste, en 1918-1919. Adolf Hitler, un ancien combattant, fait partie des groupes paramilitaires qui sèment la terreur contre les marxistes. En 1920, il s'empare de la direction d'un parti nationaliste, antisémite et antilibéral, qui prend le nom de NSDAP (Parti Nazi). En novembre 1923, Hitler tente de prendre le pouvoir par la force : c’est le « Putsh

très agréable à lire et très intéressante au nivau historique : en effet, cette nouvelle nous dénonce de manière ingénieuse, improbable dans le réel, les faits d'un régime politique extrême, totalitaire... tels que le nazisme en Allemangne, le stalinisme en Russie ou encore le fascisme en Italie : l'État dans lequel vit le héro est un état totalitaire pour plusieurs raisons. En effet, tout d'abord, les médias sont contrôlés par le pouvoir en place et tout média allant à l'encontre de l'idéologie

ne doit penser qu’au parti et être en accord constant avec les idées du régime. Avec « Durch licht zur nacht », John Heartfield dénonce la terreur nazie. Hitler supprimait tout ce qui pouvait permettre l’Allemand de réfléchir et de critiquer ses idées. Pour surveiller la population, une police politique est mise en place, elle donne naissance à la terreur policière. En Italie, ce sont les Chemises Noires qui menacent les opposants au régime. Ce sont de jeunes militants qui soutiennent Mussolini