Nate Mendel

GENETIQUE Transmission chromosomique de l’hérédité Lois de Mendel – expérience de Morgan - complémentarité Lois de Mendel : Croisement de 2 souches pures (homozygotes) de pois. L’une lisse, l’autre ridée. La première génération F1 est uniforme et ne donne que des individus Lisses. Cela permet de déterminer le caractère dominant (ici : lisse) La seconde génération F2 est obtenue par croisement de 2 individus F1. On obtient : * ¾ de pois lisses * ¼ de pois ridés. On voit

génération (ex : la couleur naturelle des cheveux, la forme des oreilles,…) * Caractères acquis : ce sont les caractères qui traduisent l’influence des conditions de vie et ne sont pas héréditaires. C) Mendel et la naissance de la génétique : * Histoire de Mendel : Johann Mendel nait en 1822 dans une famille de paysans en Moldavie. Le curé et l’instituteur de son village l’initient très tôt à la botanique et le poussent à faire des études au lycée et à l’université. En 1843, il entre

|ACTIVITES / SUPPORTS |LIMITES | |En quoi les travaux de Mendel |Les débuts de la génétique : les travaux de Mendel (1870) |Etude documentaire préalable : contexte dans lequel Mendel a| | |apportent une rupture dans les |Les travaux de Mendel reposent sur une analyse quantitative |réalisé ses travaux. |

transmission des caractéristiques d’une génération à l’autre. 1. Mendel Technique utilisée : - Il sélectionne des lignées pures (= sujets qui donnent de génération en génération le même caractère bien précis) - Il effectue des hybridations (= croisements) entre individu portant des caractères oppositifs - Il effectue des autofécondations sur les hybrides obtenus (= sujet qu’on obtient après hybridation) Résultats obtenus par Mendel : - En 1ère génération : 100% de graines lisses - En 2ème génération

Lois de Mendel Gregor Mendel est considéré le père de la génétique. Ce dernier à établit 2 lois, les lois de Mandel. La première est la loi de la ségrégation indépendante des allèles. Nous définissons cette loi : « Il y a ségrégation (séparation l’un de l’autre) des deux allèles de chaque caractère héréditaire au cours de la formation des gamètes et qu’ils se retrouvent dans des gamètes différents. » (Cambell, 2011). En d’autres mots, le gamète ne détient qu’un seul chromosome sur deux venants

évolutionnisme finalisé et universalisant, dilué dans la notion de progrès linéaire et de plus en plus fondé sur la notion d'hérédité des caractères acquis. Cette divergence tient des apports de Weismann et de Wallace, puis de la redécouverte des lois de Mendel en 1900. Enfin, « De nos jours encore, l'usage des termes demeure ambigu. Pour les biologistes contemporains, le « darwinisme » désigne essentiellement — mais pas toujours — la théorie de la sélection naturelle, et dès la fin du XIXe siècle s'esquissent

conséquence, les générations successives maintiennent et améliorent le degré d’adaptation de leur parents.La théorie synthétique ou néo-darwinisme (Huxley,1942)Cette théorie reprend la théorie de Darwin en y ajoutant les lois de l’hérédité (Mendel) et les mutations du patrimoine héréditaires (de Vries) Elle explique que la capacité de survie (d’adaptation) est due à une mutation du matériel génétique. A chaque génération, des erreurs peuvent se