Naturalisme De Gervaise

l’éloge du roman anglais qui est un compte-rendu d’une expérience individuelle, avec vraisemblance et une portée morale. Au XIXème, Balzac crée de nombreux personnages pour montrer tous les aspects de la nature humaine. C’est l’ère du réalisme et du naturalisme. Le Père Goriot, de Balzac. L’Assomoir, de Zola. 4- Le roman transforme le réel Au XXème, de nombreux auteurs critiquent une représentation trop réaliste du réel. 5- Le roman transforme une vie en destin Pour un auteur comme Albert Camus, le roman

la dégradation, la conscience aiguë des conditionnements sociaux, la tentation de l'anarchisme… Les romans aujourd'hui les plus connus de Zola sont plutôt ceux de la branche Macquart : Gervaise, dans L'Assommoir, est une Macquart ; sa fille s'appelle Nana ; Étienne, le héros de Germinal est aussi un fils de Gervaise, donc un Macquart. En dépit d'une intéressante paronomase, Saccard n'est pas un Macquart, c'est un Rougon (Aristide Rougon), dont le frère, Son Excellence Eugène Rougon, est ministre de

Fiche : L’évolution du personnage de roman I - Les origines du personnage de roman - Moyen Age :  terme « roman » est me
die
val (XIIe) de
signe les romans de chevalerie (e
crits en langue romane) dont les he
ros aux qualite
s exceptionnelles incarnent les vertus telles que courage et loyaute
 (he
ritiers des he
ros e
piques de l’Antiquite
 comme ceux de L’Iliade d’Home!re)  Romans parodiques et satiriques (Le Roman

donne naissance au romantisme. Pour la première fois des auteurs se regroupent sous un nom commun.  Le XIXème siècle est le siècle le plus prolixe en courants littéraires puisqu'on y trouve en plus du romantisme, le réalisme (Balzac, Flaubert), le naturalisme (Zola), le symbolisme (en poésie avec Verlaine, Mallarmé, etc.).  Le début du XXème est marqué par l'euphorie de la Belle époque et voit l'apparition du surréalisme avec le manifeste du Surréalisme d'André Breton. Après la seconde guerre mondiale

affection. C’est chez Cabuche que la jeune fille est venue mourir des suites du viol dont elle a été victime. Jacques Lantier, mécanicien à la Compagnie de l’Ouest, vient rendre visite à sa tante Phasie, qui l’a élevé après le départ de sa mère Gervaise pour Paris. Elle lui confie que son mari Misard cherche à l’empoisonner pour s’approprier un petit magot provenu d’un héritage, et qu’elle a caché. Flore, une belle fille forte et farouche, accueille Jacques avec tendresse, mais ce dernier semble

La Bête Humaine est un roman d’Emile Zola publié en 1890 au 19ème siècle et c’est le 17 volume de la série LES ROUGON-MACQUART. Le mouvement littéraire de l’œuvre appartient au réalisme et naturalisme. Gisèle Séginger a écrit la préface et parle beaucoup de Freud.  L’histoire évoque le monde du chemin de fer et se déroule tout au long de la ligne PARIS/LE HAVRE. Le titre du roman La bête humain fait penser à la violence et la bestialité. La métaphore animale est centrale dans le texte et caractérise

il présente très précisément les rêves de la jeune fille pour mieux démontrer le choc de la désillusion. .... butto60y.gif (972 octets) L'ATTITUDE DE MAUPASSANT QUANT A LA THEORIE DU NATURALISME arrow32.gif (570 octets) En 1887, dans une lettre à Alexis, Maupassant écrivait : " Je ne crois pas plus au naturalisme et au réalisme qu'au romantisme. Ces mots, à mon sens ne signifient absolument rien et ne servent qu'à des querelles de tempéraments opposés." Si Maupassant veut dépasser les querelles

dans les textes narratifs du XVIIIe et du XIXe siècles. Il a d'ailleurs été revendiqué par le mouvement réaliste au XIXe siècle, en art (Courbet) et en littérature, par exemple par Maupassant dans la Préface de Pierre et Jean, et accentué par le Naturalisme que prône Zola dans Le roman expérimental. Le registre réaliste s'est imposé dans les romans qui cherchent à produire un effet de réel (on parle aussi de vérisme) plus qu'une transcription absolument fidèle de la réalité, d'ailleurs impossible.

dans un segment narratif déterminé ; dans l'excipit – contrairement à l'incipit où le roman s'ouvre sur un récit non focalisé, sur une vision omnisciente de l'auteur - , on ne quitte pas le point de vue d'Etienne Lantier, le plus jeune des fils de Gervaise Macquart. Zola adopte pour conclure son récit le point de vue limité d'un seul personnage. Dans le cadre d'une focalisation interne, la vision repose sur une restriction du champ visuel du personnage. Le narrateur (le romancier Emile Zola) ne dit

moderne, les gares, les halles, la science" - la création non l'imitation : "autre chose." "faire éclater le Louvre" Annonce des nouveaux courants peinture : impressionnisme : "il faut le plein air, une peinture claire et jeune" littérature : naturalisme : "le grand tout, sans haut ni bas, ni sale ni propre" ; "quelle série de bouquins je lancerais!" (Les Rougon-Macquart) Conclusion: lire les pages 139 et 156 (nouvelle édition). Noter le vocabulaire guerrier de ces révolutionnaires de l'art